Inventaire(s)
- Inventaire des traces coloniales (DPC-DCE 2024-2025)
Recherches et rédaction
1993-1995
Reliant le bd Louis Schmidt à l'av. des Volontaires, elle est décrétée par AR le 19.06.1931 en même temps que l'aménagement de plusieurs rues du quartier comprises entre ces deux artères.
Le tronçon entre la r. Capitaine Joubert et l'av. des Volontaires est aménagé en 1937. Elle n'est prolongée jusqu'au boulevard qu'après la guerre.
Elle porte le nom d'un officier de l'État Indépendant du Congo qui fut conseiller communal d'Etterbeek où il mourut en 1909.
Les 1ers bâtiments y sont érigés dès 1933. De cette période (avant la Deuxième Guerre mondiale), citons les nos 44 (1939, arch. L. DECUBBER) ou 46 (1941, arch. Gédéon DE BECKERE).
Après le conflit, l'urbanisation se poursuit pour donner un ensemble homogène de maisons et de petits immeubles à appartements aux façades de briques ne dépassant généralement par quatre niveaux sous bâtière, toiture mansardée ou toit en terrasse. Seuls deux imposants immeubles à appartements, de neuf niveaux en briques rouges et pierre blanche reconstituée, occupent les angles formés avec le bd L. Schmidt tels le nos 63-65 bd L. Schmidt (1950, arch. J.-L. BYTRAP) ou le no 4, r. Major Pétillon et 73, bd L. Schmidt (1951, arch. Pierre MATHIEU).
Le tronçon entre la r. Capitaine Joubert et l'av. des Volontaires est aménagé en 1937. Elle n'est prolongée jusqu'au boulevard qu'après la guerre.
Elle porte le nom d'un officier de l'État Indépendant du Congo qui fut conseiller communal d'Etterbeek où il mourut en 1909.
Les 1ers bâtiments y sont érigés dès 1933. De cette période (avant la Deuxième Guerre mondiale), citons les nos 44 (1939, arch. L. DECUBBER) ou 46 (1941, arch. Gédéon DE BECKERE).
Après le conflit, l'urbanisation se poursuit pour donner un ensemble homogène de maisons et de petits immeubles à appartements aux façades de briques ne dépassant généralement par quatre niveaux sous bâtière, toiture mansardée ou toit en terrasse. Seuls deux imposants immeubles à appartements, de neuf niveaux en briques rouges et pierre blanche reconstituée, occupent les angles formés avec le bd L. Schmidt tels le nos 63-65 bd L. Schmidt (1950, arch. J.-L. BYTRAP) ou le no 4, r. Major Pétillon et 73, bd L. Schmidt (1951, arch. Pierre MATHIEU).
Sources
Archives
ACEtt./TP 2039 (1939), 1067 (1941), 3760 (1950, bd L. Schmidt), 2981 (1951, bd L. Schmidt).
RC 1937, p. 60.
Ouvrages
MEIRE, R. J., Histoire d'Etterbeek, Musin, Bruxelles, 1981, p. 110.
ACEtt./TP 2039 (1939), 1067 (1941), 3760 (1950, bd L. Schmidt), 2981 (1951, bd L. Schmidt).
RC 1937, p. 60.
Ouvrages
MEIRE, R. J., Histoire d'Etterbeek, Musin, Bruxelles, 1981, p. 110.