Typologie(s)
maison ou immeuble de rapport
rez-de-chaussée commercial
rez-de-chaussée commercial
Intervenant(s)
INCONNU - ONBEKEND – 1905-1915
Styles
Éclectisme
Art nouveau
Inventaire(s)
- Actualisation de l'inventaire d'urgence (Sint-Lukasarchief - 1993-1994)
- Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
2016-2017
id
Urban : 37648
Description
Maison de rapport de style éclectique teinté
d’Art nouveau, à rez-de-chaussée commercial, vers 1910.
Elle se situe au sein d’une enfilade particulièrement cohérente d’immeubles de même style, allant du no248 au no260.
Façade en briques crème, rehaussée de pierre bleue. Rez-de-chaussée transformé à plusieurs reprises. Étages percés de tripletsGroupement de trois baies. Les deux latérales, identiques, sont différentes de la baie centrale, d’ordinaire plus vaste., compris dans une arcadeBaie aveugle ou non, coiffée d'un arc, souvent en répétition et allant jusqu’au sol. à arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. en accolade. Fenêtres à encadrement délardé (linteau, piédroitsLes piédroits sont les éléments verticaux latéraux de l’encadrement d’une baie, portant son couvrement. et appui). À l’origine, au premier étage, logette de maçonnerie axiale sous terrasse à garde-corps en fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage., l’ensemble supprimé en 1955, avec récupération d’une partie de la grille. AllègesPartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. et tympanEspace, décoré ou non, circonscrit par un fronton ou un arc de décharge. enduits, vraisemblablement ornés de sgraffites à l’origine. Corniche conservée. HuisserieMenuiseries qui s’ouvrent et se ferment, c’est-à-dire les portes et les fenêtres. Par extension, le terme désigne également les fenêtres à châssis dormants. remplacée.
Elle se situe au sein d’une enfilade particulièrement cohérente d’immeubles de même style, allant du no248 au no260.
Façade en briques crème, rehaussée de pierre bleue. Rez-de-chaussée transformé à plusieurs reprises. Étages percés de tripletsGroupement de trois baies. Les deux latérales, identiques, sont différentes de la baie centrale, d’ordinaire plus vaste., compris dans une arcadeBaie aveugle ou non, coiffée d'un arc, souvent en répétition et allant jusqu’au sol. à arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. en accolade. Fenêtres à encadrement délardé (linteau, piédroitsLes piédroits sont les éléments verticaux latéraux de l’encadrement d’une baie, portant son couvrement. et appui). À l’origine, au premier étage, logette de maçonnerie axiale sous terrasse à garde-corps en fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage., l’ensemble supprimé en 1955, avec récupération d’une partie de la grille. AllègesPartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. et tympanEspace, décoré ou non, circonscrit par un fronton ou un arc de décharge. enduits, vraisemblablement ornés de sgraffites à l’origine. Corniche conservée. HuisserieMenuiseries qui s’ouvrent et se ferment, c’est-à-dire les portes et les fenêtres. Par extension, le terme désigne également les fenêtres à châssis dormants. remplacée.
Sources
Archives
AVB/TP 91676
(1938-1940), 64908 (1955), 91676 (1987).