Typologie(s)
maison unifamiliale ou de rapport (indéterminé)
Intervenant(s)
Jean-Baptiste VIFQUAIN – architecte – 1824-1828
Alexis DUMONT – architecte – 1927
F. DELCOURT – architecte – 1948
C. VAN LIERDE – architecte – 1951
V. DIERICKX – architecte – 1927
Styles
Néoclassicisme
Inventaire(s)
- Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
- Inventaire d'urgence du patrimoine architectural de l'agglomération bruxelloise (Sint-Lukasarchief 1979)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
2016
id
Urban : 33301
Description
Ensemble
homogène, dont la façade incurvée vers la place totalise aujourd’hui neuf
travées ; huit travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. vers la rue du Nord (nos 65-69) et, à gauche,
trois et huit travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. à front du boulevard Bischoffsheim (n° 26).
Vers la rue du Nord, quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de même ordonnance, agrandies vers 1876 de quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. supplémentaires, dont la porte gauche est transformée en fenêtre et remplacée par une porte cochère, à droite, en 1927, sur les plans de l’architecte Alex. Dumont.
Vers le boulevard, deux fois quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de même ordonnance, les quatre de gauche en léger retrait peut-être plus récentes. Immeuble modifié pour accueillir une banque, avec entrée unique, dans la première travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. gauche, par une porte à double battant ; fenêtres du rez-de-chaussée pourvues de grilles, surmontées deux à deux de balcons doubles, sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. et à balustradeGarde-corps composé de balustres, c’est-à-dire de petits supports en répétition, généralement profilés et de section circulaire. de pierre. En 1951, renouvellement des pierres de taille du soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue., sans refend, et des encadrements des fenêtres du rez-de-chaussée, sur les plans de l’architecte C. Van Lierde.
Quatre
travées du n° 13 conservées dans leur état d’origine. Quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. du n° 14
remaniées à maintes reprises : en 1927, l’architecte V. Dierickx change en
fenêtre la porte de la troisième travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. et crée, à droite, une demi-travée
qu’il perce d’une porte et de fenêtres étroites ; en 1948, aménagement d’un
grenier éclairé de lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. sur les plans de l’architecte F. Delcourt.
Vers la rue du Nord, quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de même ordonnance, agrandies vers 1876 de quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. supplémentaires, dont la porte gauche est transformée en fenêtre et remplacée par une porte cochère, à droite, en 1927, sur les plans de l’architecte Alex. Dumont.
Vers le boulevard, deux fois quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de même ordonnance, les quatre de gauche en léger retrait peut-être plus récentes. Immeuble modifié pour accueillir une banque, avec entrée unique, dans la première travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. gauche, par une porte à double battant ; fenêtres du rez-de-chaussée pourvues de grilles, surmontées deux à deux de balcons doubles, sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. et à balustradeGarde-corps composé de balustres, c’est-à-dire de petits supports en répétition, généralement profilés et de section circulaire. de pierre. En 1951, renouvellement des pierres de taille du soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue., sans refend, et des encadrements des fenêtres du rez-de-chaussée, sur les plans de l’architecte C. Van Lierde.
Sources
Archives
AVB/TP
34810 (1927), 57883 (1948), 34808 (1927), 59990 (1951).
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