Collège Saint-Pierre
Rue Léon Theodor 161-163-167-171
Rue Jean-Baptiste Verbeyst 21-25
Boulevard de Smet de Naeyer 229
Typologie(s)
établissement scolaire
Intervenant(s)
Maurice DE GRAEVE – architecte
A. CASTEELS – architecte – 1935
A. CASTEELS – architecte
Ant. PODEVAIN – 1904-1908
Styles
Éclectisme
Postmodernisme
Inventaire(s)
- Actualisation de l'inventaire d'urgence (Sint-Lukasarchief - 1993-1994)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
- Inventaire du patrimoine architectural 1939-1999 (ULB)
- Le patrimoine monumental de la Belgique. Jette - noyau historique (DPC-DCE - 2020-2023)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique La signature d’un bien immeuble (bâtiment) par un architecte de renom ne peut pas être considérée comme un critère absolu. Pour évaluer la place qu’un bien occupe dans l’œuvre d’un architecte, ce critère doit être modulé avec la qualité architecturale (composition et structure interne) du bien, sa mise en œuvre (matériaux, maîtrise technique) et la place qu’il occupe dans l’histoire de l’architecture, ces trois éléments pouvant témoigner d’une phase ou d’un aspect de l’architecture urbaine ou paysagère du passé. Les critères suivants s’appliquent alors pour évaluer l’intérêt artistique : la rareté (typologie, style, utilisation des matériaux, sources), la représentativité (idem) et l’intégrité (idem + qualité d’exécution).
- Esthétique Le bien possède un intérêt esthétique s’il stimule les sens de l’observateur de manière positive (l’expérience de la beauté). Historiquement, cette valeur était utilisée pour désigner des zones naturelles ou semi-naturelles de grande valeur, mais elle peut également s’appliquer à de grands ensembles de bâtiments dans une zone urbaine, avec ou sans éléments naturels, ou à des monuments qui marquent le paysage urbain. D’autres intérêts sont automatiquement pris en considération, l’artistique en premier lieu, mais aussi le paysager (intégration de l’œuvre dans le paysage urbain, points de repère dans la ville) et l’urbanistique (ensembles urbains spontanés ou rationnels). Les critères de sélection suivants lui sont également associés : la représentativité, la valeur d’ensemble et la valeur contextuelle. Ces critères doivent être combinés avec d’autres critères (notamment artistiques).
- Historique Le bien présente un intérêt historique s’il témoigne d’une période particulière de l’histoire de la région ou de la commune, s’il représente un témoignage d’une période particulière du passé et/ou d’une évolution rare pour une période (par exemple, une cité-jardin représentative d’un mode de construction utilisé lors des grandes campagnes d’urbanisation après la Seconde Guerre mondiale, les noyaux villageois illustrant les premiers bâtiments groupés des communes de la Seconde couronne, la Porte de Hal comme vestige de la deuxième enceinte, etc.), s’il témoigne d’un développement urbain (et/ou paysager) particulier de la ville (par exemple, les immeubles des boulevards centraux ou du quartier Léopold), s’il présente un lien avec un personnage historique important, y compris les maisons personnelles d’architectes et les ateliers d’artistes (par exemple, la maison natale de Constantin Meunier, la maison de Magritte), s’il peut être associé à un événement historique important (par exemple, les maisons datant de la reconstruction de Bruxelles suite au bombardement de 1695, la colonne du Congrès), ou s’il possède une représentativité typologique caractéristique d’une activité commerciale ou culturelle (par exemple, les églises, les cinémas, l’architecture industrielle, les pharmacies).
- Social Cette valeur est difficile à distinguer de la valeur folklorique et généralement insuffisante pour justifier une sélection à elle seule. Il peut s’agir d’un : – lieu de mémoire d’une communauté ou d’un groupe social (par exemple, la potale à Berchem-Sainte-Agathe située place de l’église à Berchem-Sainte-Agathe, le Vieux Tilleul de Boondael à Ixelles)?; – lieu relevant d’une symbolique populaire (par exemple, le café «?La Fleur en Papier Doré?» situé rue des Alexiens)?; – lieu de regroupement ou de structuration d’un quartier (par exemple, les immeubles du Fer à Cheval dans la cité du Floréal).
- Urbanistique Certains biens architecturaux ont joué un rôle prépondérant dans la planification urbaine par le passé. Ils suivent généralement d’autres formes (plans) urbanistiques, entraînant une interaction entre les espaces bâtis et non bâtis (ou ouverts). Cet aménagement comprend également la cohérence entre les différents niveaux d’échelle. Un bien immobilier possède un intérêt urbanistique lorsqu’il joue un rôle dans ce domaine. En voici quelques exemples : les bâtiments d’angle, les places ou les enfilades d’immeubles présentant une certaine cohérence, les tours (immeubles de grande hauteur) habilement implantées et leur relation avec leur environnement qualitatif immédiat, qui peut être cohérent mais aussi contrasté, ainsi que les vestiges de concepts urbanistiques et la manière dont ils sont ou ont été remplis architecturalement (et typologiquement), comme les palais urbains et/ou les maisons de maître éclectiques encore préservés dans le quartier Léopold.
Recherches et rédaction
2022-2023
id
Urban : 41744
Description
Complexe scolaire comprenant des sections maternelles, primaires et secondaires néerlandophones et francophones rue Léon Theodor n°161-171, boulevard de Smet de Naeyer n°229 et rue Jean-Baptiste Verbeyst n°21-25. Les premiers bâtiments furent construits en 1904-1908 dans un style néogothiqueLe style néogothique (à partir de 1860 environ) est une tendance architecturale mettant à l’honneur les formes ogivales et verticales issues du moyen-âge gothique. Le style néo-Tudor s’inspire plus particulièrement du style gothique teinté de Renaissance qui fleurit en Angleterre sous le règne des Tudors., selon les plans de l’architecte Ant. Podevain le long de la rue Léon Theodor. Des années 1920 à aujourd’hui, de nombreux nouveaux bâtiments, agrandissements et transformations sont prévus pour agrandir et moderniser le complexe scolaire (notamment ceux conçus par les architectes A. Casteels et Maurice De Graeve et par l’architecte Ravestijn).
Historique
L’abbé Alphonse Cooreman, professeur au Petit séminaire de Malines, est chargé en 1902 de créer à Jette une école en langue française pour garçons: le Collège Saint-Pierre, qui rend hommage au saint patron de la paroisse. Les premiers élèves sont accueillis temporairement dans un bâtiment situé au n°184 de la chaussée de Wemmel. En 1904, l’architecte Ant. Podevain dessine les plans des nouveaux bâtiments de l’école, approuvés par le comité diocésain et mis en œuvre la même année dans un style néogothiqueLe style néogothique (à partir de 1860 environ) est une tendance architecturale mettant à l’honneur les formes ogivales et verticales issues du moyen-âge gothique. Le style néo-Tudor s’inspire plus particulièrement du style gothique teinté de Renaissance qui fleurit en Angleterre sous le règne des Tudors., devant représenter les valeurs chrétiennes de l’école. Le premier bâtiment, situé rue Léon Theodor (A), comprenait un réfectoire et des logements pour les professeurs, tandis que le second bâtiment, comprenant des salles de classe et une chapelle, était situé parallèlement au premier, mais à l’intérieur de la parcelle (B, aujourd’hui démoli et remplacé par un autre bâtiment). Un premier agrandissement de l’école a lieu en 1905-1906 par le biais de l’acquisition des bâtiments adjacents, de style néoclassique, les nos163-165 et 171 de la rue Léon Theodor (C), conférant à l’école une large façade à rue. En 1908, un bâtiment néogothiqueLe style néogothique (à partir de 1860 environ) est une tendance architecturale mettant à l’honneur les formes ogivales et verticales issues du moyen-âge gothique. Le style néo-Tudor s’inspire plus particulièrement du style gothique teinté de Renaissance qui fleurit en Angleterre sous le règne des Tudors. est construit dans le prolongement du n°171 de la rue L. Theodor, accueillant des salles de classe et une seconde chapelle, plus vaste (D).
En 1937, une section néerlandophone voit le jour1. Ouverture vitrée dans une menuiserie ou baie de petite dimension; 2. Vide autour duquel se développent certains escaliers tournants.: le Sint-Pietersgesticht. Durant cette période, le nombre d’élèves ne cesse d’augmenter, ce qui entraîne l’ajout d’une série de bâtiments scolaires à l’intérieur de la parcelle, qui occuperont une grande partie de l’îlot et s’étendront jusqu’à la rue Jean-Baptiste Verbeyst et jusqu’au boulevard de Smet de Naeyer. Ainsi, en 1927, le bâtiment situé dans le prolongement du n°171 de la rue L. Theodor est à nouveau agrandi par un bâtiment plus élevé de quatre niveaux dans lequel une cour intérieure, des salles de classe et des chambres pour l’internat sont aménagées (par l’architecte Maurice De Graeve) (E).
Le bâtiment (F) situé sur le côté sud de la zone intérieure et parallèle aux bâtiments D et E date de 1935 et a été conçu par l’architecte A. Casteels. Perpendiculairement à ce bâtiment et le long de la limite ouest de la parcelle, deux ailes similaires ont été ajoutées dans les années 1950 (G) tandis que le premier bâtiment a été exhaussé d’un étage.
Les agrandissements du collège se poursuivent même après la Seconde Guerre mondiale. En 1948, l’architecte Ravestijn conçoit une nouvelle entrée pour l’école, boulevard de Smet de Naeyer n°229, sous la forme d’un portique ogival à l’angle du boulevard et d’un muret de briques surmonté d’une grille le long de la rue Jean-Baptiste Verbeyst, récemment rénovée.
Le bâtiment de plain-pied situé derrière les nos163-165 de la rue Léon Theodor date de 1962 et abritait un grand réfectoire (H). Le haut bâtiment à fenêtres en bandeauÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. verticales situé boulevard de Smet de Naeyer n°229, qui abrite une piscine et un gymnase (I), date de la même époque.
Le bâtiment contemporain abritant des salles de classe situé rue Jean-Baptiste Verbeyst n°25 (G) date de 2020 et remplace un bâtiment plus ancien datant de 1972 (J). Le Collège est scindé en deux parties cette année-là: les deux écoles Saint-Pierre, néerlandophone d’un côté et francophone de l’autre, deviennent autonomes et se voient attribuer leurs propres bâtiments.
Vers 1985, certains bâtiments du Collège Saint-Pierre, notamment celui situé à l’intérieur de la parcelle, sont fortement remodelés pour former un nouvel ensemble de style postmoderniste. Les bâtiments B et D sont alors démolis et remplacés par de nouveaux bâtiments plus hauts, tandis que le bâtiment E subit d’importants travaux de rénovation et que la création d’une nouvelle aile (K) referme l’ensemble.
En 1985, le Collège Saint-Pierre francophone achète le n°153 de la rue Léon Theodor pour y installer son école primaire (L). Ce bâtiment est alors fortement rénové en un ensemble postmoderniste, par les architectes Marc Vanden Bossche, Joëlle Houde, Marc Lacour et Jean-Paul Verleyen.
L’école fut malheureusement très impliquée dans la Seconde Guerre mondiale: plusieurs abbés-enseignants se sont engagés dans la résistance contre l’occupation allemande. Certains en sont morts, après avoir été arrêtés et déportés en Allemagne, notamment l’abbé Paul Le Roux et l’abbé Victor De Sloover, tous deux exécutés par décapitation le 07.06.1944. Une rue de la commune a été nommée en l’honneur de chacun d’eux.
Description
Rue Léon Theodor n°163-165 (C) Deux bâtiments de style néoclassique de composition symétriqueDans l'inventaire, une façade est dite de composition symétrique lorsqu’elle compte trois travées égales. À Bruxelles, ce type de façade s’élève souvent sur trois niveaux de hauteur dégressive. La travée axiale est d’ordinaire mise en évidence par un ressaut, par un ou plusieurs balcons et par un décor plus élaboré., construits vers 1890 à titre d’habitations et servant d’école à partir de 1905-1906.
Baies rectangulaires au rez-de-chaussée, surbaissées aux étages.
Au no163, deux niveaux. Au rez-de-chaussée, entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. en bois comprenant des persiennes. Deux lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres..
Au no165, trois niveaux. Au premier étage, garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux..
Rue Léon Theodor n°167 (A). Bâtiment scolaire de style néogothiqueLe style néogothique (à partir de 1860 environ) est une tendance architecturale mettant à l’honneur les formes ogivales et verticales issues du moyen-âge gothique. Le style néo-Tudor s’inspire plus particulièrement du style gothique teinté de Renaissance qui fleurit en Angleterre sous le règne des Tudors., de composition symétriqueDans l'inventaire, une façade est dite de composition symétrique lorsqu’elle compte trois travées égales. À Bruxelles, ce type de façade s’élève souvent sur trois niveaux de hauteur dégressive. La travée axiale est d’ordinaire mise en évidence par un ressaut, par un ou plusieurs balcons et par un décor plus élaboré. et de trois niveaux, par l’architecte Ant. Podevain, 1904.
Façade en briques sur un soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en moellonsPierres grossièrement équarries mises en œuvre dans une maçonnerie. et éléments en pierre bleue. En travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. centrale, lucarne passanteUne lucarne est dite passante lorsqu'elle est située dans le plan de la façade et interrompt la corniche ou l’entablement terminal du bâtiment. présentant une ancrePièce métallique apparente ou noyée dans l’enduit de façade, fixée à l’extrémité d’un tirant en fer pour solidariser les murs et les planchers. Il existe des ancres purement décoratives, non reliées à des tirants. formant les lettres SP de Saint-Pierre. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires sous linteauxÉlément rectiligne d’un seul tenant, en pierre, bois, béton ou métal, couvrant une baie. de fer et travées brugeoisesDans l'architecture d'inspiration Renaissance flamande, la travée brugeoise est une travée inscrite sur toute sa hauteur dans un pan de mur en retrait et généralement sommée par un arc aveugle, souvent brisé.. FrisesBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. d’arcatures ogivales en entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne.. Deux petites lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres..
Rue Léon Theodor n°169(C). Bâtiment de style éclectique, construit vers 1890 comme maison et servant d’école à partir de 1905-1906. Exhaussé d’un niveau en 1922.
Élévation de trois niveaux et cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. sous arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. en anse de panierUn élément est dit en anse de panier lorsqu’il est cintré en demi-ovale.. La première travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. est plus large et comprend une baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaire au rez-de-chaussée et un balcon au garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... métallique au premier étage. FriseBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. de tuiles décoratives entre le deuxième et le troisième étage.
Rue Léon Theodor n°171 (C) Bâtiment de style éclectique, construit vers 1890 comme maison et servant d’école à partir de 1905-1906.
Élévation asymétrique de deux niveaux sous mansarde. Façade en briques sur un soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en pierre bleue. Balcon ceint de garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... pansusUn garde-corps est dit pansu lorsqu'il se cintre en doucine en élévation. en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion.. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. surbaissés. Corniche à modillonsÉléments décoratifs de forme quelconque, répétés sous une corniche.. MenuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC. de la porte préservée. Mansarde prévue de deux lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres..
BâtimentsD, E, B et K. Ensemble de bâtiments postmodernistes datant de 1985. Les bâtiments D, B et K sont des bâtiments neufs, tandis que le bâtiment E est une rénovation importante d’un bâtiment de 1927 (par l’architecte Maurice De Graeve).
Trois bâtiments scolaires perpendiculaires à l’intérieur de l’îlot formant un U abritant une cour. Trois et quatre niveaux sous toit plat. Façade en briques rouges et brunes rehaussée d’éléments en béton. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires, rythmées par des oculiJour de forme circulaire, ovale ou polygonale..
Les bâtiments D et E comportent chacun trois larges travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. séparées par un avant-corps trapézoïdal en béton dans lequel se trouvent de grandes baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. superposées et couronnées par le monogramme «SP». Au niveau le plus élevé, baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. d’imposte conçues comme une fenêtre en bandeauFenêtre percée sur une grande partie de la largeur de la façade et formant visuellement un bandeau. continue. Bâtiment E comprenant une cour intérieure et deux oriels au niveau des trumeauxPan de mur compris entre deux travées ou entre deux baies d'un même niveau., commençant au rez-de-chaussée par un arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. en plein cintreUn élément est dit en plein cintre lorsqu’il est cintré en demi-cercle., le deuxième s’étendant sur plusieurs niveaux.
BâtimentB. Façade le long de la cour semblable à celles des bâtiments D et E. Façade le long de la rue J.-B. Verbeyst rythmée de manière plus sobre. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires. Au rez-de-chaussée, portique menant à la cour intérieure.
Bâtiment K. Larges baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires aux trois premiers niveaux, baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires plus petites au niveau le plus élevé.
Portique à l’angle du boulevard de Smet de Naeyer et de la rue Jean-Baptiste Verbeyst. Portique ogival en briques jaunes recouvert de tuiles rouges et couronné des initiales SP. Grille le long de la rue Jean-Baptiste Verbeyst sur un muret en briques, rythmé par des piédestaux et deux structures plus hautes en forme de niche sous tuiles rouges. Deuxième portique postmoderniste en béton le long de la rue J.-B. Verbeyst formant une niche en arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné., sous bâtièreToit à deux versants. en tuiles rouges. La grille a partiellement disparu en raison d’une nouvelle construction au n°25 de la rue J.-B. Verbeyst.
Historique
L’abbé Alphonse Cooreman, professeur au Petit séminaire de Malines, est chargé en 1902 de créer à Jette une école en langue française pour garçons: le Collège Saint-Pierre, qui rend hommage au saint patron de la paroisse. Les premiers élèves sont accueillis temporairement dans un bâtiment situé au n°184 de la chaussée de Wemmel. En 1904, l’architecte Ant. Podevain dessine les plans des nouveaux bâtiments de l’école, approuvés par le comité diocésain et mis en œuvre la même année dans un style néogothiqueLe style néogothique (à partir de 1860 environ) est une tendance architecturale mettant à l’honneur les formes ogivales et verticales issues du moyen-âge gothique. Le style néo-Tudor s’inspire plus particulièrement du style gothique teinté de Renaissance qui fleurit en Angleterre sous le règne des Tudors., devant représenter les valeurs chrétiennes de l’école. Le premier bâtiment, situé rue Léon Theodor (A), comprenait un réfectoire et des logements pour les professeurs, tandis que le second bâtiment, comprenant des salles de classe et une chapelle, était situé parallèlement au premier, mais à l’intérieur de la parcelle (B, aujourd’hui démoli et remplacé par un autre bâtiment). Un premier agrandissement de l’école a lieu en 1905-1906 par le biais de l’acquisition des bâtiments adjacents, de style néoclassique, les nos163-165 et 171 de la rue Léon Theodor (C), conférant à l’école une large façade à rue. En 1908, un bâtiment néogothiqueLe style néogothique (à partir de 1860 environ) est une tendance architecturale mettant à l’honneur les formes ogivales et verticales issues du moyen-âge gothique. Le style néo-Tudor s’inspire plus particulièrement du style gothique teinté de Renaissance qui fleurit en Angleterre sous le règne des Tudors. est construit dans le prolongement du n°171 de la rue L. Theodor, accueillant des salles de classe et une seconde chapelle, plus vaste (D).
En 1937, une section néerlandophone voit le jour1. Ouverture vitrée dans une menuiserie ou baie de petite dimension; 2. Vide autour duquel se développent certains escaliers tournants.: le Sint-Pietersgesticht. Durant cette période, le nombre d’élèves ne cesse d’augmenter, ce qui entraîne l’ajout d’une série de bâtiments scolaires à l’intérieur de la parcelle, qui occuperont une grande partie de l’îlot et s’étendront jusqu’à la rue Jean-Baptiste Verbeyst et jusqu’au boulevard de Smet de Naeyer. Ainsi, en 1927, le bâtiment situé dans le prolongement du n°171 de la rue L. Theodor est à nouveau agrandi par un bâtiment plus élevé de quatre niveaux dans lequel une cour intérieure, des salles de classe et des chambres pour l’internat sont aménagées (par l’architecte Maurice De Graeve) (E).
Le bâtiment (F) situé sur le côté sud de la zone intérieure et parallèle aux bâtiments D et E date de 1935 et a été conçu par l’architecte A. Casteels. Perpendiculairement à ce bâtiment et le long de la limite ouest de la parcelle, deux ailes similaires ont été ajoutées dans les années 1950 (G) tandis que le premier bâtiment a été exhaussé d’un étage.
Les agrandissements du collège se poursuivent même après la Seconde Guerre mondiale. En 1948, l’architecte Ravestijn conçoit une nouvelle entrée pour l’école, boulevard de Smet de Naeyer n°229, sous la forme d’un portique ogival à l’angle du boulevard et d’un muret de briques surmonté d’une grille le long de la rue Jean-Baptiste Verbeyst, récemment rénovée.
Le bâtiment de plain-pied situé derrière les nos163-165 de la rue Léon Theodor date de 1962 et abritait un grand réfectoire (H). Le haut bâtiment à fenêtres en bandeauÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. verticales situé boulevard de Smet de Naeyer n°229, qui abrite une piscine et un gymnase (I), date de la même époque.
Le bâtiment contemporain abritant des salles de classe situé rue Jean-Baptiste Verbeyst n°25 (G) date de 2020 et remplace un bâtiment plus ancien datant de 1972 (J). Le Collège est scindé en deux parties cette année-là: les deux écoles Saint-Pierre, néerlandophone d’un côté et francophone de l’autre, deviennent autonomes et se voient attribuer leurs propres bâtiments.
Vers 1985, certains bâtiments du Collège Saint-Pierre, notamment celui situé à l’intérieur de la parcelle, sont fortement remodelés pour former un nouvel ensemble de style postmoderniste. Les bâtiments B et D sont alors démolis et remplacés par de nouveaux bâtiments plus hauts, tandis que le bâtiment E subit d’importants travaux de rénovation et que la création d’une nouvelle aile (K) referme l’ensemble.
En 1985, le Collège Saint-Pierre francophone achète le n°153 de la rue Léon Theodor pour y installer son école primaire (L). Ce bâtiment est alors fortement rénové en un ensemble postmoderniste, par les architectes Marc Vanden Bossche, Joëlle Houde, Marc Lacour et Jean-Paul Verleyen.
L’école fut malheureusement très impliquée dans la Seconde Guerre mondiale: plusieurs abbés-enseignants se sont engagés dans la résistance contre l’occupation allemande. Certains en sont morts, après avoir été arrêtés et déportés en Allemagne, notamment l’abbé Paul Le Roux et l’abbé Victor De Sloover, tous deux exécutés par décapitation le 07.06.1944. Une rue de la commune a été nommée en l’honneur de chacun d’eux.
Description
Rue Léon Theodor n°163-165 (C) Deux bâtiments de style néoclassique de composition symétriqueDans l'inventaire, une façade est dite de composition symétrique lorsqu’elle compte trois travées égales. À Bruxelles, ce type de façade s’élève souvent sur trois niveaux de hauteur dégressive. La travée axiale est d’ordinaire mise en évidence par un ressaut, par un ou plusieurs balcons et par un décor plus élaboré., construits vers 1890 à titre d’habitations et servant d’école à partir de 1905-1906.
Baies rectangulaires au rez-de-chaussée, surbaissées aux étages.
Au no163, deux niveaux. Au rez-de-chaussée, entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. en bois comprenant des persiennes. Deux lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres..
Au no165, trois niveaux. Au premier étage, garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux..
Rue Léon Theodor n°167 (A). Bâtiment scolaire de style néogothiqueLe style néogothique (à partir de 1860 environ) est une tendance architecturale mettant à l’honneur les formes ogivales et verticales issues du moyen-âge gothique. Le style néo-Tudor s’inspire plus particulièrement du style gothique teinté de Renaissance qui fleurit en Angleterre sous le règne des Tudors., de composition symétriqueDans l'inventaire, une façade est dite de composition symétrique lorsqu’elle compte trois travées égales. À Bruxelles, ce type de façade s’élève souvent sur trois niveaux de hauteur dégressive. La travée axiale est d’ordinaire mise en évidence par un ressaut, par un ou plusieurs balcons et par un décor plus élaboré. et de trois niveaux, par l’architecte Ant. Podevain, 1904.
Façade en briques sur un soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en moellonsPierres grossièrement équarries mises en œuvre dans une maçonnerie. et éléments en pierre bleue. En travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. centrale, lucarne passanteUne lucarne est dite passante lorsqu'elle est située dans le plan de la façade et interrompt la corniche ou l’entablement terminal du bâtiment. présentant une ancrePièce métallique apparente ou noyée dans l’enduit de façade, fixée à l’extrémité d’un tirant en fer pour solidariser les murs et les planchers. Il existe des ancres purement décoratives, non reliées à des tirants. formant les lettres SP de Saint-Pierre. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires sous linteauxÉlément rectiligne d’un seul tenant, en pierre, bois, béton ou métal, couvrant une baie. de fer et travées brugeoisesDans l'architecture d'inspiration Renaissance flamande, la travée brugeoise est une travée inscrite sur toute sa hauteur dans un pan de mur en retrait et généralement sommée par un arc aveugle, souvent brisé.. FrisesBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. d’arcatures ogivales en entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne.. Deux petites lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres..
Rue Léon Theodor n°169(C). Bâtiment de style éclectique, construit vers 1890 comme maison et servant d’école à partir de 1905-1906. Exhaussé d’un niveau en 1922.
Élévation de trois niveaux et cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. sous arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. en anse de panierUn élément est dit en anse de panier lorsqu’il est cintré en demi-ovale.. La première travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. est plus large et comprend une baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaire au rez-de-chaussée et un balcon au garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... métallique au premier étage. FriseBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. de tuiles décoratives entre le deuxième et le troisième étage.
Rue Léon Theodor n°171 (C) Bâtiment de style éclectique, construit vers 1890 comme maison et servant d’école à partir de 1905-1906.
Élévation asymétrique de deux niveaux sous mansarde. Façade en briques sur un soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en pierre bleue. Balcon ceint de garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... pansusUn garde-corps est dit pansu lorsqu'il se cintre en doucine en élévation. en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion.. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. surbaissés. Corniche à modillonsÉléments décoratifs de forme quelconque, répétés sous une corniche.. MenuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC. de la porte préservée. Mansarde prévue de deux lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres..
BâtimentsD, E, B et K. Ensemble de bâtiments postmodernistes datant de 1985. Les bâtiments D, B et K sont des bâtiments neufs, tandis que le bâtiment E est une rénovation importante d’un bâtiment de 1927 (par l’architecte Maurice De Graeve).
Trois bâtiments scolaires perpendiculaires à l’intérieur de l’îlot formant un U abritant une cour. Trois et quatre niveaux sous toit plat. Façade en briques rouges et brunes rehaussée d’éléments en béton. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires, rythmées par des oculiJour de forme circulaire, ovale ou polygonale..
Les bâtiments D et E comportent chacun trois larges travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. séparées par un avant-corps trapézoïdal en béton dans lequel se trouvent de grandes baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. superposées et couronnées par le monogramme «SP». Au niveau le plus élevé, baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. d’imposte conçues comme une fenêtre en bandeauFenêtre percée sur une grande partie de la largeur de la façade et formant visuellement un bandeau. continue. Bâtiment E comprenant une cour intérieure et deux oriels au niveau des trumeauxPan de mur compris entre deux travées ou entre deux baies d'un même niveau., commençant au rez-de-chaussée par un arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. en plein cintreUn élément est dit en plein cintre lorsqu’il est cintré en demi-cercle., le deuxième s’étendant sur plusieurs niveaux.
BâtimentB. Façade le long de la cour semblable à celles des bâtiments D et E. Façade le long de la rue J.-B. Verbeyst rythmée de manière plus sobre. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires. Au rez-de-chaussée, portique menant à la cour intérieure.
Bâtiment K. Larges baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires aux trois premiers niveaux, baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires plus petites au niveau le plus élevé.
Portique à l’angle du boulevard de Smet de Naeyer et de la rue Jean-Baptiste Verbeyst. Portique ogival en briques jaunes recouvert de tuiles rouges et couronné des initiales SP. Grille le long de la rue Jean-Baptiste Verbeyst sur un muret en briques, rythmé par des piédestaux et deux structures plus hautes en forme de niche sous tuiles rouges. Deuxième portique postmoderniste en béton le long de la rue J.-B. Verbeyst formant une niche en arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné., sous bâtièreToit à deux versants. en tuiles rouges. La grille a partiellement disparu en raison d’une nouvelle construction au n°25 de la rue J.-B. Verbeyst.
Sources
Ouvrages
CLAISSE, M., DE SMET, A., DE SMET, J.-P., et al, Un collège… Un quartier…, 1988.
PAULUS, G., Jette, Guides des communes de la Région Bruxelloise, CFC-éditions, Bruxelles, 2000, p. 17.