Typologie(s)

maison ou immeuble de rapport

Intervenant(s)

F. VOTRON1931

Statut juridique

Inscrit à l’inventaire légal le 19 août 2024

Styles

Art Déco

Inventaire(s)

  • Le patrimoine monumental de la Belgique. Laeken (Archistory - 2016-2019)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

Recherches et rédaction

2016-2017

id

Urban : 37799
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Description

Maison de rapport d’inspiration Art DécoStyle Art Déco (entre-deux-guerres). Tendance à la géométrisation des formes et des ornements architecturaux, doublée de jeux de matériaux, de textures et de couleurs., de composition asymétriqueDans l'inventaire, une façade est dite de composition asymétrique lorsqu’elle compte deux travées inégales. À Bruxelles, ce type de façade s’élève souvent sur trois niveaux. La travée principale est d’ordinaire mise en évidence par un ressaut, par un ou plusieurs balcons et par un décor plus élaboré. Les caves, d’ordinaire à demi enterrées, se marquent en façade par un soubassement élevé., signée et millésimée au rez-de-chaussée en lettre métalliques «F. VOTRON / ARCH. 1931».

Elle débute une enfilade particulièrement cohérente d’immeubles dotés d’un jardinet avant, se clôturant au no157.

Façade en briques brunes, rehaussée d’éléments enduitsL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc., de pierre blanche et de pierre bleue. SoubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. percé dès l’origine d’une entrée de garage. OrielLa logette est un petit ouvrage en surplomb qui s’étend sur un seul étage, contrairement à l’oriel qui en compte plusieurs ou s’allonge sur plusieurs travées. Contrairement au bow-window, logette et oriel sont d’ordinaire de plan rectangulaire ou trapézoïdal et semblent appliqués sur la façade. de plan trapézoïdal de deux niveaux sous terrasse, cette dernière remplacée par un niveau supplémentaire en 1946 (architecte Paul Le Bon). Porte sous cornicheCorniche. Élément de couronnement d’un entablement, d’une élévation ou d’un élément d’élévation comme une baie ou une lucarne. La corniche se compose de moulures en surplomb les unes par rapport aux autres. La cimaise est la moulure supérieure de la corniche, située au-dessus du larmier. et baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. d’imposte, précédée d’un emmarchement et flanquée d’une petite fenêtre. Toiture mansardéeUne toiture est dite mansardée lorsqu'elle présente deux pentes différentes sur le même versant. Le brisis est le pan inférieur de la toiture mansardée. Le pan supérieur se nomme le terrasson. en 1933 par le même architecte. Deux lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. de menuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC.. Grilles de la porte, de la petite fenêtre et partie du garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... de l’ancienne terrasse conservées. Porte d’origine.

Zone de recul privée de sa clôture.

Sources

Archives
AVB/TP 39829 (1931), 40634 (1933), 56775 (1946).