Typologie(s)
maison et atelier d’artiste
rez-de-chaussée commercial
atelier (artisanat)
rez-de-chaussée commercial
atelier (artisanat)
Intervenant(s)
Henri VAN MASSENHOVE – architecte – 1894
Ernest HENDRICKX – architecte – 1874
M. DELEUVE – architecte – 1910
Styles
Éclectisme
Inventaire(s)
- Inventaire de l'architecture industrielle (AAM - 1980-1982)
- Actualisation de l'inventaire d'urgence (Sint-Lukasarchief - 1993-1994)
- Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
- Le patrimoine monumental de la Belgique. Saint-Josse-ten-Noode (DMS-DML - 1994-1997)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique La signature d’un bien immeuble (bâtiment) par un architecte de renom ne peut pas être considérée comme un critère absolu. Pour évaluer la place qu’un bien occupe dans l’œuvre d’un architecte, ce critère doit être modulé avec la qualité architecturale (composition et structure interne) du bien, sa mise en œuvre (matériaux, maîtrise technique) et la place qu’il occupe dans l’histoire de l’architecture, ces trois éléments pouvant témoigner d’une phase ou d’un aspect de l’architecture urbaine ou paysagère du passé. Les critères suivants s’appliquent alors pour évaluer l’intérêt artistique : la rareté (typologie, style, utilisation des matériaux, sources), la représentativité (idem) et l’intégrité (idem + qualité d’exécution).
- Esthétique Le bien possède un intérêt esthétique s’il stimule les sens de l’observateur de manière positive (l’expérience de la beauté). Historiquement, cette valeur était utilisée pour désigner des zones naturelles ou semi-naturelles de grande valeur, mais elle peut également s’appliquer à de grands ensembles de bâtiments dans une zone urbaine, avec ou sans éléments naturels, ou à des monuments qui marquent le paysage urbain. D’autres intérêts sont automatiquement pris en considération, l’artistique en premier lieu, mais aussi le paysager (intégration de l’œuvre dans le paysage urbain, points de repère dans la ville) et l’urbanistique (ensembles urbains spontanés ou rationnels). Les critères de sélection suivants lui sont également associés : la représentativité, la valeur d’ensemble et la valeur contextuelle. Ces critères doivent être combinés avec d’autres critères (notamment artistiques).
- Historique Le bien présente un intérêt historique s’il témoigne d’une période particulière de l’histoire de la région ou de la commune, s’il représente un témoignage d’une période particulière du passé et/ou d’une évolution rare pour une période (par exemple, une cité-jardin représentative d’un mode de construction utilisé lors des grandes campagnes d’urbanisation après la Seconde Guerre mondiale, les noyaux villageois illustrant les premiers bâtiments groupés des communes de la Seconde couronne, la Porte de Hal comme vestige de la deuxième enceinte, etc.), s’il témoigne d’un développement urbain (et/ou paysager) particulier de la ville (par exemple, les immeubles des boulevards centraux ou du quartier Léopold), s’il présente un lien avec un personnage historique important, y compris les maisons personnelles d’architectes et les ateliers d’artistes (par exemple, la maison natale de Constantin Meunier, la maison de Magritte), s’il peut être associé à un événement historique important (par exemple, les maisons datant de la reconstruction de Bruxelles suite au bombardement de 1695, la colonne du Congrès), ou s’il possède une représentativité typologique caractéristique d’une activité commerciale ou culturelle (par exemple, les églises, les cinémas, l’architecture industrielle, les pharmacies).
- Scientifique Cette valeur est généralement utilisée pour évaluer les zones naturelles ou semi-naturelles et selon leurs qualités botaniques. Dans le cadre d’un bien, il peut s’agir de la présence d’un élément (de construction) (matériau particulier, matériau expérimental, procédé ou élément constructif) ou du témoignage d’un espace spatiostructurel (urbanistique) dont la préservation doit être envisagée à des fins de recherche scientifique.
- Social Cette valeur est difficile à distinguer de la valeur folklorique et généralement insuffisante pour justifier une sélection à elle seule. Il peut s’agir d’un : – lieu de mémoire d’une communauté ou d’un groupe social (par exemple, la potale à Berchem-Sainte-Agathe située place de l’église à Berchem-Sainte-Agathe, le Vieux Tilleul de Boondael à Ixelles)?; – lieu relevant d’une symbolique populaire (par exemple, le café «?La Fleur en Papier Doré?» situé rue des Alexiens)?; – lieu de regroupement ou de structuration d’un quartier (par exemple, les immeubles du Fer à Cheval dans la cité du Floréal).
- Technique Un bien possède un intérêt technique en cas d’utilisation précoce d’un matériau ou d’une technique particulière (ingénierie), ou s’il présente un intérêt constructif ou technologique particulier, une prouesse technique ou une innovation technologique. Il peut également être considéré comme ayant une valeur archéologique industrielle s’il témoigne de méthodes de construction anciennes. Bien entendu, l’intérêt technique est à mettre en relation avec l’intérêt scientifique.
- Urbanistique Certains biens architecturaux ont joué un rôle prépondérant dans la planification urbaine par le passé. Ils suivent généralement d’autres formes (plans) urbanistiques, entraînant une interaction entre les espaces bâtis et non bâtis (ou ouverts). Cet aménagement comprend également la cohérence entre les différents niveaux d’échelle. Un bien immobilier possède un intérêt urbanistique lorsqu’il joue un rôle dans ce domaine. En voici quelques exemples : les bâtiments d’angle, les places ou les enfilades d’immeubles présentant une certaine cohérence, les tours (immeubles de grande hauteur) habilement implantées et leur relation avec leur environnement qualitatif immédiat, qui peut être cohérent mais aussi contrasté, ainsi que les vestiges de concepts urbanistiques et la manière dont ils sont ou ont été remplis architecturalement (et typologiquement), comme les palais urbains et/ou les maisons de maître éclectiques encore préservés dans le quartier Léopold.
Recherches et rédaction
1993-1995
id
Urban : 10916
Description
Complexe comprenant : magasin, habitations, ateliers à caractère industriel et ateliers pour artistes, érigé en phases successives à partir de 1874 à la demande de Félix MOMMEN, artisan ébéniste spécialisé dans la confection et la vente de matériaux pour artistes (maison fondée en 1853).
Les activités de la Maison Mommen étaient très diversifiées : entoilage, marouflage, encadrements, broyage des couleurs. Mécène et agent, F. Mommen veillait aussi à procurer logements et ateliers à de nombreux peintres et à exposer leur production. Rapidement, les établissements Mommen devinrent le lieu de rencontre du tout Bruxelles artistique et littéraire.
Parmi les artistes ayant travaillé au sein du phalanstère : Alfred Verwée (1838-1895), Jean-François Portaels (1818-1895), Emile Wauters (1846-1933), Léon Frédéric (1856-1940), Constantin Meunier (1831-1905) , Fernand Allard L'Olivier (1883-1933), Théo Van Rysselberghe (1862-1926), Henri Evenepoel (1872-1899), Xavier Mellery (1845-1921) et Pierre Paulus (1881-1959).
Outre la fabrication du matériel traditionnel, la maison Mommen se spécialisa également dans la fabrication et la préparation des toiles panoramiques. C'est ainsi qu'elle fournit le matériel pour e.a. le Bourbaki panorama d'Edouard Castres (1838-1902), le Panorama du Caire d'Emile Wauters (1846-1933), le Panorama du Congo (1903) par Paul Mathieu (1872-1932) et Alfred Bastien (1873-1955), et celui de la bataille de l'Yser (1922) aussi par Alfred Bastien.
Après la mort de Félix Mommen en 1914, l'entreprise continua ses activités mais s'orienta davantage vers la vente de matériaux et d'encadrements ainsi que la restauration de tableaux. Continuant ses activités sous le label Établissements De Wandel (v. 1950), la production des toiles et couleurs cessa complètement, mais la firme s'intéressa par contre aux écrans de cinéma. Les activités perdurèrent jusque dans les années 1980, mais leur réduction entraîna la vente de certains bâtiments (vers la r. du Marteau et dans la cour). Les ateliers ont en revanche continué à être utilisés par des artistes aussi divers que M. DUTRIEUX, M. VOSCH, P. CORDIER.
Ensemble classé comme monument par AR du 24.9.1992 pour sa valeur historique et artistique.
Les constructions s'échelonnent entre 1874 et 1910. Une 1re demande de permis de bâtir est introduite en mai 1874 pour la construction d'un atelier au fond de la parcelle par l'architecte Ernest HENDRICKX. Une 2e demande est introduite cinq mois plus tard pour la construction d'un immeuble à front de rue abritant au r.d.ch. un magasin, à l'étage une habitation et vers la cour des ateliers pour la fabrication des couleurs. E. HENDRICKX (1844-1892), anc. élève des ateliers de VIOLLET-LE-DUC à Paris, alors dirigés par Anatole DE BAUDOT, s'inspira largement tout au long de sa carrière des théories répandues par le rationalisme français, lequel fait une large part à la logique démonstrative. On lui doit des projets d'écoles et de fermes modèles. Ses travaux les plus significatifs sont les agrandissements qu'il apporta à l'Université libre de Bruxelles, où il fut d'ailleurs professeur. Il enseigna aussi à l'école normale des Arts du dessin de Saint-Josse-ten-Noode et à l'école industrielle de la Ville de Bruxelles.
En 1894, l'architecte Henri VAN MASSENHOVE érige au fond du jardin un bâtiment abritant des ateliers pour artistes. Ces ateliers sont reliés à une maison néoclassique sise 26, r. du Marteau. Outre ces ateliers, l'entreprise comportait un atelier de dorure, une forge, des magasins à bois, des écuries et un hangar pour le séchage de toiles. Une partie de ces bâtiments situés dans la cour seront rachetés par l'imprimerie Lesigne (voir nos 25-27) et partiellement détruits.
En 1910, un hangar à bois abritant également les écuries est transformé en atelier de fabrication de toiles par l'arch. M. DELEUVE.
En 1922, la façade à front de rue est modifiée, la vitrine de dr. remplacée par une porte d'entrée.
Vers la r. de la Charité, la façade de style éclectique présente une élévation de trois niveaux sous toiture mansardée et quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. La large façade en briques rouges est animée de cordonsCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. et d'éléments de pierre bleue. Le r.d.ch. commercial est scandé par des pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. sur socleMassif surélevant un support ou une statue. garnis d'épaisses canneluresLes cannelures sont des canaux longs, parallèles et en répétition, ornant des pilastres ou des colonnes. et agrémentés de panneaux publicitaires d'origine. À g., une porte cochère mène vers la cour bordée d'ateliers. Les deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. suivantes sont occupées par la vitrine et la porte de l'anc. commerce, la porte à l'extrême dr. remplaçant depuis 1922 une vitrine. 1er étage percé de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. à chaînage et encadrement bombé souligné par une archivolteMouluration disposée sur le front de l’arc. Le corps de moulures qui compose l’archivolte est de faible ampleur, moins complexe que celui de la corniche. frappée d'un rang de pointes de diamantBossage comptant plusieurs facettes, comme la pointe d’un diamant. et d'une clefClaveau central d’un arc ou d’une plate-bande. Il s’agit d’un élément architectonique. Le terme s'utilise également pour des éléments purement décoratifs qui évoquent une clef à rôle structurel.. Balcon en fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage., régnant sur toute la largeur de la façade. Travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. du 2e étage animées par trois pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. en pierre bleue sur socleMassif surélevant un support ou une statue., avec chapiteauxCouronnement orné ou mouluré, d’une colonne, d’un pilier ou d’un pilastre. à décor floral. Ouvertures bombées à arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. mouluré, précédées d'une barre d'appuiPetit garde-corps de faible hauteur et non saillant, compris dans l’embrasure d’une fenêtre. et soulignées d'une allègePartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. en creux. EntablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. marqué par des corbeauxPièce de pierre ou de bois partiellement engagée dans un mur et portant une charge. Le corbeau se distingue de la console par sa petite taille, il porte généralement un élément en faible saillie. D’autre part, sa section verticale est sensiblement carrée ou rectangulaire. amortissant les chapiteauxCouronnement orné ou mouluré, d’une colonne, d’un pilier ou d’un pilastre. et soutenant la corniche en bois sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. crénelées. Toiture en ardoises, percée de lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. sous élément de corniche en bois à denticules et aisseliersEn menuiserie, pièce de bois disposée de biais, portant le débordant d’un toit ou d’un auvent. En charpenterie, lien disposé en oblique, soulageant une pièce horizontale et portant sur une pièce verticale..
L'entrée cochère donne accès à une venelle bordée de bâtiments industriels et menant à un jardin. Cette venelle est parfois reprise sous le nom d'impasse de la Palette. À dr. une galerie vitrée de deux niveaux à ossature de bois et châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. à divisions relie le bâtiment à front de rue aux ateliers qui occupent trois corps distincts. Le 1er, se développant sur les cinq 1res travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. et sur cinq niveaux, servait initialement à la fabrication des couleurs. La façade en brique repose sur un important niveau de cave qui suit la déclivité du terrain. Les travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sont séparées par quatre contreforts à double talus. La 1re travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. est accostée d'une importante cheminée extérieure servant jadis à l'atelier de broyage. L'ensemble de la façade est scandé par des ressautsSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. de briques de trois assisesRang d’éléments de même hauteur posés de niveau dans une maçonnerie. L’assise désigne également la plate-forme d’un balcon ou d'une logette, portée d’ordinaire par des consoles et sur laquelle repose le garde-corps.. Les baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. sont larges, à linteaux métalliquesPoutrelle métallique de profil en I, utilisée comme linteau, souvent agrémentée de rosettes en tôle découpée. et châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. à petits-fers, celles du 1er niveau, rect. sous linteau métalliquePoutrelle métallique de profil en I, utilisée comme linteau, souvent agrémentée de rosettes en tôle découpée. ; celles des étages suivants liées et inscrites sous un arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. bombé, avec aux 3e et 4e niveaux des allègesPartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. en menuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC.. Un bandeauÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. d'entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne., à trous de boulin et corniche en bois simple bordant la toiture mansardée, fait la jonction avec l'anc. atelier de menuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC. qui se développe sur les trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. suivantes.
Cet atelier, construit par E. HENDRICKX en 1874, est un bâtiment de trois niveaux sur caves surélevées, à façade en brique de même type que le 1er corps de bâtiment décrit. L'élévation symétrique présente trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. percées de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. bombées à divisions métalliques, celles de la travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. médiane de moindre dimension, et avec au r.d.ch. une entrée à laquelle on accède par un escalier extérieur. À l'origine, les baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. de la travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiale étaient munies de balcons aux étages. Un escalier donne accès aux constructions situées en contrebas, soit un anc. atelier de deux niveaux à façade de briques couvert sur toute sa profondeur de deux verrières soutenues par une charpente en fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage.. L'intérieur se compose d'un étage en mezzanine.
Dans le jardin, une annexe d'un niveau et trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. avec toiture à un seul versant sert également d'atelier (« Le Cagibi »).
De l'autre côté de la cour-ruelle, face à l'atelier de menuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC., se dresse un bâtiment de trois niveaux implanté perpendiculairement et présentant une façade-pignon. Initialement magasin à bois et écuries, ce bâtiment est transformé en 1910 par l'arch. M. DELEUVE pour la fabrication des toiles de grandes dimensions. Des écuries sont préservées en façade. Le pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc. de briques conserve ses percements : porte d'écurie, porte de grenier à foin, oculusJour de forme circulaire, ovale ou polygonale. éclairant les comblesEspace intérieur de la toiture.. Ce bâtiment a été réduit lors de la vente d'une partie des terrains à l'imprimerie Lesigne. Les autres constructions mitoyennes appartenaient à l'ancienne imprimerie Lesigne act. démolie (voir nos 25-27).
Les activités de la Maison Mommen étaient très diversifiées : entoilage, marouflage, encadrements, broyage des couleurs. Mécène et agent, F. Mommen veillait aussi à procurer logements et ateliers à de nombreux peintres et à exposer leur production. Rapidement, les établissements Mommen devinrent le lieu de rencontre du tout Bruxelles artistique et littéraire.
Parmi les artistes ayant travaillé au sein du phalanstère : Alfred Verwée (1838-1895), Jean-François Portaels (1818-1895), Emile Wauters (1846-1933), Léon Frédéric (1856-1940), Constantin Meunier (1831-1905) , Fernand Allard L'Olivier (1883-1933), Théo Van Rysselberghe (1862-1926), Henri Evenepoel (1872-1899), Xavier Mellery (1845-1921) et Pierre Paulus (1881-1959).
Outre la fabrication du matériel traditionnel, la maison Mommen se spécialisa également dans la fabrication et la préparation des toiles panoramiques. C'est ainsi qu'elle fournit le matériel pour e.a. le Bourbaki panorama d'Edouard Castres (1838-1902), le Panorama du Caire d'Emile Wauters (1846-1933), le Panorama du Congo (1903) par Paul Mathieu (1872-1932) et Alfred Bastien (1873-1955), et celui de la bataille de l'Yser (1922) aussi par Alfred Bastien.
Après la mort de Félix Mommen en 1914, l'entreprise continua ses activités mais s'orienta davantage vers la vente de matériaux et d'encadrements ainsi que la restauration de tableaux. Continuant ses activités sous le label Établissements De Wandel (v. 1950), la production des toiles et couleurs cessa complètement, mais la firme s'intéressa par contre aux écrans de cinéma. Les activités perdurèrent jusque dans les années 1980, mais leur réduction entraîna la vente de certains bâtiments (vers la r. du Marteau et dans la cour). Les ateliers ont en revanche continué à être utilisés par des artistes aussi divers que M. DUTRIEUX, M. VOSCH, P. CORDIER.
Ensemble classé comme monument par AR du 24.9.1992 pour sa valeur historique et artistique.
Les constructions s'échelonnent entre 1874 et 1910. Une 1re demande de permis de bâtir est introduite en mai 1874 pour la construction d'un atelier au fond de la parcelle par l'architecte Ernest HENDRICKX. Une 2e demande est introduite cinq mois plus tard pour la construction d'un immeuble à front de rue abritant au r.d.ch. un magasin, à l'étage une habitation et vers la cour des ateliers pour la fabrication des couleurs. E. HENDRICKX (1844-1892), anc. élève des ateliers de VIOLLET-LE-DUC à Paris, alors dirigés par Anatole DE BAUDOT, s'inspira largement tout au long de sa carrière des théories répandues par le rationalisme français, lequel fait une large part à la logique démonstrative. On lui doit des projets d'écoles et de fermes modèles. Ses travaux les plus significatifs sont les agrandissements qu'il apporta à l'Université libre de Bruxelles, où il fut d'ailleurs professeur. Il enseigna aussi à l'école normale des Arts du dessin de Saint-Josse-ten-Noode et à l'école industrielle de la Ville de Bruxelles.
En 1894, l'architecte Henri VAN MASSENHOVE érige au fond du jardin un bâtiment abritant des ateliers pour artistes. Ces ateliers sont reliés à une maison néoclassique sise 26, r. du Marteau. Outre ces ateliers, l'entreprise comportait un atelier de dorure, une forge, des magasins à bois, des écuries et un hangar pour le séchage de toiles. Une partie de ces bâtiments situés dans la cour seront rachetés par l'imprimerie Lesigne (voir nos 25-27) et partiellement détruits.
En 1910, un hangar à bois abritant également les écuries est transformé en atelier de fabrication de toiles par l'arch. M. DELEUVE.
En 1922, la façade à front de rue est modifiée, la vitrine de dr. remplacée par une porte d'entrée.
Vers la r. de la Charité, la façade de style éclectique présente une élévation de trois niveaux sous toiture mansardée et quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. La large façade en briques rouges est animée de cordonsCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. et d'éléments de pierre bleue. Le r.d.ch. commercial est scandé par des pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. sur socleMassif surélevant un support ou une statue. garnis d'épaisses canneluresLes cannelures sont des canaux longs, parallèles et en répétition, ornant des pilastres ou des colonnes. et agrémentés de panneaux publicitaires d'origine. À g., une porte cochère mène vers la cour bordée d'ateliers. Les deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. suivantes sont occupées par la vitrine et la porte de l'anc. commerce, la porte à l'extrême dr. remplaçant depuis 1922 une vitrine. 1er étage percé de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. à chaînage et encadrement bombé souligné par une archivolteMouluration disposée sur le front de l’arc. Le corps de moulures qui compose l’archivolte est de faible ampleur, moins complexe que celui de la corniche. frappée d'un rang de pointes de diamantBossage comptant plusieurs facettes, comme la pointe d’un diamant. et d'une clefClaveau central d’un arc ou d’une plate-bande. Il s’agit d’un élément architectonique. Le terme s'utilise également pour des éléments purement décoratifs qui évoquent une clef à rôle structurel.. Balcon en fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage., régnant sur toute la largeur de la façade. Travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. du 2e étage animées par trois pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. en pierre bleue sur socleMassif surélevant un support ou une statue., avec chapiteauxCouronnement orné ou mouluré, d’une colonne, d’un pilier ou d’un pilastre. à décor floral. Ouvertures bombées à arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. mouluré, précédées d'une barre d'appuiPetit garde-corps de faible hauteur et non saillant, compris dans l’embrasure d’une fenêtre. et soulignées d'une allègePartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. en creux. EntablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. marqué par des corbeauxPièce de pierre ou de bois partiellement engagée dans un mur et portant une charge. Le corbeau se distingue de la console par sa petite taille, il porte généralement un élément en faible saillie. D’autre part, sa section verticale est sensiblement carrée ou rectangulaire. amortissant les chapiteauxCouronnement orné ou mouluré, d’une colonne, d’un pilier ou d’un pilastre. et soutenant la corniche en bois sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. crénelées. Toiture en ardoises, percée de lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. sous élément de corniche en bois à denticules et aisseliersEn menuiserie, pièce de bois disposée de biais, portant le débordant d’un toit ou d’un auvent. En charpenterie, lien disposé en oblique, soulageant une pièce horizontale et portant sur une pièce verticale..
L'entrée cochère donne accès à une venelle bordée de bâtiments industriels et menant à un jardin. Cette venelle est parfois reprise sous le nom d'impasse de la Palette. À dr. une galerie vitrée de deux niveaux à ossature de bois et châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. à divisions relie le bâtiment à front de rue aux ateliers qui occupent trois corps distincts. Le 1er, se développant sur les cinq 1res travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. et sur cinq niveaux, servait initialement à la fabrication des couleurs. La façade en brique repose sur un important niveau de cave qui suit la déclivité du terrain. Les travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sont séparées par quatre contreforts à double talus. La 1re travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. est accostée d'une importante cheminée extérieure servant jadis à l'atelier de broyage. L'ensemble de la façade est scandé par des ressautsSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. de briques de trois assisesRang d’éléments de même hauteur posés de niveau dans une maçonnerie. L’assise désigne également la plate-forme d’un balcon ou d'une logette, portée d’ordinaire par des consoles et sur laquelle repose le garde-corps.. Les baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. sont larges, à linteaux métalliquesPoutrelle métallique de profil en I, utilisée comme linteau, souvent agrémentée de rosettes en tôle découpée. et châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. à petits-fers, celles du 1er niveau, rect. sous linteau métalliquePoutrelle métallique de profil en I, utilisée comme linteau, souvent agrémentée de rosettes en tôle découpée. ; celles des étages suivants liées et inscrites sous un arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. bombé, avec aux 3e et 4e niveaux des allègesPartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. en menuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC.. Un bandeauÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. d'entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne., à trous de boulin et corniche en bois simple bordant la toiture mansardée, fait la jonction avec l'anc. atelier de menuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC. qui se développe sur les trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. suivantes.
Cet atelier, construit par E. HENDRICKX en 1874, est un bâtiment de trois niveaux sur caves surélevées, à façade en brique de même type que le 1er corps de bâtiment décrit. L'élévation symétrique présente trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. percées de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. bombées à divisions métalliques, celles de la travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. médiane de moindre dimension, et avec au r.d.ch. une entrée à laquelle on accède par un escalier extérieur. À l'origine, les baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. de la travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiale étaient munies de balcons aux étages. Un escalier donne accès aux constructions situées en contrebas, soit un anc. atelier de deux niveaux à façade de briques couvert sur toute sa profondeur de deux verrières soutenues par une charpente en fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage.. L'intérieur se compose d'un étage en mezzanine.
Dans le jardin, une annexe d'un niveau et trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. avec toiture à un seul versant sert également d'atelier (« Le Cagibi »).
De l'autre côté de la cour-ruelle, face à l'atelier de menuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC., se dresse un bâtiment de trois niveaux implanté perpendiculairement et présentant une façade-pignon. Initialement magasin à bois et écuries, ce bâtiment est transformé en 1910 par l'arch. M. DELEUVE pour la fabrication des toiles de grandes dimensions. Des écuries sont préservées en façade. Le pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc. de briques conserve ses percements : porte d'écurie, porte de grenier à foin, oculusJour de forme circulaire, ovale ou polygonale. éclairant les comblesEspace intérieur de la toiture.. Ce bâtiment a été réduit lors de la vente d'une partie des terrains à l'imprimerie Lesigne. Les autres constructions mitoyennes appartenaient à l'ancienne imprimerie Lesigne act. démolie (voir nos 25-27).
Classement 24.09.1992.
Sources
Archives
ACSJ/Urb./TP 1518, 1577 (1874), 8105 (1910), 9395 (1922), 9855 (1924).
CRMS dossier no 2.31.
MC Dossier Mommen.
Ouvrages
DU JACQUIER, Y., Saint-Josse-ten-Noode au temps des équipages. Nouvelles promenades à bâtons rompus, La Hulpe, 1963, pp. 91-106.
Inventaire visuel de l'architecture industrielle à Bruxelles, Saint-Josse-ten-Noode, AAM, Bruxelles, 1980-1982, fiche 9.
Maison Mommen, Matériel et Accessoires divers pour les Beaux-Arts et le Dessin, Articles de bureau, Catalogue Général, septembre 1921, Bruxelles, 1921.
Périodiques
DU JACQUIER, Y., «Les établissements Mommen Centre d'Art», Brabant Tourisme, 10, 1960, pp. 7-9.
DU JACQUIER, Y., «Les établissements Mommen Centre d'Art», Brabant Tourisme, 11, 1960, pp. 25-27.
DU JACQUIER, Y., «Les établissements Mommen Centre d'Art», Brabant Tourisme, 12, 1960, pp. 21-23.
LEROY, I., «Mais où sont donc passés nos panoramas», Brabant Tourisme, 9, 1992, pp. 30-39.
ACSJ/Urb./TP 1518, 1577 (1874), 8105 (1910), 9395 (1922), 9855 (1924).
CRMS dossier no 2.31.
MC Dossier Mommen.
Ouvrages
DU JACQUIER, Y., Saint-Josse-ten-Noode au temps des équipages. Nouvelles promenades à bâtons rompus, La Hulpe, 1963, pp. 91-106.
Inventaire visuel de l'architecture industrielle à Bruxelles, Saint-Josse-ten-Noode, AAM, Bruxelles, 1980-1982, fiche 9.
Maison Mommen, Matériel et Accessoires divers pour les Beaux-Arts et le Dessin, Articles de bureau, Catalogue Général, septembre 1921, Bruxelles, 1921.
Périodiques
DU JACQUIER, Y., «Les établissements Mommen Centre d'Art», Brabant Tourisme, 10, 1960, pp. 7-9.
DU JACQUIER, Y., «Les établissements Mommen Centre d'Art», Brabant Tourisme, 11, 1960, pp. 25-27.
DU JACQUIER, Y., «Les établissements Mommen Centre d'Art», Brabant Tourisme, 12, 1960, pp. 21-23.
LEROY, I., «Mais où sont donc passés nos panoramas», Brabant Tourisme, 9, 1992, pp. 30-39.
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