Typologie(s)
maison bourgeoise
maison d’architecte
maison d’architecte
Intervenant(s)
Jules RAU – architecte – 1906
Statut juridique
Inscrit à l’inventaire légal le 19 août 2024
Styles
Éclectisme
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique La signature d’un bien immeuble (bâtiment) par un architecte de renom ne peut pas être considérée comme un critère absolu. Pour évaluer la place qu’un bien occupe dans l’œuvre d’un architecte, ce critère doit être modulé avec la qualité architecturale (composition et structure interne) du bien, sa mise en œuvre (matériaux, maîtrise technique) et la place qu’il occupe dans l’histoire de l’architecture, ces trois éléments pouvant témoigner d’une phase ou d’un aspect de l’architecture urbaine ou paysagère du passé. Les critères suivants s’appliquent alors pour évaluer l’intérêt artistique : la rareté (typologie, style, utilisation des matériaux, sources), la représentativité (idem) et l’intégrité (idem + qualité d’exécution).
- Esthétique Le bien possède un intérêt esthétique s’il stimule les sens de l’observateur de manière positive (l’expérience de la beauté). Historiquement, cette valeur était utilisée pour désigner des zones naturelles ou semi-naturelles de grande valeur, mais elle peut également s’appliquer à de grands ensembles de bâtiments dans une zone urbaine, avec ou sans éléments naturels, ou à des monuments qui marquent le paysage urbain. D’autres intérêts sont automatiquement pris en considération, l’artistique en premier lieu, mais aussi le paysager (intégration de l’œuvre dans le paysage urbain, points de repère dans la ville) et l’urbanistique (ensembles urbains spontanés ou rationnels). Les critères de sélection suivants lui sont également associés : la représentativité, la valeur d’ensemble et la valeur contextuelle. Ces critères doivent être combinés avec d’autres critères (notamment artistiques).
- Historique Le bien présente un intérêt historique s’il témoigne d’une période particulière de l’histoire de la région ou de la commune, s’il représente un témoignage d’une période particulière du passé et/ou d’une évolution rare pour une période (par exemple, une cité-jardin représentative d’un mode de construction utilisé lors des grandes campagnes d’urbanisation après la Seconde Guerre mondiale, les noyaux villageois illustrant les premiers bâtiments groupés des communes de la Seconde couronne, la Porte de Hal comme vestige de la deuxième enceinte, etc.), s’il témoigne d’un développement urbain (et/ou paysager) particulier de la ville (par exemple, les immeubles des boulevards centraux ou du quartier Léopold), s’il présente un lien avec un personnage historique important, y compris les maisons personnelles d’architectes et les ateliers d’artistes (par exemple, la maison natale de Constantin Meunier, la maison de Magritte), s’il peut être associé à un événement historique important (par exemple, les maisons datant de la reconstruction de Bruxelles suite au bombardement de 1695, la colonne du Congrès), ou s’il possède une représentativité typologique caractéristique d’une activité commerciale ou culturelle (par exemple, les églises, les cinémas, l’architecture industrielle, les pharmacies).
Recherches et rédaction
2004
id
Urban : 17381
Description
Deux maisons d'inspiration éclectique, faisant anciennement partie d'un ensemble de trois maisons dessinées par l'architecte Jules Rau en 1906.
L'ensemble comprenait une maison d'angle à deux niveaux au no 124, flanquée de deux maisons jumelles de composition asymétriqueDans l'inventaire, une façade est dite de composition asymétrique lorsqu’elle compte deux travées inégales. À Bruxelles, ce type de façade s’élève souvent sur trois niveaux. La travée principale est d’ordinaire mise en évidence par un ressaut, par un ou plusieurs balcons et par un décor plus élaboré. Les caves, d’ordinaire à demi enterrées, se marquent en façade par un soubassement élevé., identiques en miroir, aux nos 122 et 126 (cette dernière démolie suite à un permis de 1991).
Au no 122, r.d.ch. en pierre bleue ; étages en pierre de Gobertange, rehaussés de pierre bleue. Porte sous corniche et baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. d'imposteUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie.. Aux étages, fenêtres de la travée principaleTravée la plus large de l’élévation, marquée par un ressaut et une décoration plus abondante. Les façades de composition asymétrique comportent d'ordinaire une travée principale. à deux meneauxÉlément vertical de pierre ou de métal divisant une baie. et traversesÉlément horizontal divisant une baie ou pièce horizontale d'une menuiserie. latérales. La 1re éclaire une logette de pierre bleue, la seconde devance une terrasse à parapetUn parapet en maçonnerie est un muret servant de garde-corps. à claire-voieUn élément est dit à claire-voie lorsqu’il est ajouré de petites ouvertures décoratives., assiseRang d’éléments de même hauteur posés de niveau dans une maçonnerie. L’assise désigne également la plate-forme d’un balcon ou d'une logette, portée d’ordinaire par des consoles et sur laquelle repose le garde-corps. sur la logette. Haute architraveMoulure inférieure de l’entablement, située sous la frise. de pierre bleue, formant linteauÉlément rectiligne d’un seul tenant, en pierre, bois, béton ou métal, couvrant une baie. continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées. des baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. du 2e étage. LucarneOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. de bois à aileronsÉlément décoratif ordinairement enroulé en S et terminé en volutes, qui s’inscrit dans un angle et forme un adoucissement. et frontonCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches.. Porte de garage percée dans le soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en 1928. Belle porte d'entrée ultérieure, en ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux. Art DécoStyle Art Déco (entre-deux-guerres). Tendance à la géométrisation des formes et des ornements architecturaux, doublée de jeux de matériaux, de textures et de couleurs..
Au no 124, ancienne maison personnelle de l'architecte Jules Rau, abritant ses ateliers et bureaux. La maison comportait à l'origine divers éléments de bois lui conférant le caractère pittoresque d'une villa inspirée du style cottage : un beau porche hors œuvre sous bâtièreToit à deux versants., devançant l'entrée, supporté par des colonnettes de pierre liées par de petits arcsStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. de bois en plein cintreUn élément est dit en plein cintre lorsqu’il est cintré en demi-cercle. ; vers le square, une remarquable lucarne passanteUne lucarne est dite passante lorsqu'elle est située dans le plan de la façade et interrompt la corniche ou l’entablement terminal du bâtiment. en encorbellementUne partie d'élévation est dite en encorbellement lorsqu'elle s’avance en surplomb., traitée en colombage, surmontant une logette de plan trapézoïdal ; garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... de bois. En 1931, la maison est transformée en agence de la Société générale de Belgique. À ces éléments pittoresques, l'architecte Gaston Deru substitue des éléments rectilignes en pierre d'Euville dont la sobriété s'accorde mieux à l'esthétique respectable d'un établissement bancaire. En 1941, une large logette montant de fond est aménagée vers le square. En 1942, la belle grille de clôture de style Art nouveauStyle Art nouveau (de 1893 à 1914 environ). Mouvement international, avec de fortes variantes locales, né en réaction aux styles « néo ». En Belgique, ce courant connaît deux tendances : d’un côté, sous l’égide de Victor Horta, l'Art nouveau « floral », aux lignes organiques ; de l’autre, l'Art nouveau géométrique, influencé par l'art de Paul Hankar ou la Sécession viennoise. géométrique disparaît.
Façades de deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. chacune, celle orientée vers l'avenue est plus étroite. Traitement original de l'angle, composé de deux pans de mur étroits formant angle droit rentrant. ÉlévationDessin à l'échelle d'une des faces verticales d’un édifice. Par extension, façade d'un bâtiment ou ensemble de ses façades. en briques blanches rugueuses, rehaussée de bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. de pierre d'Euville. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires à croiséesBaie à croisée. Baie divisée par des meneau(x) et traverse(s) se croisant à angle droit..
Porte d'entrée en travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de droite vers l'avenue, devancée par un massif escalier de pierre bleue. Les deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. extérieures étaient à l'origine pourvues d'une logette en pierre d'Euville montant de fond, sous terrasse à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en pierre et bois. Seule celle de la façade vers l'avenue subsiste ; ses jours1. Ouverture vitrée dans une menuiserie ou baie de petite dimension; 2. Vide autour duquel se développent certains escaliers tournants. de cave sont obturés. Corniche sur aisseliersEn menuiserie, pièce de bois disposée de biais, portant le débordant d’un toit ou d’un auvent. En charpenterie, lien disposé en oblique, soulageant une pièce horizontale et portant sur une pièce verticale.. Haute toiture en bâtièreToit à deux versants., marquée par deux vastes lucarnes rampantesUne lucarne est dite rampante lorsqu'elle est couverte par un appentis incliné dans le même sens que le versant du toit.. HuisserieMenuiseries qui s’ouvrent et se ferment, c’est-à-dire les portes et les fenêtres. Par extension, le terme désigne également les fenêtres à châssis dormants. remplacée, anciennement à imposteUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie. à petits-bois. Les caves, transformées en salle des coffres en 1931, sont aménagées en abri anti-aérien en 1944.
L'ensemble comprenait une maison d'angle à deux niveaux au no 124, flanquée de deux maisons jumelles de composition asymétriqueDans l'inventaire, une façade est dite de composition asymétrique lorsqu’elle compte deux travées inégales. À Bruxelles, ce type de façade s’élève souvent sur trois niveaux. La travée principale est d’ordinaire mise en évidence par un ressaut, par un ou plusieurs balcons et par un décor plus élaboré. Les caves, d’ordinaire à demi enterrées, se marquent en façade par un soubassement élevé., identiques en miroir, aux nos 122 et 126 (cette dernière démolie suite à un permis de 1991).
Au no 122, r.d.ch. en pierre bleue ; étages en pierre de Gobertange, rehaussés de pierre bleue. Porte sous corniche et baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. d'imposteUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie.. Aux étages, fenêtres de la travée principaleTravée la plus large de l’élévation, marquée par un ressaut et une décoration plus abondante. Les façades de composition asymétrique comportent d'ordinaire une travée principale. à deux meneauxÉlément vertical de pierre ou de métal divisant une baie. et traversesÉlément horizontal divisant une baie ou pièce horizontale d'une menuiserie. latérales. La 1re éclaire une logette de pierre bleue, la seconde devance une terrasse à parapetUn parapet en maçonnerie est un muret servant de garde-corps. à claire-voieUn élément est dit à claire-voie lorsqu’il est ajouré de petites ouvertures décoratives., assiseRang d’éléments de même hauteur posés de niveau dans une maçonnerie. L’assise désigne également la plate-forme d’un balcon ou d'une logette, portée d’ordinaire par des consoles et sur laquelle repose le garde-corps. sur la logette. Haute architraveMoulure inférieure de l’entablement, située sous la frise. de pierre bleue, formant linteauÉlément rectiligne d’un seul tenant, en pierre, bois, béton ou métal, couvrant une baie. continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées. des baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. du 2e étage. LucarneOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. de bois à aileronsÉlément décoratif ordinairement enroulé en S et terminé en volutes, qui s’inscrit dans un angle et forme un adoucissement. et frontonCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches.. Porte de garage percée dans le soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en 1928. Belle porte d'entrée ultérieure, en ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux. Art DécoStyle Art Déco (entre-deux-guerres). Tendance à la géométrisation des formes et des ornements architecturaux, doublée de jeux de matériaux, de textures et de couleurs..
Au no 124, ancienne maison personnelle de l'architecte Jules Rau, abritant ses ateliers et bureaux. La maison comportait à l'origine divers éléments de bois lui conférant le caractère pittoresque d'une villa inspirée du style cottage : un beau porche hors œuvre sous bâtièreToit à deux versants., devançant l'entrée, supporté par des colonnettes de pierre liées par de petits arcsStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. de bois en plein cintreUn élément est dit en plein cintre lorsqu’il est cintré en demi-cercle. ; vers le square, une remarquable lucarne passanteUne lucarne est dite passante lorsqu'elle est située dans le plan de la façade et interrompt la corniche ou l’entablement terminal du bâtiment. en encorbellementUne partie d'élévation est dite en encorbellement lorsqu'elle s’avance en surplomb., traitée en colombage, surmontant une logette de plan trapézoïdal ; garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... de bois. En 1931, la maison est transformée en agence de la Société générale de Belgique. À ces éléments pittoresques, l'architecte Gaston Deru substitue des éléments rectilignes en pierre d'Euville dont la sobriété s'accorde mieux à l'esthétique respectable d'un établissement bancaire. En 1941, une large logette montant de fond est aménagée vers le square. En 1942, la belle grille de clôture de style Art nouveauStyle Art nouveau (de 1893 à 1914 environ). Mouvement international, avec de fortes variantes locales, né en réaction aux styles « néo ». En Belgique, ce courant connaît deux tendances : d’un côté, sous l’égide de Victor Horta, l'Art nouveau « floral », aux lignes organiques ; de l’autre, l'Art nouveau géométrique, influencé par l'art de Paul Hankar ou la Sécession viennoise. géométrique disparaît.
Façades de deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. chacune, celle orientée vers l'avenue est plus étroite. Traitement original de l'angle, composé de deux pans de mur étroits formant angle droit rentrant. ÉlévationDessin à l'échelle d'une des faces verticales d’un édifice. Par extension, façade d'un bâtiment ou ensemble de ses façades. en briques blanches rugueuses, rehaussée de bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. de pierre d'Euville. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires à croiséesBaie à croisée. Baie divisée par des meneau(x) et traverse(s) se croisant à angle droit..
Porte d'entrée en travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de droite vers l'avenue, devancée par un massif escalier de pierre bleue. Les deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. extérieures étaient à l'origine pourvues d'une logette en pierre d'Euville montant de fond, sous terrasse à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en pierre et bois. Seule celle de la façade vers l'avenue subsiste ; ses jours1. Ouverture vitrée dans une menuiserie ou baie de petite dimension; 2. Vide autour duquel se développent certains escaliers tournants. de cave sont obturés. Corniche sur aisseliersEn menuiserie, pièce de bois disposée de biais, portant le débordant d’un toit ou d’un auvent. En charpenterie, lien disposé en oblique, soulageant une pièce horizontale et portant sur une pièce verticale.. Haute toiture en bâtièreToit à deux versants., marquée par deux vastes lucarnes rampantesUne lucarne est dite rampante lorsqu'elle est couverte par un appentis incliné dans le même sens que le versant du toit.. HuisserieMenuiseries qui s’ouvrent et se ferment, c’est-à-dire les portes et les fenêtres. Par extension, le terme désigne également les fenêtres à châssis dormants. remplacée, anciennement à imposteUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie. à petits-bois. Les caves, transformées en salle des coffres en 1931, sont aménagées en abri anti-aérien en 1944.
Sources
Archives
ACWSP/Urb. 353 (1906) ; 122 : 5 (1928) ; 124 : 187 (1931), 98 (1941), 49 (1942), 4 (1944) ; 126 : 140 (1991).
Périodiques
124 : L'Album de la Maison Moderne, 1re année (1908), planche XXI.
ACWSP/Urb. 353 (1906) ; 122 : 5 (1928) ; 124 : 187 (1931), 98 (1941), 49 (1942), 4 (1944) ; 126 : 140 (1991).
Périodiques
124 : L'Album de la Maison Moderne, 1re année (1908), planche XXI.
Arbres remarquables à proximité