Typologie(s)
église/cathédrale/basilique
presbytère/cure
orgue
presbytère/cure
orgue
Intervenant(s)
Jacques COLPAERT – (maître) verrier – 1947
Edmond SERNEELS – architecte – 1925
Gustave DEKEYSER – entrepreneur – 1931
Jean STILLEMANS – ingénieur-architecte – 1931
Jozef LONCKE – facteur d'orgues – 1954
Statut juridique
Inscrit à l’inventaire légal le 19 août 2024
Styles
Néo-roman
Inventaire(s)
- Actualisation de l'inventaire d'urgence (Sint-Lukasarchief - 1993-1994)
- Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
- Le patrimoine monumental de la Belgique. Etterbeek (DMS-DML - 1994-1997)
- Inventaire des orgues en Région de Bruxelles-Capitale (DMS-DML - 2000)
- Les charpentes dans les églises de la Région de Bruxelles-Capitale 1830-1940 (Urban - 2019)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique La signature d’un bien immeuble (bâtiment) par un architecte de renom ne peut pas être considérée comme un critère absolu. Pour évaluer la place qu’un bien occupe dans l’œuvre d’un architecte, ce critère doit être modulé avec la qualité architecturale (composition et structure interne) du bien, sa mise en œuvre (matériaux, maîtrise technique) et la place qu’il occupe dans l’histoire de l’architecture, ces trois éléments pouvant témoigner d’une phase ou d’un aspect de l’architecture urbaine ou paysagère du passé. Les critères suivants s’appliquent alors pour évaluer l’intérêt artistique : la rareté (typologie, style, utilisation des matériaux, sources), la représentativité (idem) et l’intégrité (idem + qualité d’exécution).
- Esthétique Le bien possède un intérêt esthétique s’il stimule les sens de l’observateur de manière positive (l’expérience de la beauté). Historiquement, cette valeur était utilisée pour désigner des zones naturelles ou semi-naturelles de grande valeur, mais elle peut également s’appliquer à de grands ensembles de bâtiments dans une zone urbaine, avec ou sans éléments naturels, ou à des monuments qui marquent le paysage urbain. D’autres intérêts sont automatiquement pris en considération, l’artistique en premier lieu, mais aussi le paysager (intégration de l’œuvre dans le paysage urbain, points de repère dans la ville) et l’urbanistique (ensembles urbains spontanés ou rationnels). Les critères de sélection suivants lui sont également associés : la représentativité, la valeur d’ensemble et la valeur contextuelle. Ces critères doivent être combinés avec d’autres critères (notamment artistiques).
- Historique Le bien présente un intérêt historique s’il témoigne d’une période particulière de l’histoire de la région ou de la commune, s’il représente un témoignage d’une période particulière du passé et/ou d’une évolution rare pour une période (par exemple, une cité-jardin représentative d’un mode de construction utilisé lors des grandes campagnes d’urbanisation après la Seconde Guerre mondiale, les noyaux villageois illustrant les premiers bâtiments groupés des communes de la Seconde couronne, la Porte de Hal comme vestige de la deuxième enceinte, etc.), s’il témoigne d’un développement urbain (et/ou paysager) particulier de la ville (par exemple, les immeubles des boulevards centraux ou du quartier Léopold), s’il présente un lien avec un personnage historique important, y compris les maisons personnelles d’architectes et les ateliers d’artistes (par exemple, la maison natale de Constantin Meunier, la maison de Magritte), s’il peut être associé à un événement historique important (par exemple, les maisons datant de la reconstruction de Bruxelles suite au bombardement de 1695, la colonne du Congrès), ou s’il possède une représentativité typologique caractéristique d’une activité commerciale ou culturelle (par exemple, les églises, les cinémas, l’architecture industrielle, les pharmacies).
- Scientifique Cette valeur est généralement utilisée pour évaluer les zones naturelles ou semi-naturelles et selon leurs qualités botaniques. Dans le cadre d’un bien, il peut s’agir de la présence d’un élément (de construction) (matériau particulier, matériau expérimental, procédé ou élément constructif) ou du témoignage d’un espace spatiostructurel (urbanistique) dont la préservation doit être envisagée à des fins de recherche scientifique.
- Social Cette valeur est difficile à distinguer de la valeur folklorique et généralement insuffisante pour justifier une sélection à elle seule. Il peut s’agir d’un : – lieu de mémoire d’une communauté ou d’un groupe social (par exemple, la potale à Berchem-Sainte-Agathe située place de l’église à Berchem-Sainte-Agathe, le Vieux Tilleul de Boondael à Ixelles)?; – lieu relevant d’une symbolique populaire (par exemple, le café «?La Fleur en Papier Doré?» situé rue des Alexiens)?; – lieu de regroupement ou de structuration d’un quartier (par exemple, les immeubles du Fer à Cheval dans la cité du Floréal).
- Technique Un bien possède un intérêt technique en cas d’utilisation précoce d’un matériau ou d’une technique particulière (ingénierie), ou s’il présente un intérêt constructif ou technologique particulier, une prouesse technique ou une innovation technologique. Il peut également être considéré comme ayant une valeur archéologique industrielle s’il témoigne de méthodes de construction anciennes. Bien entendu, l’intérêt technique est à mettre en relation avec l’intérêt scientifique.
- Urbanistique Certains biens architecturaux ont joué un rôle prépondérant dans la planification urbaine par le passé. Ils suivent généralement d’autres formes (plans) urbanistiques, entraînant une interaction entre les espaces bâtis et non bâtis (ou ouverts). Cet aménagement comprend également la cohérence entre les différents niveaux d’échelle. Un bien immobilier possède un intérêt urbanistique lorsqu’il joue un rôle dans ce domaine. En voici quelques exemples : les bâtiments d’angle, les places ou les enfilades d’immeubles présentant une certaine cohérence, les tours (immeubles de grande hauteur) habilement implantées et leur relation avec leur environnement qualitatif immédiat, qui peut être cohérent mais aussi contrasté, ainsi que les vestiges de concepts urbanistiques et la manière dont ils sont ou ont été remplis architecturalement (et typologiquement), comme les palais urbains et/ou les maisons de maître éclectiques encore préservés dans le quartier Léopold.
Recherches et rédaction
1993-1995
id
Urban : 14639
Description
Église paroissiale Notre-Dame du Sacré-Cœur
Sa construction, sollicitée comme pour l'église Saint-Antoine de Padoue par les habitants du quartier, fut décidée en 1925 et réalisée en deux phases sur les plans de l'architecte Édmond Serneels.
Conçue dans un style néo-romanLe style néo-roman (à partir de 1850 environ) est une tendance architecturale mettant à l’honneur les formes inspirées du moyen-âge roman., les proportions furent faussées lors de la 2e phase de construction ; par manque d'argent, on réduisit la longueur de l'édifice.
Sur soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en appareilOuvrage constitué de pierres plus ou moins taillées ou de briques. simple de pierre bleue, édifice en briques rouges, de plan rectangulaire comprenant cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., déployant rue de Tervaete ; à gauche, une petite pièce hors-œuvre à baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. cintrées géminées séparées par des colonnettes de pierre sous toiture pyramidale à gauche et, au centre, un portail repris dans une embrasureEspace intérieur d’une baie. cintrée sous pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc. devant une large façade-pignon percée d'une fenêtre haute et d'un jeu d'arcatures semi-aveugles. À droite, tour-clocher de plan carré percée d'une porte cintrée, d'un oculusJour de forme circulaire, ovale ou polygonale., d'une arcature partiellement aveugleUn élément est dit aveugle lorsqu’il est dénué d’ouverture. Une baie aveugle est un élément construit sans ouverture, imitant une porte ou une fenêtre. et aménagée, sous toiture pyramidale, d'une chambre de cloches.
Façade arrière composée d'un chevet plat comportant le couloir menant au magasin et à la sacristie placés de part et d'autre du chœur.
Intérieur
Décoré en grande partie par « La Croix Latine » groupe d'artistes dirigé par le moine bénédictin Dom Martin et Anto Carte, il présente une nef centrale, flanquée de deux collatéraux de même hauteur sous plafond plat à caissons. Quatre colonnes en briques rouges traversées de bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. de pierre blanche, surmontées d'imposants chapiteauxCouronnement orné ou mouluré, d’une colonne, d’un pilier ou d’un pilastre. séparent le vaisseau central des collatéraux ; ceux-ci éclairés de tripletsGroupement de trois baies. Les deux latérales, identiques, sont différentes de la baie centrale, d’ordinaire plus vaste. sous oculusJour de forme circulaire, ovale ou polygonale. alternativement garnis de vitraux figurés ou de verre blanc.
Ces quatres vitraux sont exécutés par Fernand Colpaert suivant le style de l'époque (Art Déco). Jacques Colpaert, fils de Fernand réalisera la « Pêche miraculeuse » en 1947 (verrière centrale à droite) ; le vitrail d'en face commémore la libération de Bruxelles.
Porche cintré surmonté d'un panneau peint, exécuté par Anto Carte, représentant la « Dormition de la Vierge ». Il dessina également, en 1928, les cartons de la grande rosace qui orne le chœur représentant la « Vierge à l'Enfant » entourée d'anges musiciens, l'« Annonciation » à droite du chœur ainsi que les vitraux repris dans la fenêtre-haute de la façade principale constituée de trois baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. jumelées représentant des scènes des Évangiles : l'« Assomption de Marie » et la « Sainte Trinité ». Le « Baptême du Christ » est représenté dans l'ancien baptistère.
La « Nativité de Jésus », peinture située dans le chœur fut exécutée par le même artiste.
Le chœur, à chevet plat percé d'une arcadeBaie aveugle ou non, coiffée d'un arc, souvent en répétition et allant jusqu’au sol. donnant sur le couloir reliant chapelle et sacristie, est éclairé de deux registresAlignement horizontal de baies sur un pignon. de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. reprenant, d'abord dans une même embrasureEspace intérieur d’une baie., trois baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. jumelées sous un tripletGroupement de trois baies. Les deux latérales, identiques, sont différentes de la baie centrale, d’ordinaire plus vaste. d'oculiJour de forme circulaire, ovale ou polygonale. séparé par un cordonCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. mouluré en pierre et six baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. jumelées cintrées au registreAlignement horizontal de baies sur un pignon. supérieur.
S'inscrivant de part et d'autre du chœur et s'ouvrant sur celui-ci par une arcadeBaie aveugle ou non, coiffée d'un arc, souvent en répétition et allant jusqu’au sol. cintrée, deux chapelles éclairées par trois baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. jumelées. Quatre sculptures de saints décorent les murs de l'église ; saint Joseph, sainte Anna, saint Joachim et saint Joannes Berchmans. Les stations du chemin de Croix furent sculptées par Van De Capellen.
Le marbrier Colin exécuta les autels, les bancs de communion ainsi que la cuve des fonts baptismaux. La statue de Notre-Dame du Sacré-Cœur est l'œuvre du sculpteur Van Perck. L'orgue, de style moderne, est situé à gauche du chœur sur une tribune latérale préservée par un garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en pierre ajouré, il est réalisé par le facteur Jozef Loncke en 1954.
Conçue dans un style néo-romanLe style néo-roman (à partir de 1850 environ) est une tendance architecturale mettant à l’honneur les formes inspirées du moyen-âge roman., les proportions furent faussées lors de la 2e phase de construction ; par manque d'argent, on réduisit la longueur de l'édifice.
Sur soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en appareilOuvrage constitué de pierres plus ou moins taillées ou de briques. simple de pierre bleue, édifice en briques rouges, de plan rectangulaire comprenant cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., déployant rue de Tervaete ; à gauche, une petite pièce hors-œuvre à baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. cintrées géminées séparées par des colonnettes de pierre sous toiture pyramidale à gauche et, au centre, un portail repris dans une embrasureEspace intérieur d’une baie. cintrée sous pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc. devant une large façade-pignon percée d'une fenêtre haute et d'un jeu d'arcatures semi-aveugles. À droite, tour-clocher de plan carré percée d'une porte cintrée, d'un oculusJour de forme circulaire, ovale ou polygonale., d'une arcature partiellement aveugleUn élément est dit aveugle lorsqu’il est dénué d’ouverture. Une baie aveugle est un élément construit sans ouverture, imitant une porte ou une fenêtre. et aménagée, sous toiture pyramidale, d'une chambre de cloches.
Façade arrière composée d'un chevet plat comportant le couloir menant au magasin et à la sacristie placés de part et d'autre du chœur.
Intérieur
Décoré en grande partie par « La Croix Latine » groupe d'artistes dirigé par le moine bénédictin Dom Martin et Anto Carte, il présente une nef centrale, flanquée de deux collatéraux de même hauteur sous plafond plat à caissons. Quatre colonnes en briques rouges traversées de bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. de pierre blanche, surmontées d'imposants chapiteauxCouronnement orné ou mouluré, d’une colonne, d’un pilier ou d’un pilastre. séparent le vaisseau central des collatéraux ; ceux-ci éclairés de tripletsGroupement de trois baies. Les deux latérales, identiques, sont différentes de la baie centrale, d’ordinaire plus vaste. sous oculusJour de forme circulaire, ovale ou polygonale. alternativement garnis de vitraux figurés ou de verre blanc.
Ces quatres vitraux sont exécutés par Fernand Colpaert suivant le style de l'époque (Art Déco). Jacques Colpaert, fils de Fernand réalisera la « Pêche miraculeuse » en 1947 (verrière centrale à droite) ; le vitrail d'en face commémore la libération de Bruxelles.
Porche cintré surmonté d'un panneau peint, exécuté par Anto Carte, représentant la « Dormition de la Vierge ». Il dessina également, en 1928, les cartons de la grande rosace qui orne le chœur représentant la « Vierge à l'Enfant » entourée d'anges musiciens, l'« Annonciation » à droite du chœur ainsi que les vitraux repris dans la fenêtre-haute de la façade principale constituée de trois baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. jumelées représentant des scènes des Évangiles : l'« Assomption de Marie » et la « Sainte Trinité ». Le « Baptême du Christ » est représenté dans l'ancien baptistère.
La « Nativité de Jésus », peinture située dans le chœur fut exécutée par le même artiste.
Le chœur, à chevet plat percé d'une arcadeBaie aveugle ou non, coiffée d'un arc, souvent en répétition et allant jusqu’au sol. donnant sur le couloir reliant chapelle et sacristie, est éclairé de deux registresAlignement horizontal de baies sur un pignon. de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. reprenant, d'abord dans une même embrasureEspace intérieur d’une baie., trois baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. jumelées sous un tripletGroupement de trois baies. Les deux latérales, identiques, sont différentes de la baie centrale, d’ordinaire plus vaste. d'oculiJour de forme circulaire, ovale ou polygonale. séparé par un cordonCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. mouluré en pierre et six baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. jumelées cintrées au registreAlignement horizontal de baies sur un pignon. supérieur.
S'inscrivant de part et d'autre du chœur et s'ouvrant sur celui-ci par une arcadeBaie aveugle ou non, coiffée d'un arc, souvent en répétition et allant jusqu’au sol. cintrée, deux chapelles éclairées par trois baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. jumelées. Quatre sculptures de saints décorent les murs de l'église ; saint Joseph, sainte Anna, saint Joachim et saint Joannes Berchmans. Les stations du chemin de Croix furent sculptées par Van De Capellen.
Le marbrier Colin exécuta les autels, les bancs de communion ainsi que la cuve des fonts baptismaux. La statue de Notre-Dame du Sacré-Cœur est l'œuvre du sculpteur Van Perck. L'orgue, de style moderne, est situé à gauche du chœur sur une tribune latérale préservée par un garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en pierre ajouré, il est réalisé par le facteur Jozef Loncke en 1954.
Presbytère
Presbytère construit en 1935 sur les plans de l'ingénieur-directeur Jean Stillemans datés de 1931 dont l'exécution fut confiée à l'entrepreneur Gustave Dekeyser.
Sur soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en pierre bleue, maison à trois façades de deux niveaux en briques de Boom. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaire à encadrement mouluré en pierre blanche d'Euville. Panneaux d'allègePartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. décorés aux étages. Toiture mansardée ajourée de lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres..
Sur soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en pierre bleue, maison à trois façades de deux niveaux en briques de Boom. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaire à encadrement mouluré en pierre blanche d'Euville. Panneaux d'allègePartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. décorés aux étages. Toiture mansardée ajourée de lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres..
Sources
Archives
CRMS 1.2., Etterbeek, Église Notre-Dame du Sacré Cœur. Construction 4549.
Ouvrages
CRMS 1.2., Etterbeek, Église Notre-Dame du Sacré Cœur. Construction 4549.
Ouvrages
COEKELBERGHS, D., JANSSENS, W., Répertoire photographique du mobilier des sanctuaires de Belgique, province de Brabant, Canton d'Etterbeek, IRPA, Bruxelles, 1978, p. 14.
Inventaire exhaustif des orgues en région bruxelloise, La Renaissance de l'Orgue, Bruxelles, 1992, p. 72.
MEIRE, R. J., Histoire d'Etterbeek, Musin, Bruxelles, 1981, pp. 106-107.
Périodiques
MEIRE, R. J., Histoire d'Etterbeek, Musin, Bruxelles, 1981, pp. 106-107.
Périodiques
VANDENBEMDEN, Y., « Anto Carte, créateur de vitrail » in Revue des archeologues et historiens d'art de Louvain, XVI, 1983, pp. 145-150.
Sites internet
Orgues en Région de Bruxelles-Capitale