Typologie(s)
chapelle
hôpital/clinique
hôpital/clinique
Intervenant(s)
Jean FINNÉ – architecte – 1936
Léon JANLET – architecte – 1935
Edmond SERNEELS – architecte – 1921-1934
Statut juridique
Inscrit à l’inventaire légal le 19 août 2024
Styles
Éclectisme
Néogothique
Inventaire(s)
- Actualisation de l'inventaire d'urgence (Sint-Lukasarchief - 1993-1994)
- Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
- Le patrimoine monumental de la Belgique. Etterbeek (DMS-DML - 1994-1997)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique La signature d’un bien immeuble (bâtiment) par un architecte de renom ne peut pas être considérée comme un critère absolu. Pour évaluer la place qu’un bien occupe dans l’œuvre d’un architecte, ce critère doit être modulé avec la qualité architecturale (composition et structure interne) du bien, sa mise en œuvre (matériaux, maîtrise technique) et la place qu’il occupe dans l’histoire de l’architecture, ces trois éléments pouvant témoigner d’une phase ou d’un aspect de l’architecture urbaine ou paysagère du passé. Les critères suivants s’appliquent alors pour évaluer l’intérêt artistique : la rareté (typologie, style, utilisation des matériaux, sources), la représentativité (idem) et l’intégrité (idem + qualité d’exécution).
- Esthétique Le bien possède un intérêt esthétique s’il stimule les sens de l’observateur de manière positive (l’expérience de la beauté). Historiquement, cette valeur était utilisée pour désigner des zones naturelles ou semi-naturelles de grande valeur, mais elle peut également s’appliquer à de grands ensembles de bâtiments dans une zone urbaine, avec ou sans éléments naturels, ou à des monuments qui marquent le paysage urbain. D’autres intérêts sont automatiquement pris en considération, l’artistique en premier lieu, mais aussi le paysager (intégration de l’œuvre dans le paysage urbain, points de repère dans la ville) et l’urbanistique (ensembles urbains spontanés ou rationnels). Les critères de sélection suivants lui sont également associés : la représentativité, la valeur d’ensemble et la valeur contextuelle. Ces critères doivent être combinés avec d’autres critères (notamment artistiques).
- Historique Le bien présente un intérêt historique s’il témoigne d’une période particulière de l’histoire de la région ou de la commune, s’il représente un témoignage d’une période particulière du passé et/ou d’une évolution rare pour une période (par exemple, une cité-jardin représentative d’un mode de construction utilisé lors des grandes campagnes d’urbanisation après la Seconde Guerre mondiale, les noyaux villageois illustrant les premiers bâtiments groupés des communes de la Seconde couronne, la Porte de Hal comme vestige de la deuxième enceinte, etc.), s’il témoigne d’un développement urbain (et/ou paysager) particulier de la ville (par exemple, les immeubles des boulevards centraux ou du quartier Léopold), s’il présente un lien avec un personnage historique important, y compris les maisons personnelles d’architectes et les ateliers d’artistes (par exemple, la maison natale de Constantin Meunier, la maison de Magritte), s’il peut être associé à un événement historique important (par exemple, les maisons datant de la reconstruction de Bruxelles suite au bombardement de 1695, la colonne du Congrès), ou s’il possède une représentativité typologique caractéristique d’une activité commerciale ou culturelle (par exemple, les églises, les cinémas, l’architecture industrielle, les pharmacies).
- Urbanistique Certains biens architecturaux ont joué un rôle prépondérant dans la planification urbaine par le passé. Ils suivent généralement d’autres formes (plans) urbanistiques, entraînant une interaction entre les espaces bâtis et non bâtis (ou ouverts). Cet aménagement comprend également la cohérence entre les différents niveaux d’échelle. Un bien immobilier possède un intérêt urbanistique lorsqu’il joue un rôle dans ce domaine. En voici quelques exemples : les bâtiments d’angle, les places ou les enfilades d’immeubles présentant une certaine cohérence, les tours (immeubles de grande hauteur) habilement implantées et leur relation avec leur environnement qualitatif immédiat, qui peut être cohérent mais aussi contrasté, ainsi que les vestiges de concepts urbanistiques et la manière dont ils sont ou ont été remplis architecturalement (et typologiquement), comme les palais urbains et/ou les maisons de maître éclectiques encore préservés dans le quartier Léopold.
Recherches et rédaction
1993-1995
id
Urban : 14080
Description
Institut médico-chirurgical érigé en style éclectique d'inspiration médiévale pour les Sœurs de Saint-Joseph de Chambéry à partir de 1921 par l'arch. Edmond SERNEELS.
Avant cette date, la clinique était installée au no 21 de la r. de Chambéry.
Bâtiment initial construit aux nos 56 et 58, développant quatorze travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sur trois niveaux, plus un niveau mansardé. Rachetant la dénivellation du terrain, soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en pierre bleue appareillée, percé de soupiraux surbaissés. R.d.ch. en briques et pierre blanche, aux baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rect. munies de grilles, à linteauÉlément rectiligne d’un seul tenant, en pierre, bois, béton ou métal, couvrant une baie. et seuilPièce horizontale inférieure de l'encadrement d'une porte. prolongés en bandeauÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade.. Entrées à la 7e et à la 14e travées par des portes à deux vantauxLe mot vantail désigne le battant d’une porte ou d’une fenêtre. garnis de ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux.. À g. de la 2e porte, panneau donnant l'appellation : « INSTITUT / CHIRURGICAL / ST JOSEPH ». CartoucheDécor composé d’une table plane ou bombée, aux contours généralement sinueux, bordée d’un décor sculpté et/ou d’une mouluration, et sur laquelle prend parfois place un blason ou une inscription. Le médaillon est un cartouche rond ou ovale. donnant la date et la signature « EDM.SERNEELS. / ARCHTE.1921. » situé à l'extrême g. sous le bandeauÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. des linteauxÉlément rectiligne d’un seul tenant, en pierre, bois, béton ou métal, couvrant une baie. du r.d.ch. Entrée médiane surmontée d'un édicule à niche en pierre sur culot frappé d'un écu aux initiales entrelacées de « S »[aint] « J »[oseph], abritant une statue du saint patron en ronde-bosse, encadrée par deux colonnettes. Étages en briques traversés de bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. de pierre blanche, rythmés par de hautes baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rect. sur coussinetsPierres de taille formant saillie profilée dans l’embrasure de la baie. Ils sont situés au sommet des piédroits et portent un linteau ou un arc., doublées d'un arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. surbaisséUn élément est dit surbaissé lorsqu’il est cintré en arc de cercle inférieur au demi-cercle. ; baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. du dern. niveau sous arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. formant une friseBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. d'arcatures descendant en lésènesLes lésènes sont des jambes saillantes en répétition sur un mur, réunies par un arc ou par une frise d’arceaux. Ce couronnement d’arc ou d’arceaux distingue la lésène du pilastre. dégressives jusqu'aux baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. du ler étage. TympansEspace, décoré ou non, circonscrit par un fronton ou un arc de décharge. ornés de motifs de chevrons. FriseBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. de briques profilée à fasces et denticules. Toiture mansardée ajourée de lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. échancrées en mitreUn élément est dit en mitre lorsque son tracé se compose de deux droites se rejoignant en pointe..
Chapelle située aux quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. externes du 2e étage, différenciées en façade par des baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. à arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. brisé, ornées de vitraux aux deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de dr. En 1934, ajout d'un 4e « étage » (2e niveau mansardé) par l'arch. Ed. SERNEELS : versant de la toiture animé de lucarnes rampantesUne lucarne est dite rampante lorsqu'elle est couverte par un appentis incliné dans le même sens que le versant du toit.. En 1935, démolition des nos 52 et 54 afin d'agrandir la clinique vers la g.
L'arch. Léon JANLET prévoit quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. identiques à celles du bâtiment initial, avec porte à la 4e travée (non réalisée), plus deux niveaux dans la toiture, ce qui donne un total de dix-huit travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. En 1936, sept travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de g. exhaussées de deux niveaux et d'une terrasse par l'arch. Jean FINNÉ, lequel exhausse encore l'annexe du 5e étage en 1946. Enfin, ajout par l'arch. R. VERHEYEN d'un étage en recul au no 56 en 1980.
Signalons encore la présence, derrière la clinique, d'un beau et vaste jardin arboré dans lequel, à front de la r. de Chambéry, quelques annexes ont été construites, notamment une morgue (1922, arch. Ed. SERNEELS) et une chapelle mortuaire (1931, arch. Ed. SERNEELS), reliés au bâtiment principal par un passage couvert traversant toute la parcelle (1962, arch. Jacques DE COSTER).
Avant cette date, la clinique était installée au no 21 de la r. de Chambéry.
Bâtiment initial construit aux nos 56 et 58, développant quatorze travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sur trois niveaux, plus un niveau mansardé. Rachetant la dénivellation du terrain, soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en pierre bleue appareillée, percé de soupiraux surbaissés. R.d.ch. en briques et pierre blanche, aux baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rect. munies de grilles, à linteauÉlément rectiligne d’un seul tenant, en pierre, bois, béton ou métal, couvrant une baie. et seuilPièce horizontale inférieure de l'encadrement d'une porte. prolongés en bandeauÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade.. Entrées à la 7e et à la 14e travées par des portes à deux vantauxLe mot vantail désigne le battant d’une porte ou d’une fenêtre. garnis de ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux.. À g. de la 2e porte, panneau donnant l'appellation : « INSTITUT / CHIRURGICAL / ST JOSEPH ». CartoucheDécor composé d’une table plane ou bombée, aux contours généralement sinueux, bordée d’un décor sculpté et/ou d’une mouluration, et sur laquelle prend parfois place un blason ou une inscription. Le médaillon est un cartouche rond ou ovale. donnant la date et la signature « EDM.SERNEELS. / ARCHTE.1921. » situé à l'extrême g. sous le bandeauÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. des linteauxÉlément rectiligne d’un seul tenant, en pierre, bois, béton ou métal, couvrant une baie. du r.d.ch. Entrée médiane surmontée d'un édicule à niche en pierre sur culot frappé d'un écu aux initiales entrelacées de « S »[aint] « J »[oseph], abritant une statue du saint patron en ronde-bosse, encadrée par deux colonnettes. Étages en briques traversés de bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. de pierre blanche, rythmés par de hautes baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rect. sur coussinetsPierres de taille formant saillie profilée dans l’embrasure de la baie. Ils sont situés au sommet des piédroits et portent un linteau ou un arc., doublées d'un arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. surbaisséUn élément est dit surbaissé lorsqu’il est cintré en arc de cercle inférieur au demi-cercle. ; baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. du dern. niveau sous arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. formant une friseBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. d'arcatures descendant en lésènesLes lésènes sont des jambes saillantes en répétition sur un mur, réunies par un arc ou par une frise d’arceaux. Ce couronnement d’arc ou d’arceaux distingue la lésène du pilastre. dégressives jusqu'aux baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. du ler étage. TympansEspace, décoré ou non, circonscrit par un fronton ou un arc de décharge. ornés de motifs de chevrons. FriseBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. de briques profilée à fasces et denticules. Toiture mansardée ajourée de lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. échancrées en mitreUn élément est dit en mitre lorsque son tracé se compose de deux droites se rejoignant en pointe..
Chapelle située aux quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. externes du 2e étage, différenciées en façade par des baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. à arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. brisé, ornées de vitraux aux deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de dr. En 1934, ajout d'un 4e « étage » (2e niveau mansardé) par l'arch. Ed. SERNEELS : versant de la toiture animé de lucarnes rampantesUne lucarne est dite rampante lorsqu'elle est couverte par un appentis incliné dans le même sens que le versant du toit.. En 1935, démolition des nos 52 et 54 afin d'agrandir la clinique vers la g.
L'arch. Léon JANLET prévoit quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. identiques à celles du bâtiment initial, avec porte à la 4e travée (non réalisée), plus deux niveaux dans la toiture, ce qui donne un total de dix-huit travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. En 1936, sept travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de g. exhaussées de deux niveaux et d'une terrasse par l'arch. Jean FINNÉ, lequel exhausse encore l'annexe du 5e étage en 1946. Enfin, ajout par l'arch. R. VERHEYEN d'un étage en recul au no 56 en 1980.
Signalons encore la présence, derrière la clinique, d'un beau et vaste jardin arboré dans lequel, à front de la r. de Chambéry, quelques annexes ont été construites, notamment une morgue (1922, arch. Ed. SERNEELS) et une chapelle mortuaire (1931, arch. Ed. SERNEELS), reliés au bâtiment principal par un passage couvert traversant toute la parcelle (1962, arch. Jacques DE COSTER).
Anc. no 60. Construite en style éclectique selon une demande de permis de bâtir de 1913 par l'arch. Léon SMETS, maison alignant trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. et trois niveaux, annexée par la clinique en 1948 (suppression de l'entrée, construction d'un 3e étage et d'annexes par l'arch. J. DE COSTER).
Sources
Archives
ACEtt./TP 4312 (1913), 1137 (1921), 2770 (1922), 7843 (1931), 6632 (1934), 9189 (1935), 1786 (1936), 1637 (1946), 1660 (1948).