Typologie(s)
magasin
Intervenant(s)
Victor HORTA – architecte – 1907
Styles
Art nouveau
Inventaire(s)
- Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
2016
id
Urban : 33719
Description
Ancien «Magasins Hiclet», dessinés
en style Art nouveauStyle Art nouveau (de 1893 à 1914 environ). Mouvement international, avec de fortes variantes locales, né en réaction aux styles « néo ». En Belgique, ce courant connaît deux tendances : d’un côté, sous l’égide de Victor Horta, l'Art nouveau « floral », aux lignes organiques ; de l’autre, l'Art nouveau géométrique, influencé par l'art de Paul Hankar ou la Sécession viennoise. par l’architecte Victor Horta en 1907 pour J. Hiclet et
réalisés en 1907-1908.
Quatre niveaux plus entresol et six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous toit mansardé. Construction avec structure en fer. À l’origine, rez-de-chaussée abritant deux magasins, celui de gauche avec galerie à l’entresol; partie supérieure sur plan en I, éclairée en son milieu par deux cours latérales, abritant, par étage, quatre suites avec chambres et bureaux autour d’une cage d’escalier centrale. Façade composée symétriquement sur un rythme horizontal. Haut rez-de-chaussée commercial, à l’origine avec structure métallique entièrement vitrée et entrée centrale en retrait; actuellement modifié. Aux étages, couverts d’un enduit lisse : portes-fenêtres rectangulaires, celles des larges travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. extrêmes en triplet et séparées par des colonnettes en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion.; balcons caractéristiques sur consoles — successivement continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées., jumelés ou individuels dans les quatre travées axiales — avec garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... fermés par des plaques métalliques. Au dernier étage, trumeauxPan de mur compris entre deux travées ou entre deux baies d'un même niveau. panneautés en creux. Corniche simple. Six lucarnes rectangulaires dans l’alignement. Façade arrière, donnant sur l’impasse du Cheval, à l’origine similaire mais moins haute d’un niveau et percée au centre d’un passage; actuellement transformée. Fait actuellement partie de I’« Hôtel Métropole» (voir place de Brouckère, n°31).
Quatre niveaux plus entresol et six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous toit mansardé. Construction avec structure en fer. À l’origine, rez-de-chaussée abritant deux magasins, celui de gauche avec galerie à l’entresol; partie supérieure sur plan en I, éclairée en son milieu par deux cours latérales, abritant, par étage, quatre suites avec chambres et bureaux autour d’une cage d’escalier centrale. Façade composée symétriquement sur un rythme horizontal. Haut rez-de-chaussée commercial, à l’origine avec structure métallique entièrement vitrée et entrée centrale en retrait; actuellement modifié. Aux étages, couverts d’un enduit lisse : portes-fenêtres rectangulaires, celles des larges travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. extrêmes en triplet et séparées par des colonnettes en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion.; balcons caractéristiques sur consoles — successivement continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées., jumelés ou individuels dans les quatre travées axiales — avec garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... fermés par des plaques métalliques. Au dernier étage, trumeauxPan de mur compris entre deux travées ou entre deux baies d'un même niveau. panneautés en creux. Corniche simple. Six lucarnes rectangulaires dans l’alignement. Façade arrière, donnant sur l’impasse du Cheval, à l’origine similaire mais moins haute d’un niveau et percée au centre d’un passage; actuellement transformée. Fait actuellement partie de I’« Hôtel Métropole» (voir place de Brouckère, n°31).
Sources
Archives
AVB/TP 3983 (1907-1908).