Typologie(s)

marché couvert/halle

Intervenant(s)

Wynand JANSSENSarchitecte1875-1880

Statut juridique

Inscrit à l’inventaire légal le 19 août 2024

Styles

Éclectisme

Inventaire(s)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

Recherches et rédaction

2016

id

Urban : 32777
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Description

Ancien marché couvert et imposant complexe commercial de style éclectiqueStyle éclectique (de 1850 à 1914 environ). Courant architectural original puisant librement son inspiration dans plusieurs styles., construit de 1875 à 1880 sur les plans de l’architecte Wynand Janssens pour la «Compagnie générale des Marchés».

Vaste construction de plan trapézoïdal, occupant la totalité de l’îlot formé par le boulevard Lemonnier, l’avenue de Stalingrad, les rues Roger van der Weyden et de la Fontaine. Construction en pierres bleue et blanche, cantonnée de pavillonsLe toit en pavillon est un toit à quatre versants droits couvrant un corps de bâtiment de plan sensiblement carré. La lucarne en pavillon est une lucarne dont le toit est en pavillon. et formée de quatre corps de bâtiments entourant deux cours intérieures vitrées à l’origine, séparées par un passage couvert appelé «Passage du Travail». À l’origine, rez-de-chaussée occupé totalement par une couronne de magasins donnant sur la voirie, doublée, vers les cours intérieures, d’une seconde rangée de commerces; cour nord destinée au «Marché-Bazar»; cour sud réservée aux expositions et entourée de galeriesUne galerie est un espace couvert dévolu au passage, d'ordinaire rythmé de supports. Un portique désigne plus particulièrement une galerie ouverte sur l’extérieur par un rang d’arcades ou de colonnes. Le portique se situe au rez-de-chaussée d’un bâtiment. Il peut également être indépendant.. Premier étage, initialement prévu pour recevoir 100 grandes échoppes et 124 petites, aménagé dès 1885 par la Ville de Bruxelles pour son École Industrielle. Vendu en 1907 à la Ville, édifice progressivement transformé en locaux administratifs municipaux et scolaires; de 1924 à 1927, importante campagne de rénovation et d’aménagement sur les plans de l’architecte M. Van Ysendijck. Profonds remaniements intérieurs, entre autres transformation du hall sud en salle de guichets. Pour laisser entrer plus de lumière, changements assez radicaux de la façade ouest (boulevard Lemonnier) et de son retour d’angle au sud (rue de la Fontaine); à cette occasion, suppression de nombreux éléments décoratifs et adjonction d’une toiture mansardéeUne toiture est dite mansardée lorsqu'elle présente deux pentes différentes sur le même versant. Le brisis est le pan inférieur de la toiture mansardée. Le pan supérieur se nomme le terrasson. au-dessus de l’aile ouest et de l’aile centrale. De 1950 à 1958, rénovation de l’aile est : abaissement des appuisAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. de l’attique d’origine et création, en retrait, d’un étage supplémentaire; remaniements intérieurs. Depuis 1979, restauration progressive de l’ensemble sur les plans des architectes A. et J. Polak terminée en 1992 : valorisation de la fonction commerciale, aménagement d’un complexe sportif dans la partie nord et rénovation de l’école au sud.

Façades revêtues d’un parementRevêtement de la face extérieure d’un mur. de pierre blanche sur soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. de pierre bleue; trois niveaux plus entresolEntresol ou étage entresolé. Demi-niveau qui surmonte généralement un rez-de-chaussée., quarante-cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. à l’ouest et à l’est, dix-sept au nord et onze au sud. Construction symétrique pour laquelle l’accent est porté sur les pavillonsLe toit en pavillon est un toit à quatre versants droits couvrant un corps de bâtiment de plan sensiblement carré. La lucarne en pavillon est une lucarne dont le toit est en pavillon. d’angle et les parties axiales, caractérisée par le rythme vertical, les lignes horizontales marquées et l’abondance du vitrage. Rez-de-chaussée à refendsLe refend est un canal dans un parement, accusant ou simulant le tracé de joints d'un appareil à bossages.; étages rythmés de pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. corinthiens d’ordre colossalUn pilastre, une colonne ou un autre support est dit colossal lorsqu’il s’élève sur plusieurs niveaux ou sur la plus grande partie de la hauteur du bâtiment., couronnés d’une cornicheCorniche. Élément de couronnement d’un entablement, d’une élévation ou d’un élément d’élévation comme une baie ou une lucarne. La corniche se compose de moulures en surplomb les unes par rapport aux autres. La cimaise est la moulure supérieure de la corniche, située au-dessus du larmier. et d’un attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement. aveugleUn élément est dit aveugle lorsqu’il est dénué d’ouverture. Une baie aveugle est un élément construit sans ouverture, imitant une porte ou une fenêtre.. Ornementation très soignée d’inspiration Second EmpireStyle Empire (de 1800 à 1850 environ). Tendance particulière du néoclassicisme caractérisée par un décor d’inspiration archéologique (palmettes, sphinx, griffons, etc.), issu de l’Antiquité grecque, romaine ou égyptienne., entre autres rosacesRosace. Ornement symétrique circulaire évoquant une fleur stylisée ou d’autres végétaux. Se dit également d’une baie circulaire à remplage et/ou vitrail, analogue à cet ornement. La rosette est une rosace de petite taille., frisesBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. de méandresMéandre et grecque. Ornements composés de lignes droites raccordées à angle droit. Le méandre est en forme de U enchaînés tandis que la grecque se compose de lignes se refermant sur elles-mêmes à la manière d’une spirale. ou de feuilles d’acanthe, festonsDécor figurant une guirlande de fleurs, de feuilles ou d’étoffes, pendant en forme d'arc., mascaronsDécor sculpté figurant un visage humain ou un masque., mufles de lions, motifs d’abeille et symboles d’Hermès.


boulevard Maurice Lemonnier 132-172. Palais du Midi (photo 1983).



Façades est et ouest initialement identiques; façades nord et sud présentant les mêmes éléments de manière légèrement différente; ensemble couvert de bâtièresToit à deux versants.; toitures mansardéesUne toiture est dite mansardée lorsqu'elle présente deux pentes différentes sur le même versant. Le brisis est le pan inférieur de la toiture mansardée. Le pan supérieur se nomme le terrasson. sur les pavillonsLe toit en pavillon est un toit à quatre versants droits couvrant un corps de bâtiment de plan sensiblement carré. La lucarne en pavillon est une lucarne dont le toit est en pavillon. d’angle. Asymétrie actuelle des élévationsDessin à l'échelle d'une des faces verticales d’un édifice. Par extension, façade d'un bâtiment ou ensemble de ses façades. due aux transformations de 1924-1927.

Façade est (avenue de Stalingrad) conservant l’aspect d’origine : ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. axial traité en portiqueUne galerie est un espace couvert dévolu au passage, d'ordinaire rythmé de supports. Un portique désigne plus particulièrement une galerie ouverte sur l’extérieur par un rang d’arcades ou de colonnes. Le portique se situe au rez-de-chaussée d’un bâtiment. Il peut également être indépendant. surbaisséUn élément est dit surbaissé lorsqu’il est cintré en arc de cercle inférieur au demi-cercle. à décoration de guirlandesLa guirlande est un décor figurant un cordon de fleurs, feuilles ou fruits. sur haut soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue., pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. jumelésDes éléments sont dits jumeaux, jumelés ou géminés lorsqu’ils sont répétés de manière identique. Ces éléments peuvent être plus nombreux que deux., entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. interrompu et frontonCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches. monumental cintré et briséUn élément est dit brisé, en ogive ou ogival lorsqu’il est composé de deux arcs de cercle se rejoignant en pointe., orné de volutesOrnement enroulé en spirale que l’on trouve notamment sur les chapiteaux ioniques, les consoles, les ailerons, etc. et flanqué de cariatidesStatue féminine jouant le rôle d’une colonne ou d’une console et portant une corniche, un entablement, un chapiteau ou un balcon. de part et d’autre du cartoucheDécor composé d’une table plane ou bombée, aux contours généralement sinueux, bordée d’un décor sculpté et/ou d’une mouluration, et sur laquelle prend parfois place un blason ou une inscription. Le médaillon est un cartouche rond ou ovale. portant l’inscription «PALAIS DU MIDI - ZUIDPALEIS», sous les armes de la Ville de Bruxelles. Fermée de grilles en ferronnerie, entrée du passage accostée de colonnesUne colonne est un support vertical formé d’un fût de plan circulaire ou polygonal et souvent d’un chapiteau et d’une base. Une colonnette désigne une petite colonne. toscanes jumeléesDes éléments sont dits jumeaux, jumelés ou géminés lorsqu’ils sont répétés de manière identique. Ces éléments peuvent être plus nombreux que deux. en marbre sous entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. ouvragé ; châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. de bois pour les fenêtres de l’étage. PavillonsLe toit en pavillon est un toit à quatre versants droits couvrant un corps de bâtiment de plan sensiblement carré. La lucarne en pavillon est une lucarne dont le toit est en pavillon. d’angle de quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., marqués par les ressautsSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. d’angle couronnés de frontonsCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches. identiques, percés d’oculi et couronnés de mascaronsDécor sculpté figurant un visage humain ou un masque.; bel étage muni de balcons, initialement à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion., larmiersMouluration horizontale qui présente un canal creusé dans sa partie inférieure, servant à décrocher les gouttes d’eau afin d’éviter leur ruissellement sur la façade. Le larmier isolé possède un chanfrein comme moulure supérieure. Le larmier constitue l'un des éléments de la corniche. et couronnement classique; dernier niveau en attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement., scandé de consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. et de pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau.. Travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. intermédiaires inscrites dans des nichesUne niche est un renfoncement dans l’épaisseur d’un mur, qui reçoit parfois un élément décoratif. Elle peut présenter un couvrement et un plan variés, droits ou cintrés. Un élément logé dans une niche sera dit niché. monumentales rythmées par des pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau.. Pour chacune, deux vitrines de part et d’autre d’une porte au rez-de-chaussée; châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. de bois à l’entresol et aux étages liés, ajourés de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. jumeléesDes éléments sont dits jumeaux, jumelés ou géminés lorsqu’ils sont répétés de manière identique. Ces éléments peuvent être plus nombreux que deux. séparées par un montant rudentéLe terme rudentures désigne un ornement en forme de bâtons unis ou sculptés en motif de corde ou de végétal. dont la partie supérieure supporte un Hermès; baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. du niveau d’attique (rabaissée en 1950-1958) flanquée de consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. étirées. Au pavillonLe toit en pavillon est un toit à quatre versants droits couvrant un corps de bâtiment de plan sensiblement carré. La lucarne en pavillon est une lucarne dont le toit est en pavillon. d’angle sud, simplification des frontonsCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches. cintrés et adjonction de lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres.; toiture des travées intermédiaires remplacée par un attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement. en retrait.

Façade ouest (boulevard Maurice Lemonnier) autrefois identique à celle de l’avenue : pavillonLe toit en pavillon est un toit à quatre versants droits couvrant un corps de bâtiment de plan sensiblement carré. La lucarne en pavillon est une lucarne dont le toit est en pavillon. d’angle sud adapté comme pour la façade est, avec de surcroît l’étirement vertical des fenêtres supérieures brisant l’entablement. Travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. intermédiaires éclairées de fenêtres jumeléesDes éléments sont dits jumeaux, jumelés ou géminés lorsqu’ils sont répétés de manière identique. Ces éléments peuvent être plus nombreux que deux. à châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. de bois se prolongeant sur le troisième niveau. Toiture mansardéeUne toiture est dite mansardée lorsqu'elle présente deux pentes différentes sur le même versant. Le brisis est le pan inférieur de la toiture mansardée. Le pan supérieur se nomme le terrasson. éclairée de lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. plates.

Façade nord (rue Roger van der Weyden) : élévation d’origine intacte correspondant à celle de la façade est : ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. central plus sobre, pavillonsLe toit en pavillon est un toit à quatre versants droits couvrant un corps de bâtiment de plan sensiblement carré. La lucarne en pavillon est une lucarne dont le toit est en pavillon. d’angle identiques. Travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. intermédiaires initialement ajourées d’accès carrossables flanqués de colonnettesUne colonne est un support vertical formé d’un fût de plan circulaire ou polygonal et souvent d’un chapiteau et d’une base. Une colonnette désigne une petite colonne. en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion..

Façade sud (rue de la Fontaine) : façade transformée, surtout dans la partie ouest. RessautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. axial comme aux façades est et ouest. Travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. traitées comme celles des pavillonsLe toit en pavillon est un toit à quatre versants droits couvrant un corps de bâtiment de plan sensiblement carré. La lucarne en pavillon est une lucarne dont le toit est en pavillon. d’angle, à ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. d’angle : frontonsCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches. cintrés simplifiés et adjonction de lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres., prolongation verticale des fenêtres d’étage brisant l’entablement dans la partie ouest, ainsi que des ouvertures du rez-de-chaussée dans la partie est.

Cours intérieures initialement couvertes par une charpente métallique vitrée tripartite, soutenue par des colonnesUne colonne est un support vertical formé d’un fût de plan circulaire ou polygonal et souvent d’un chapiteau et d’une base. Une colonnette désigne une petite colonne. en métal. Totalement transformée et aménagée en salle de sport au nord ; enduitL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc. et arcadesBaie aveugle ou non, coiffée d'un arc, souvent en répétition et allant jusqu’au sol. surbaisséesUn élément est dit surbaissé lorsqu’il est cintré en arc de cercle inférieur au demi-cercle. conservés au sud, malgré la suppression de la charpente.

Passage du Travail présentant un alignement de pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau., éclairé de grandes vitrines de part et d’autre et couvert d’un plafond plat; accès vers les halles supprimé.

Sources

Archives
AVB/TP 2983 et 25212 (1874-1880), 7575 et 4027 (1907), 58066-58070 (1924-1927), 77685, 77652, 72805, 77728 et 71937 (1950-1958), 88376 (1979).
AVB/P.P. 2230, 1032.
AVB/N.P.P., K 3.

Ouvrages
Poelaert et son temps, Bruxelles, 1980, pp. 50-56, 228-231.