Typologie(s)
hôtel
Intervenant(s)
Antoine TRAPPENIERS – entrepreneur, architecte – 1872
Alban CHAMBON – architecte – 1891
Julien DILLENS – sculpteur – 1891
Styles
Éclectisme
Néo-Renaissance
Néo-Louis XV, néo-rococo
Inventaire(s)
- Inventaire d'urgence du patrimoine architectural de l'agglomération bruxelloise (Sint-Lukasarchief 1979)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
- Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique La signature d’un bien immeuble (bâtiment) par un architecte de renom ne peut pas être considérée comme un critère absolu. Pour évaluer la place qu’un bien occupe dans l’œuvre d’un architecte, ce critère doit être modulé avec la qualité architecturale (composition et structure interne) du bien, sa mise en œuvre (matériaux, maîtrise technique) et la place qu’il occupe dans l’histoire de l’architecture, ces trois éléments pouvant témoigner d’une phase ou d’un aspect de l’architecture urbaine ou paysagère du passé. Les critères suivants s’appliquent alors pour évaluer l’intérêt artistique : la rareté (typologie, style, utilisation des matériaux, sources), la représentativité (idem) et l’intégrité (idem + qualité d’exécution).
- Esthétique Le bien possède un intérêt esthétique s’il stimule les sens de l’observateur de manière positive (l’expérience de la beauté). Historiquement, cette valeur était utilisée pour désigner des zones naturelles ou semi-naturelles de grande valeur, mais elle peut également s’appliquer à de grands ensembles de bâtiments dans une zone urbaine, avec ou sans éléments naturels, ou à des monuments qui marquent le paysage urbain. D’autres intérêts sont automatiquement pris en considération, l’artistique en premier lieu, mais aussi le paysager (intégration de l’œuvre dans le paysage urbain, points de repère dans la ville) et l’urbanistique (ensembles urbains spontanés ou rationnels). Les critères de sélection suivants lui sont également associés : la représentativité, la valeur d’ensemble et la valeur contextuelle. Ces critères doivent être combinés avec d’autres critères (notamment artistiques).
- Historique Le bien présente un intérêt historique s’il témoigne d’une période particulière de l’histoire de la région ou de la commune, s’il représente un témoignage d’une période particulière du passé et/ou d’une évolution rare pour une période (par exemple, une cité-jardin représentative d’un mode de construction utilisé lors des grandes campagnes d’urbanisation après la Seconde Guerre mondiale, les noyaux villageois illustrant les premiers bâtiments groupés des communes de la Seconde couronne, la Porte de Hal comme vestige de la deuxième enceinte, etc.), s’il témoigne d’un développement urbain (et/ou paysager) particulier de la ville (par exemple, les immeubles des boulevards centraux ou du quartier Léopold), s’il présente un lien avec un personnage historique important, y compris les maisons personnelles d’architectes et les ateliers d’artistes (par exemple, la maison natale de Constantin Meunier, la maison de Magritte), s’il peut être associé à un événement historique important (par exemple, les maisons datant de la reconstruction de Bruxelles suite au bombardement de 1695, la colonne du Congrès), ou s’il possède une représentativité typologique caractéristique d’une activité commerciale ou culturelle (par exemple, les églises, les cinémas, l’architecture industrielle, les pharmacies).
- Urbanistique Certains biens architecturaux ont joué un rôle prépondérant dans la planification urbaine par le passé. Ils suivent généralement d’autres formes (plans) urbanistiques, entraînant une interaction entre les espaces bâtis et non bâtis (ou ouverts). Cet aménagement comprend également la cohérence entre les différents niveaux d’échelle. Un bien immobilier possède un intérêt urbanistique lorsqu’il joue un rôle dans ce domaine. En voici quelques exemples : les bâtiments d’angle, les places ou les enfilades d’immeubles présentant une certaine cohérence, les tours (immeubles de grande hauteur) habilement implantées et leur relation avec leur environnement qualitatif immédiat, qui peut être cohérent mais aussi contrasté, ainsi que les vestiges de concepts urbanistiques et la manière dont ils sont ou ont été remplis architecturalement (et typologiquement), comme les palais urbains et/ou les maisons de maître éclectiques encore préservés dans le quartier Léopold.
Recherches et rédaction
2016
id
Urban : 32380
Description
Bâtiment principal et
noyau d’origine de l’actuel complexe hôtelier, élevé par la Caisse Générale d’Épargne
et de Retraite sur les plans de l’architecte A. Trappeniers datés de 1872, en
service à partir de 1874 (voir rue du Fossé aux Loups, n° 46).
Acheté en 1891 par les brasseurs Wielemans-Ceuppens qui le font transformer par l’architecte Alban Chambon en un luxueux hôtel, entrepris en 1893 et inauguré en 1894. Hôtel de classe internationale et l’un des trois plus importants de Bruxelles avec le Grand-Hôtel, au boulevard Anspach, aujourd’hui démoli, et l’Astoria, à la rue Royale. Agrandi par annexions successives des immeubles voisins jusqu’à occuper presque tout l’îlot compris entre la place, la rue du Fossé aux Loups, la rue Neuve et le passage du Nord et refendu par l’impasse du Cheval. Extension la plus remarquable constituée par le Cinéma Métropole, inauguré en 1932, qui englobait une salle de projection, une taverne, des salles de fête et des chambres d’hôtel (voir rue Neuve, n° 30).
Façade primitive en style éclectique à dominante RenaissanceLe style néo-Renaissance (de 1860 à 1914 environ) puise son inspiration dans l'architecture de la Renaissance, un courant artistique né en Italie au XVe siècle qui cherchait à ressusciter l’architecture de l'Antiquité gréco-romaine. italienne, de trois niveaux et neuf travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., couronnée par une balustradeGarde-corps composé de balustres, c’est-à-dire de petits supports en répétition, généralement profilés et de section circulaire. en attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement.. Maintenue lors de la transformation en hôtel, mais exhaussée de deux niveaux sous toiture mansardée, comme aujourd’hui. Remploi de divers éléments — notamment des entablementsCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. de fenêtres et le tympanEspace, décoré ou non, circonscrit par un fronton ou un arc de décharge. sculpté du portail d’entrée — dans le bâtiment des brasseries Wielemans-Ceuppens à Forest.
Immeuble en double corpsUn bâtiment est dit en double corps lorsqu'il présente, au rez-de-chaussée, deux rangées de pièces séparées par un couloir axial. à façade de pierre blanche et de pierre bleue, limitée par des chaînages d’angle et rythmée par des cordonsCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. continus. Rez-de-chaussée animé par des refendsLe refend est un canal dans un parement, accusant ou simulant le tracé de joints d'un appareil à bossages., ajouré de larges portes-fenêtres et, au centre, d’un portail cintré précédé de colonnes cannelées auxquelles s’adossent les consoles jumelées du balcon supérieur. AuventPetit toit couvrant un espace devant une porte ou une vitrine. actuel moderne, à l’origine en fer et verre, sur toute la largeur de la façade et s’arrondissant en berceau au-dessus de l’entrée. Fenêtres rectangulaires. Au bel étage, couronné par un cordon continu, portes-fenêtres à encadrement mouluré soulignées par une balustradeGarde-corps composé de balustres, c’est-à-dire de petits supports en répétition, généralement profilés et de section circulaire. en pierre, qui forme balcon dans la travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiale, et surmontées d’un entablement à corniche denticulée sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console.. Aux deuxième et troisième étages, fenêtres liées par un encadrement mouluré continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées. et séparées par un panneau d’allège en creux; ce dernier remplacé au centre, sur trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., par un panneau inscrit en lettres dorées «hôtel métropole hôtel»; garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux.. ArchitraveMoulure inférieure de l’entablement, située sous la frise. moulurée, friseBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. de trous de boulin et corniche sur modillonsÉléments décoratifs de forme quelconque, répétés sous une corniche.. Au-dessus, cinquième niveau en attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement., ajouré de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires en creux encadrées de pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. ou, dans les trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiales, ouvrant en retrait d’un portique de six colonnes. Toiture d’ardoises mansardée, commune avec les nos 23-29 et 33-35.
Intérieur luxueux en style éclectique à caractère RenaissanceLe style néo-Renaissance (de 1860 à 1914 environ) puise son inspiration dans l'architecture de la Renaissance, un courant artistique né en Italie au XVe siècle qui cherchait à ressusciter l’architecture de l'Antiquité gréco-romaine. française, avec traces d’inspiration Empire ou légèrement orientalisante, conservé en grande partie dans l’état réalisé par Chambon. Emploi de matériaux variés jouant des couleurs, comme le marbre, la brèche, le stucLe stuc est un enduit à base de chaux ou de plâtre et de colle, soit poli et imitant le marbre, soit mat, sculpté et mouluré., l’or, le bois, le fer, les miroirs et les vitraux. Travail raffiné des lambrisLe lambris est un revêtement de menuiserie, de marbre ou de stuc couvrant la partie inférieure ou l'entièreté des murs d’une pièce., frisesBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale., caissons, manteauxManteau de cheminée. Construction d’ordinaire en marbre, renfermant le foyer d’une cheminée. de cheminées et luminaires. Vestibule; hall éclairé par un lanterneau, avec ascenseur d’origine et escalier d’honneur en ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux.; salle de réception et restaurant actuel à colonnes ; restaurant primitif devenu café, rehaussé d’une fontaine ornée d’une nymphe sculptée par Julien Dillens; jardin d’hiver.
Acheté en 1891 par les brasseurs Wielemans-Ceuppens qui le font transformer par l’architecte Alban Chambon en un luxueux hôtel, entrepris en 1893 et inauguré en 1894. Hôtel de classe internationale et l’un des trois plus importants de Bruxelles avec le Grand-Hôtel, au boulevard Anspach, aujourd’hui démoli, et l’Astoria, à la rue Royale. Agrandi par annexions successives des immeubles voisins jusqu’à occuper presque tout l’îlot compris entre la place, la rue du Fossé aux Loups, la rue Neuve et le passage du Nord et refendu par l’impasse du Cheval. Extension la plus remarquable constituée par le Cinéma Métropole, inauguré en 1932, qui englobait une salle de projection, une taverne, des salles de fête et des chambres d’hôtel (voir rue Neuve, n° 30).
Façade primitive en style éclectique à dominante RenaissanceLe style néo-Renaissance (de 1860 à 1914 environ) puise son inspiration dans l'architecture de la Renaissance, un courant artistique né en Italie au XVe siècle qui cherchait à ressusciter l’architecture de l'Antiquité gréco-romaine. italienne, de trois niveaux et neuf travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., couronnée par une balustradeGarde-corps composé de balustres, c’est-à-dire de petits supports en répétition, généralement profilés et de section circulaire. en attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement.. Maintenue lors de la transformation en hôtel, mais exhaussée de deux niveaux sous toiture mansardée, comme aujourd’hui. Remploi de divers éléments — notamment des entablementsCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. de fenêtres et le tympanEspace, décoré ou non, circonscrit par un fronton ou un arc de décharge. sculpté du portail d’entrée — dans le bâtiment des brasseries Wielemans-Ceuppens à Forest.
Immeuble en double corpsUn bâtiment est dit en double corps lorsqu'il présente, au rez-de-chaussée, deux rangées de pièces séparées par un couloir axial. à façade de pierre blanche et de pierre bleue, limitée par des chaînages d’angle et rythmée par des cordonsCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. continus. Rez-de-chaussée animé par des refendsLe refend est un canal dans un parement, accusant ou simulant le tracé de joints d'un appareil à bossages., ajouré de larges portes-fenêtres et, au centre, d’un portail cintré précédé de colonnes cannelées auxquelles s’adossent les consoles jumelées du balcon supérieur. AuventPetit toit couvrant un espace devant une porte ou une vitrine. actuel moderne, à l’origine en fer et verre, sur toute la largeur de la façade et s’arrondissant en berceau au-dessus de l’entrée. Fenêtres rectangulaires. Au bel étage, couronné par un cordon continu, portes-fenêtres à encadrement mouluré soulignées par une balustradeGarde-corps composé de balustres, c’est-à-dire de petits supports en répétition, généralement profilés et de section circulaire. en pierre, qui forme balcon dans la travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiale, et surmontées d’un entablement à corniche denticulée sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console.. Aux deuxième et troisième étages, fenêtres liées par un encadrement mouluré continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées. et séparées par un panneau d’allège en creux; ce dernier remplacé au centre, sur trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., par un panneau inscrit en lettres dorées «hôtel métropole hôtel»; garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux.. ArchitraveMoulure inférieure de l’entablement, située sous la frise. moulurée, friseBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. de trous de boulin et corniche sur modillonsÉléments décoratifs de forme quelconque, répétés sous une corniche.. Au-dessus, cinquième niveau en attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement., ajouré de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires en creux encadrées de pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. ou, dans les trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiales, ouvrant en retrait d’un portique de six colonnes. Toiture d’ardoises mansardée, commune avec les nos 23-29 et 33-35.
Intérieur luxueux en style éclectique à caractère RenaissanceLe style néo-Renaissance (de 1860 à 1914 environ) puise son inspiration dans l'architecture de la Renaissance, un courant artistique né en Italie au XVe siècle qui cherchait à ressusciter l’architecture de l'Antiquité gréco-romaine. française, avec traces d’inspiration Empire ou légèrement orientalisante, conservé en grande partie dans l’état réalisé par Chambon. Emploi de matériaux variés jouant des couleurs, comme le marbre, la brèche, le stucLe stuc est un enduit à base de chaux ou de plâtre et de colle, soit poli et imitant le marbre, soit mat, sculpté et mouluré., l’or, le bois, le fer, les miroirs et les vitraux. Travail raffiné des lambrisLe lambris est un revêtement de menuiserie, de marbre ou de stuc couvrant la partie inférieure ou l'entièreté des murs d’une pièce., frisesBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale., caissons, manteauxManteau de cheminée. Construction d’ordinaire en marbre, renfermant le foyer d’une cheminée. de cheminées et luminaires. Vestibule; hall éclairé par un lanterneau, avec ascenseur d’origine et escalier d’honneur en ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux.; salle de réception et restaurant actuel à colonnes ; restaurant primitif devenu café, rehaussé d’une fontaine ornée d’une nymphe sculptée par Julien Dillens; jardin d’hiver.
Sources
Archives
AVB/TP 601 (1872-1874), 571 (1893-1894).
Ouvrages
G. LAGYE, L’Hôtel Métropole à Bruxelles, Bruxelles, 1912.