Typologie(s)
maison unifamiliale ou de rapport (indéterminé)
Intervenant(s)
Jean-Baptiste VIFQUAIN – architecte – 1824-1828
Styles
Néoclassicisme
Inventaire(s)
- Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
- Inventaire de l'architecture industrielle (AAM - 1980-1982)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
- Inventaire d'urgence du patrimoine architectural de l'agglomération bruxelloise (Sint-Lukasarchief 1979)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Scientifique
- Social
- Technique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
2016
id
Urban : 33299
Description
Ensemble
d’immeubles compris entre les rues du Nord et de la Révolution, totalisant huit
travées vers la place. À l’origine plus étroit, comme son vis-à-vis entre les nos
1 et 2, il était limité à droite par la rue Notre-Dame-aux-Neiges. Après la
suppression de celle-ci et son remplacement, plus à l’Ouest, par la rue de la
Révolution, les deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. du n° 12 sont transformées en style éclectique et
élargies à droite de quatre nouvelles travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. du même style, jusqu’au coin de
la nouvelle rue, en 1876-1877. Seul l’immeuble à l’angle gauche du bloc est
d’origine.
Aux nos 10-12, façade de six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de style éclectique, comptant trois portes encadrées de montants panneautés et sommés de consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. soutenant les balcons en ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux. du bel étage ; au-dessus du rez-de-chaussée, pilastres corinthiens colossaux encadrant les travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sur deux niveaux ; à hauteur des comblesEspace intérieur de la toiture., deux frontonsCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches. triangulaires coiffant un attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement.. Façade latérale de quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., vers la rue de la Révolution, dont les deux gauche (n° 15), plus simples, sont pourvues dès 1877 d’une devanture commerciale comprenant une porte entre deux vitrines ; à droite, (n° 13), deux travées scandées par les mêmes pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. colossaux, mais niveaux décalés par un étage supplémentaire qui rattrape la forte déclivité du terrain. Aujourd’hui, fenêtre du rez-de-chaussée élargie au n° 12 et attiques mansardés au-dessus des nos 10-12.
À l’angle de la rue du Nord, immeuble de deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. vers la place et trois, latéralement. Ces dernières prolongées, en 1871, par un mur percé de deux portes, dont il ne reste aujourd’hui qu’un seul montant, et qui, remanié à maintes reprises (1884, 1899, 1921, 1947), est devenu l’actuel bâtiment annexe de trois niveaux et trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., sous toiture en terrasse, dont la façade a été aménagée en 1948 ; agrandi à gauche tout récemment.
Aux nos 10-12, façade de six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de style éclectique, comptant trois portes encadrées de montants panneautés et sommés de consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. soutenant les balcons en ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux. du bel étage ; au-dessus du rez-de-chaussée, pilastres corinthiens colossaux encadrant les travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sur deux niveaux ; à hauteur des comblesEspace intérieur de la toiture., deux frontonsCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches. triangulaires coiffant un attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement.. Façade latérale de quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., vers la rue de la Révolution, dont les deux gauche (n° 15), plus simples, sont pourvues dès 1877 d’une devanture commerciale comprenant une porte entre deux vitrines ; à droite, (n° 13), deux travées scandées par les mêmes pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. colossaux, mais niveaux décalés par un étage supplémentaire qui rattrape la forte déclivité du terrain. Aujourd’hui, fenêtre du rez-de-chaussée élargie au n° 12 et attiques mansardés au-dessus des nos 10-12.
À l’angle de la rue du Nord, immeuble de deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. vers la place et trois, latéralement. Ces dernières prolongées, en 1871, par un mur percé de deux portes, dont il ne reste aujourd’hui qu’un seul montant, et qui, remanié à maintes reprises (1884, 1899, 1921, 1947), est devenu l’actuel bâtiment annexe de trois niveaux et trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., sous toiture en terrasse, dont la façade a été aménagée en 1948 ; agrandi à gauche tout récemment.
Sources
Archives
AVB/TP
7059 (1876-1877), 18268 (1871), 18266 (1884), 18267 (1899), 31949 (1921), 57392
(1947), 57716 (1948).
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