Typologie(s)
immeuble à appartements
immeuble de bureaux
rez-de-chaussée commercial
immeuble de bureaux
rez-de-chaussée commercial
Intervenant(s)
Lucien-Jacques BAUCHER – architecte – 1961-1962
Jean-Pierre BLONDEL – architecte – 1961-1962
Odette FILIPPONE – architecte – 1961-1962
Styles
modernisme d'après-guerre
Inventaire(s)
- Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
- Le patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Extension Sud (Apeb - 2005-2008)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
Recherches et rédaction
2005-2006
id
Urban : 16043
Description
Immeuble d'appartements, de bureaux et de commerces, de style moderniste, conçu par l'architecte L. J. Baucher, en collaboration avec J. P. Blondel et O. Filippone. Travaux menés en deux phases, de 1962 à 1965, au fur et à mesure que les entreprises Herpain, promoteur, réussissent à acquérir les maisons adjacentes.
Élévation de 40 m de large sur treize niveaux, sans retrait pour les derniers étages. 1er et 2e niveaux entièrement vitrés en verre collé, séparés par un auventPetit toit couvrant un espace devant une porte ou une vitrine. continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées., mi-extérieur, mi-intérieur. Au 3e niveau, bande de panneaux-sandwichs blancs. À partir du 4e niveau, balcons continus devançant les étages, sur une assiseRang d’éléments de même hauteur posés de niveau dans une maçonnerie. L’assise désigne également la plate-forme d’un balcon ou d'une logette, portée d’ordinaire par des consoles et sur laquelle repose le garde-corps. légèrement profilée. Façade largement ajourée ; châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. en teck avec ouvrants coulissants. Garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en glace Triplex armée et fumée ; main courantePièce supérieure d’une rampe d’escalier ou d’un garde-corps, sur laquelle on peut prendre appui en teck.
Intérieur. Appartements de tailles diverses, desservis par deux trémies de deux ascenseurs chacune. Finitions intérieures soignées : murs en briques et larges zones en galets blancs de Carrare. Signalisation dans un même caractère (graphiste R. Denaeyer). Hall d'entrée décoré d'un panneau en lamelles métalliques de Walter Leblanc et d'un « chimigramme » de Pierre Cordier.
Parking en sous-sols avec accès rue de Praetere. Au-dessus des parkings, en intérieur d'îlot, vaste construction d'un niveau unique sous toiture aménagée en jardin.
Élévation de 40 m de large sur treize niveaux, sans retrait pour les derniers étages. 1er et 2e niveaux entièrement vitrés en verre collé, séparés par un auventPetit toit couvrant un espace devant une porte ou une vitrine. continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées., mi-extérieur, mi-intérieur. Au 3e niveau, bande de panneaux-sandwichs blancs. À partir du 4e niveau, balcons continus devançant les étages, sur une assiseRang d’éléments de même hauteur posés de niveau dans une maçonnerie. L’assise désigne également la plate-forme d’un balcon ou d'une logette, portée d’ordinaire par des consoles et sur laquelle repose le garde-corps. légèrement profilée. Façade largement ajourée ; châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. en teck avec ouvrants coulissants. Garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en glace Triplex armée et fumée ; main courantePièce supérieure d’une rampe d’escalier ou d’un garde-corps, sur laquelle on peut prendre appui en teck.
Intérieur. Appartements de tailles diverses, desservis par deux trémies de deux ascenseurs chacune. Finitions intérieures soignées : murs en briques et larges zones en galets blancs de Carrare. Signalisation dans un même caractère (graphiste R. Denaeyer). Hall d'entrée décoré d'un panneau en lamelles métalliques de Walter Leblanc et d'un « chimigramme » de Pierre Cordier.
Parking en sous-sols avec accès rue de Praetere. Au-dessus des parkings, en intérieur d'îlot, vaste construction d'un niveau unique sous toiture aménagée en jardin.
Sources
Archives
AVB/TP 74985 (1962).
Ouvrages
ARON, J., BURNIAT, P., PUTTEMANS, P., Guide d'Architecture Moderne, Bruxelles et environs, 1890-1990, Hatier, Bruxelles, 1990, p. 94.
Périodiques
« Résidence Vincennes », Architecture, 69, 1966, pp. 270-277.
« Résidence Vincennes, à Bruxelles », La Maison, 3, 1966, pp. 78-89.