Typologie(s)

hôtel particulier

Intervenant(s)

Alphonse DUMONTarchitecte1881

Jos SEGERS1886

Styles

Néoclassicisme

Inventaire(s)

  • Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
  • Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
  • Inventaire d'urgence du patrimoine architectural de l'agglomération bruxelloise (Sint-Lukasarchief 1979)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique
  • Urbanistique

Recherches et rédaction

2016

id

Urban : 33272
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Description

Construit sur des plans dessinés en 1881 par l’architecte Alph. Dumont et élargi d’une travée semblable à gauche en 1886 sur les plans de l’architecte J. Segers, hôtel de maître de quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. et de trois niveaux de hauteur dégressive.

Sur caves, rez-de-chaussée en pierre bleue, à refendsLe refend est un canal dans un parement, accusant ou simulant le tracé de joints d'un appareil à bossages., s’ouvrant, à droite des fenêtres à linteauÉlément rectiligne d’un seul tenant, en pierre, bois, béton ou métal, couvrant une baie. droit et appuiAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. formé par un cordonCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. à gouttes, par un porche cintré et mouluré à clé cannelée. Étages enduits, ajourés de baies à linteauÉlément rectiligne d’un seul tenant, en pierre, bois, béton ou métal, couvrant une baie. droit et encadrement à filets, surmontées au bel étage d’un entablement orné d’une couronne de lauriers, frappées d’une clé au dernier, précédées au premier d’un balcon à balustresPetits supports en répétition, généralement profilés et de section circulaire, constituant une balustrade. en pierre sur fortes consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. à gouttes, de balcons en fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage. au deuxième, posant sur fines consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. ornées d’un chapelet de piastres. Boiseries anciennes. CordonCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. profilé sous l’entablement où boulins et panneaux en ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. alternent avec les consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. de la corniche de bois à mutulesModillons de l’ordre dorique. Éléments décoratifs en forme de dé assez plat, répétés sous une corniche. et denticules.

Sources

Archives
AVB/TP 9726 (1881) et 6946 (1887).