Le Foyer Saint-Gillois
Chaussée de Forest 208-212, 214-216, 218, 220
Rue Gisbert Combaz 1-3, 5
Typologie(s)
immeuble de logements sociaux
rez-de-chaussée commercial
rez-de-chaussée commercial
Intervenant(s)
François VAN MEULECOM – architecte – 1927
Statut juridique
Inscrit à l’inventaire légal le 19 août 2024
Styles
Art Déco
Inventaire(s)
- Actualisation de l'inventaire d'urgence (Sint-Lukasarchief - 1993-1994)
- Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
- Le patrimoine monumental de la Belgique. Saint-Gilles (DMS-DML - 1997-2004)
- Inventaire du patrimoine social (La Fonderie - 2005)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique La signature d’un bien immeuble (bâtiment) par un architecte de renom ne peut pas être considérée comme un critère absolu. Pour évaluer la place qu’un bien occupe dans l’œuvre d’un architecte, ce critère doit être modulé avec la qualité architecturale (composition et structure interne) du bien, sa mise en œuvre (matériaux, maîtrise technique) et la place qu’il occupe dans l’histoire de l’architecture, ces trois éléments pouvant témoigner d’une phase ou d’un aspect de l’architecture urbaine ou paysagère du passé. Les critères suivants s’appliquent alors pour évaluer l’intérêt artistique : la rareté (typologie, style, utilisation des matériaux, sources), la représentativité (idem), l’authenticité (idem + qualité d’exécution) et l’intégrité (état de conservation, éléments d’origine). Un bien possède également un intérêt artistique s’il intègre des œuvres d’art (sculptures, reliefs conçus pour le bien, etc.) ou des éléments décoratifs originaux ou particulièrement qualitatifs (vitraux signés, sgraffites, claire-voie, etc.).
- Esthétique Historiquement, cet intérêt était utilisé pour désigner des espaces verts de valeur et des zones naturelles ou semi-naturelles de grande valeur. Mais elle peut également s’appliquer à de grands ensembles de bâtiments dans une zone urbaine, avec ou sans éléments naturels, ou à des monuments qui marquent le paysage urbain. Une prise en compte d’autres intérêts s’impose : l’intérêt artistique, l’intérêt paysager (intégration de l’œuvre dans le paysage urbain et/ou naturel, les panoramas) et l’intérêt urbanistique (ensembles urbains spontanés ou organisés). Les critères de sélection suivants lui sont généralement associés : la valeur d’ensemble et la valeur contextuelle.
- Historique Le bien présente un intérêt historique : - s’il témoigne d’une période particulière de l’histoire de la région ou de la commune ; - s’il représente un témoignage d’une période particulière du passé et/ou d’une évolution rare pour une période (par exemple, une cité-jardin représentative d’un mode de construction utilisé lors des grandes campagnes d’urbanisation après la Seconde Guerre mondiale, les noyaux villageois illustrant les premiers bâtiments groupés des communes de la Seconde couronne, la Porte de Hal comme vestige de la deuxième enceinte, etc.) ; - s’il témoigne d’un développement urbain (et/ou paysager) particulier de la ville (par exemple, les immeubles des boulevards centraux ou du quartier Léopold) ; - s’il présente un lien avec un personnage historique important, y compris les maisons personnelles d’architectes et les ateliers d’artistes (par exemple, la maison natale de Constantin Meunier, la maison de Magritte) ; - s’il peut être associé à un événement historique important (par exemple, les maisons datant de la reconstruction de Bruxelles suite au bombardement de 1695, la colonne du Congrès) ; - s’il possède une représentativité typologique caractéristique d’une activité commerciale ou culturelle (par exemple, les églises, les cinémas, l’architecture industrielle, les pharmacies) ; - s’il est représentatif de l’œuvre d’un architecte important dans l’histoire de l’architecture à l’échelle internationale, nationale, régionale ou locale (cela concerne à la fois des architectes connus comme V. Horta, V. Bourgeois, M. Polak mais aussi des architectes secondaires, liés localement à une commune, notamment Fernand Lefever à Koekelberg ou Emile Hoebeke à Berchem-Sainte-Agathe).
- Paysager Un paysage est un espace, tel que perçu par l’homme, dont le caractère est le résultat de l’action et de l’interaction de facteurs naturels et/ou humains. Il s’agit d’une notion d’échelle qui est composée de divers éléments (patrimoniaux), dont chacun peut avoir ou non une valeur intrinsèque, mais qui se combinent pour créer un ensemble plus vaste de valeur ajoutée et sont perçus comme tels à une certaine distance. Les vastes panoramas urbains constituent le paysage par excellence, comme la vue sur la ville basse de Bruxelles depuis la place Royale, mais de tels sites composés de différents éléments peuvent également exister à plus petite échelle.
- Scientifique L’intérêt scientifique est souvent reconnu dans le cas des sites naturels et des arbres. Dans le contexte d’un bien immobilier, il peut s’agir de la présence d’un élément (de construction) (matériau particulier, matériau expérimental, processus de construction ou composant) ou du témoin d’un espace spatio-structurel (urbanistique) dont la préservation devrait être envisagée à des fins de recherche scientifique. Dans le cas des sites et vestiges archéologiques, l’intérêt scientifique est reconnu en fonction du caractère exceptionnel des vestiges en termes d’ancienneté (par exemple la villa romaine de Jette), des conditions de conservation exceptionnelles (par exemple le site de l’ancien village d’Auderghem) ou de l’unicité des éléments (par exemple une charpente entièrement conservée) et constitue donc, à cet égard, une contribution scientifique exceptionnelle et de premier plan à la connaissance de notre passé urbain et préurbain.
- Social Cet intérêt est difficile à distinguer de l’intérêt folklorique et généralement insuffisante pour justifier une sélection à elle seule. Il peut s’agir d’un : - lieu de mémoire d’une communauté ou d’un groupe social (par exemple, la chapelle de pèlerinage située place de l’Église à Berchem-Sainte-Agathe, le Vieux Tilleul de Boondael à Ixelles) ; - lieu relevant d’une symbolique populaire (par exemple, le café «?La Fleur en Papier Doré?» situé rue des Alexiens) ; - lieu de regroupement ou de structuration d’un quartier (par exemple, les immeubles du Fer à Cheval dans la cité du Floréal) ; - bien faisant partie ou comprenant des équipements collectifs (écoles, crèches, salles communales/paroissiales, salles de sport, stades, etc.) ; - bien ou ensemble (de logements sociaux ou non) conçu de manière à stimuler les interactions sociales, l’entraide et la cohésion de quartier (par exemple les quartiers résidentiels construits après la Seconde Guerre mondiale à Ganshoren ou les quartiers spécifiquement destinés aux aînés) ; - bien faisant partie d’un complexe industriel ayant engendré une activité importante au sein de la commune où il se situe ou pour la Région.
- Urbanistique Certains biens architecturaux ont historiquement joué un rôle prépondérant dans l’aménagement de l’espace bâti et urbain. Ils définissent généralement d’autres formes d’urbanisme (plan) de manière à créer une interaction entre l’espace bâti et l’espace non bâti (ou ouvert). Cet aménagement inclut également la cohérence entre les différentes échelles. Un bien immobilier a un intérêt urbanistique lorsqu’il y joue un rôle, par exemple : - les immeubles d'angle, - les places cohérentes et les enfilades d’immeubles (suite de façades formant un ensemble homogène de même style, même époque et/ou même gabarit), - les cités-jardins, - les tours (immeubles de grande hauteur) et la qualité de leur relation avec leur environnement immédiat, qui peut être cohérent mais aussi contrasté, - les vestiges de concepts urbanistiques et la façon dont ils sont ou ont été remplis architecturalement (et typologiquement), comme, par exemple, les palais urbains éclectiques et/ou les hôtels particuliers du quartier Léopold qui sont encore préservés.
Recherches et rédaction
1997-2004
id
Urban : 4016
Description
Ensemble de cinq immeubles de style Art DécoStyle Art Déco (entre-deux-guerres). Tendance à la géométrisation des formes et des ornements architecturaux, doublée de jeux de matériaux, de textures et de couleurs., formant l'angle avec la r. Gisbert Combaz, érigés pour la Société coopérative " Le Foyer saint-gillois ", signés par deux fois, sur le soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. du no 208-212 et du no 1-3 r. Gisbert Combaz, " F(rançois) van Meulecom, arch, 1927 ". Millésime " 1927 " sur l'oriel du no 208-212 ch. de Forest. L'extrémité de l'angle formé par les deux artères, très aigu et non bâti, est aménagée en terrasse ceinte d'un mur de clôture.
Élévations très soignées, subtilement différenciées, de largeur différente et de six niveaux chacune. Façades en briques rouges, rehaussées d'éléments enduits de simili-pierreEnduit dont la couleur et la texture imitent la pierre de manière très convaincante, avec généralement des joints factices remplis de mortier gris. blanche et de pierre bleue. Le soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue., dont la hauteur varie suivant la déclivité des rues, est composé d'une plintheAssise inférieure d’un soubassement ou soubassement de hauteur particulièrement réduite. en pierre bleue doublée de briques jaunes dressées. R.d.ch. enduitL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc. de simili-pierreEnduit dont la couleur et la texture imitent la pierre de manière très convaincante, avec généralement des joints factices remplis de mortier gris.. Deux dern. niveaux crépis. Au r.d.ch., baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. cintrées ou rect. Porte à ébrasement en petits ressautsSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général.. Travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d'accès devancées aux niveaux médians d'un oriel de plan cintré, sur culot, percé d'une haute baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. éclairant la cage d'escalierEspace à l'intérieur duquel se développe un escalier.. L'oriel sert d'assiseRang d’éléments de même hauteur posés de niveau dans une maçonnerie. L’assise désigne également la plate-forme d’un balcon ou d'une logette, portée d’ordinaire par des consoles et sur laquelle repose le garde-corps. à une terrasse ceinte d'un parapetUn parapet en maçonnerie est un muret servant de garde-corps.. Oriel rect. devançant certaines travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. Les autres travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sont inscrites et percées de fenêtres rect., parfois devancées d'un balconnet à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage.. AllègesPartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. de simili-pierreEnduit dont la couleur et la texture imitent la pierre de manière très convaincante, avec généralement des joints factices remplis de mortier gris., ornées d'un petit motif carré. Corniche scandée de trios de modillonsÉléments décoratifs de forme quelconque, répétés sous une corniche..

Aux nos 214-216, 218 et 220, élévationsDessin à l'échelle d'une des faces verticales d’un édifice. Par extension, façade d'un bâtiment ou ensemble de ses façades. quasi identiques. No 214-216 de six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., les deux autres de cinq. Travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d'accès axiale, en oriel de plan cintré aux étages, flanquée d'oriels rect. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. conservés.
Aux nos 208-212 et r. Gisbert Combaz 1-3, immeubles act. réunis, formant un vaste bâtiment d'angle, épousant la courbe des rues et comprenant, ch. de Forest, sept niveaux pour rattraper la déclivité de la voirie. De part et d'autre de la travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d'angle, devancée aux niveaux médians par un oriel de plan polygonal, l'immeuble compte huit travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. r. Gisbert Combaz et neuf aux étages ch. de Forest. Certaines de ces travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sont aveuglesUn élément est dit aveugle lorsqu’il est dénué d’ouverture. Une baie aveugle est un élément construit sans ouverture, imitant une porte ou une fenêtre.. Ch. de Forest, r.d.ch. percé de devantures commerciales, modifiées en 1935 (arch. Éloi Drake). Travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d'accès devancée d'un oriel de plan trapézoïdal, flanqué de deux minces travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. enduites. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. remplacés.
Au no 5 r. Gisbert Combaz, élévation de six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. inégales. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. conservés.
Élévations très soignées, subtilement différenciées, de largeur différente et de six niveaux chacune. Façades en briques rouges, rehaussées d'éléments enduits de simili-pierreEnduit dont la couleur et la texture imitent la pierre de manière très convaincante, avec généralement des joints factices remplis de mortier gris. blanche et de pierre bleue. Le soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue., dont la hauteur varie suivant la déclivité des rues, est composé d'une plintheAssise inférieure d’un soubassement ou soubassement de hauteur particulièrement réduite. en pierre bleue doublée de briques jaunes dressées. R.d.ch. enduitL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc. de simili-pierreEnduit dont la couleur et la texture imitent la pierre de manière très convaincante, avec généralement des joints factices remplis de mortier gris.. Deux dern. niveaux crépis. Au r.d.ch., baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. cintrées ou rect. Porte à ébrasement en petits ressautsSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général.. Travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d'accès devancées aux niveaux médians d'un oriel de plan cintré, sur culot, percé d'une haute baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. éclairant la cage d'escalierEspace à l'intérieur duquel se développe un escalier.. L'oriel sert d'assiseRang d’éléments de même hauteur posés de niveau dans une maçonnerie. L’assise désigne également la plate-forme d’un balcon ou d'une logette, portée d’ordinaire par des consoles et sur laquelle repose le garde-corps. à une terrasse ceinte d'un parapetUn parapet en maçonnerie est un muret servant de garde-corps.. Oriel rect. devançant certaines travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. Les autres travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sont inscrites et percées de fenêtres rect., parfois devancées d'un balconnet à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage.. AllègesPartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. de simili-pierreEnduit dont la couleur et la texture imitent la pierre de manière très convaincante, avec généralement des joints factices remplis de mortier gris., ornées d'un petit motif carré. Corniche scandée de trios de modillonsÉléments décoratifs de forme quelconque, répétés sous une corniche..
Aux nos 214-216, 218 et 220, élévationsDessin à l'échelle d'une des faces verticales d’un édifice. Par extension, façade d'un bâtiment ou ensemble de ses façades. quasi identiques. No 214-216 de six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., les deux autres de cinq. Travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d'accès axiale, en oriel de plan cintré aux étages, flanquée d'oriels rect. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. conservés.
Aux nos 208-212 et r. Gisbert Combaz 1-3, immeubles act. réunis, formant un vaste bâtiment d'angle, épousant la courbe des rues et comprenant, ch. de Forest, sept niveaux pour rattraper la déclivité de la voirie. De part et d'autre de la travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d'angle, devancée aux niveaux médians par un oriel de plan polygonal, l'immeuble compte huit travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. r. Gisbert Combaz et neuf aux étages ch. de Forest. Certaines de ces travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sont aveuglesUn élément est dit aveugle lorsqu’il est dénué d’ouverture. Une baie aveugle est un élément construit sans ouverture, imitant une porte ou une fenêtre.. Ch. de Forest, r.d.ch. percé de devantures commerciales, modifiées en 1935 (arch. Éloi Drake). Travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d'accès devancée d'un oriel de plan trapézoïdal, flanqué de deux minces travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. enduites. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. remplacés.
Au no 5 r. Gisbert Combaz, élévation de six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. inégales. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. conservés.
Sources
Archives
ACSG/Urb. 143 (1925), 182 (1935), 74 (1984).
Ouvrages
De SALLE, J., OLEFFE, A., Les sites remarquables du patrimoine social bruxellois, Cooparch-RU, Bruxelles, 2000, fiche 13.
BLONDIAU, G., SOBIESKI, Ch. (dir.), Ensembles urbains et architecturaux à Saint-Gilles, Service des Monuments et Sites - Commune de Saint-Gilles, 1999, pp. 32-33.
Inventaire des logements sociaux à Bruxelles, Sint-Lukaswerkgemeenschap, Bruxelles, 1985, fiche 24.
Périodiques
PUISSANT, A., « L'habitation à bon marché », L'Émulation, 2, 1927, pp. 19-24
VAN MONTFORT, H., « Exposition de la Société Centrale d'Architecture de Belgique au Cercle Artistique et Littéraire de Bruxelles 1931 », L'Émulation, 9, 1931, pp. 306, 312
BLONDIAU, G., SOBIESKI, Ch. (dir.), Ensembles urbains et architecturaux à Saint-Gilles, Service des Monuments et Sites - Commune de Saint-Gilles, 1999, pp. 32-33.
Inventaire des logements sociaux à Bruxelles, Sint-Lukaswerkgemeenschap, Bruxelles, 1985, fiche 24.
Périodiques
PUISSANT, A., « L'habitation à bon marché », L'Émulation, 2, 1927, pp. 19-24
VAN MONTFORT, H., « Exposition de la Société Centrale d'Architecture de Belgique au Cercle Artistique et Littéraire de Bruxelles 1931 », L'Émulation, 9, 1931, pp. 306, 312