Typologie(s)

établissement scolaire

Intervenant(s)

Hyppolite JAUMOTarchitecte1898

Hyppolite JAUMOTarchitecte1875-1881

Statut juridique

Inscrit à l’inventaire légal le 19 août 2024

Styles

Néoclassicisme
Éclectisme

Inventaire(s)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

Recherches et rédaction

2010-2012

id

Urban : 20680
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Description

Groupe scolaire communal édifié par l'architecte H. Jaumot en deux temps (1875-1881 et 1898) dans l'îlot compris entre l'avenue Dailly, la rue François Bossaerts et la Grande rue au Bois.

Historique

En 1874 est décidée la construction d'une nouvelle école primaire communale pour filles et garçons avenue Dailly (actuel lycée Émile Max), portant les nos9 et 10. Dotés de deux entrées séparées à rue, les bâtiments sont édifiés entre 1875 et 1881. En 1881, un nouveau terrain est acquis du côté de la Grande rue au Bois et de la rue François Bossaerts en vue d'implanter une école maternelle, projet qui sera reporté en 1898. À cette date, le Conseil communal décide d'ériger une nouvelle école primaire pour filles vers la Grande rue au Bois et une école gardienne vers la rue François Bossaerts, laissant l'école à front de l'avenue Dailly à usage des seuls garçons. Programme, plans et devis sont approuvés en séance du 22.11.1898. Le programme de l'école primaire des filles comprend quatorze classes, une salle de couture, une bibliothèque, un petit musée scolaire, une salle de conférence et une salle de gymnastique, le tout distribué autour d'un vaste préau couvert. Dans les caves prennent place divers locaux destinés à la section ménagère, ainsi qu'un réfectoire et des douches. Directement inspirée du jardin d'enfants de la rue Bervoets à Anvers, l'école gardienne comprend quatre classes, chacune doublée d'une salle de jeux et desservie par une cour et un jardin communs. En 1988, le lycée Émile Max prend place dans les locaux de l'école no9.

Description

Ancienne école no9

À front de l'avenue Dailly, complexe de style néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps. constitué de deux bâtiments principaux, reliés entre eux par un préau: l'un, oblong, à front de rue, l'autre implanté en T en intérieur de l'îlot. Façades enduitesL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc. et peintes, rehaussées de pierre bleue.

Avenue Dailly 124, ancienne école n° 9, actuel lycée Émile Max 2 (photo 2012).

Le bâtiment à rue se décline en trois corps distribués symétriquement, de chacun trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. et deux niveaux sous toiture à croupesUne croupe est un versant de toit qui réunit les deux pans principaux d’un toit à leur extrémité. Contrairement à la croupette, la croupe descend aussi bas que les pans principaux.. Corps latéraux de moindre hauteur, reliés à l'axial par un petit volume d'un seul niveau sous toit plat percé d'une entrée, celle de gauche surmontée de l'inscription «garçons», celle de droite de l'inscription «filles». Corps latéraux scandés de pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. à bavette et ornés au rez-de-chaussée de vastes tablesPetite surface plane décorative, carrée ou rectangulaire. En menuiserie, on utilisera plus volontiers le terme panneau. garnies de moellonsPierres grossièrement équarries mises en œuvre dans une maçonnerie.; ces dernières surmontent les baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. au corps gauche et occupent tout le rez-de-chaussée au corps droit. Corps central à pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. à bossagesBossage. Saillie de la face d’un bloc de pierre par rapport au nu de la maçonnerie. Un bossage est dit un sur deux lorsqu’un parement présente une alternance d’assises de blocs en bossages et de blocs dont le parement reste au nu de la maçonnerie. Un bossage est dit rustique lorsque son parement est d’une taille grossière. Il est dit continu lorsqu'il se prolonge sur une assise entière. aux angles. Travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiale en ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. et percée de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. à encadrement de pierre, celle de l'étage sous entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. à forte cornicheCorniche. Élément de couronnement d’un entablement, d’une élévation ou d’un élément d’élévation comme une baie ou une lucarne. La corniche se compose de moulures en surplomb les unes par rapport aux autres. La cimaise est la moulure supérieure de la corniche, située au-dessus du larmier.. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. remplacés; portes conservées.

Accolé à l'arrière du bâtiment à rue, préau à toiture métallique vitrée, soutenu par des colonnesUne colonne est un support vertical formé d’un fût de plan circulaire ou polygonal et souvent d’un chapiteau et d’une base. Une colonnette désigne une petite colonne. en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion. vers les cours bordant le bâtiment en T. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. et portes partiellement conservés.

Bâtiment en T à usage de classes. De quinze travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., son long côté est constitué de trois corps, les latéraux de deux niveaux sous toiture à croupeUne croupe est un versant de toit qui réunit les deux pans principaux d’un toit à leur extrémité. Contrairement à la croupette, la croupe descend aussi bas que les pans principaux., l'axial de trois niveaux sous toit plat. Latéralement et dans l'axe, travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d'escalier en ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général.. Le petit côté du T est également composé de trois corps symétriques, sous toiture à croupe(s), totalisant sept travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. en grande partie remplacés. Portes conservées. À l'intérieur, les classes sont accessibles par trois cages d'escalierEspace à l'intérieur duquel se développe un escalier. dans le long côté et deux dans le petit. Elles ouvrent les unes sur les autres et reçoivent la lumière naturelle sur deux côtés. Deux des cages conservent leur escalier d'origine, à poutrelle métallique, marches en chêne et rampe en fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage.. Les autres ont été rhabillées en style PaquebotLe style Paquebot (années 1930) est une esthétique architecturale inspirée de l’architecture navale (fenêtres rondes, balustrade ou balcon arrondi, fluidité des lignes). (architecte A. Rogiers, 1953), avec marches en granitoMatériau composé de mortier et de pierres colorées concassées présentant, après polissage, l’aspect d’un granit. et lambrisLe lambris est un revêtement de menuiserie, de marbre ou de stuc couvrant la partie inférieure ou l'entièreté des murs d’une pièce. en carreaux de céramique. Certaines classes conservent leurs lambrisLe lambris est un revêtement de menuiserie, de marbre ou de stuc couvrant la partie inférieure ou l'entièreté des murs d’une pièce. de bois, parquet et tableaux d'origine, ainsi que quelques meubles en pitchpin. La plupart ont cependant été rhabillées suivant l'esthétique modernisteLe modernisme (à partir des années 1920) est un courant international prônant la suprématie de la fonction sur la forme. Il se caractérise par l’emploi de volumes géométriques élémentaires, de la toiture plate, des fenêtres en bandeau et des matériaux modernes comme le béton armé..

École primaire no10


Implanté en retrait de la Grande rue au Bois, bâtiment de style éclectiqueStyle éclectique (de 1850 à 1914 environ). Courant architectural original puisant librement son inspiration dans plusieurs styles. d'inspiration néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps., composé de trois volumes parallèles chacun sous toit en bâtièreToit à deux versants.: deux volumes de classes oblongs de deux niveaux, séparés par le préau.

Grande rue au Bois 57-59, école primaire no 10 (photo 2012).

Façade à rue magnifiée par la zone de recul de cinq mètres, ceinte d'une grille. ÉlévationDessin à l'échelle d'une des faces verticales d’un édifice. Par extension, façade d'un bâtiment ou ensemble de ses façades. symétrique de douze travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. flanquées de pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau., l'axiale traitée en ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général., tout comme les quatrième et dixième, qui logent une entrée. Première travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. également percée de la porte de l'école gardienne. ÉlévationDessin à l'échelle d'une des faces verticales d’un édifice. Par extension, façade d'un bâtiment ou ensemble de ses façades. en briques rehaussées de pierre bleue et de pierre blanche. Haut soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en pierre bleue, avec cour anglaise, rachetant la déclivité du terrain. Larges fenêtres pour la plupart à un ou deux meneauxÉlément vertical de pierre ou de métal divisant une baie.. Travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. en ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. couronnées d'un toit briséUn élément est dit brisé, en ogive ou ogival lorsqu’il est composé de deux arcs de cercle se rejoignant en pointe. en pavillonLe toit en pavillon est un toit à quatre versants droits couvrant un corps de bâtiment de plan sensiblement carré. La lucarne en pavillon est une lucarne dont le toit est en pavillon. à ligne de brisisUne toiture est dite mansardée lorsqu'elle présente deux pentes différentes sur le même versant. Le brisis est le pan inférieur de la toiture mansardée. Le pan supérieur se nomme le terrasson. ornée de croisillons métalliques; toits latéraux devancés d'un frontonCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches., celui dans l'axe percé d'une imposante lucarneOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. à aileronsÉlément décoratif ordinairement enroulé en S et terminé en volutes, qui s’inscrit dans un angle et forme un adoucissement. et frontonCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches.. Portes respectivement surmontées des inscriptions «ECOLE GARDIENNE No6», «ECOLE PRIMAIRE No10» et «GEMEENTESCHOOL No10». MenuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC. et ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux. conservées; châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. à petits-boisPetit-bois, petit-fer. Petit élément en bois ou en fer subdivisant le vitrage d’un châssis..

Façade arrière enduiteL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc., percée de fenêtres à linteau métalliquePoutrelle métallique de profil en I, utilisée comme linteau, souvent agrémentée de rosettes en tôle découpée.. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. remplacés.

Préau sous charpente PolonceauCharpente Polonceau. Charpente de halle rectangulaire dont les éléments en traction (entraits) sont des tirants en fer ou en acier, tandis que les éléments en compression (arbalétriers, poinçons) sont en fonte ou en bois. Brevet de l'ingénieur français Polonceau de 1836.. Murs enduitsL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc. à ordonnance néoclassiqueLe style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps. de pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau., entablementsCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. et frontonsCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches., d'inspiration essentiellement toscane. Un registreAlignement horizontal de baies sur un pignon. de fenêtres-hautes rectangulaires à meneauxÉlément vertical de pierre ou de métal divisant une baie. et arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. en anse de panierUn élément est dit en anse de panier lorsqu’il est cintré en demi-ovale. dispense l'éclairage naturel. Les classes de l'étage sont longées par une galerieUne galerie est un espace couvert dévolu au passage, d'ordinaire rythmé de supports. Un portique désigne plus particulièrement une galerie ouverte sur l’extérieur par un rang d’arcades ou de colonnes. Le portique se situe au rez-de-chaussée d’un bâtiment. Il peut également être indépendant. sur poutrelles et corbeauxPièce de pierre ou de bois partiellement engagée dans un mur et portant une charge. Le corbeau se distingue de la console par sa petite taille, il porte généralement un élément en faible saillie. D’autre part, sa section verticale est sensiblement carrée ou rectangulaire. métalliques, à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage.. On y accède par des escaliers à marches de chêne, contremarches ajourées et balustresPetits supports en répétition, généralement profilés et de section circulaire, constituant une balustrade. en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion.. Classes ayant partiellement conservé leur équipement originel (tableaux, estrades, armoires). LambrisLe lambris est un revêtement de menuiserie, de marbre ou de stuc couvrant la partie inférieure ou l'entièreté des murs d’une pièce. et portes en pitchpin largement conservés dans tout le complexe.

École maternelle

Implantée en intérieur d'îlot vers la rue François Bossaerts, perpendiculairement à l'école primaire no10, l'école maternelle est accessible par l'entrée située à la première travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de cette dernière, via un long corridor. Bâtiment de style éclectiqueStyle éclectique (de 1850 à 1914 environ). Courant architectural original puisant librement son inspiration dans plusieurs styles. composé de deux volumes parallèles sous toit en bâtièreToit à deux versants., celui vers l'école primaire d'un seul niveau, celui vers la rue Bossaerts plus large et de deux niveaux. Abritant à l'origine respectivement les classes et les salles de jeux, ils sont reliés au rez-de-chaussée par un couloir sous toit plat. Façade du volume de classes enduitL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc. et percé de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires jumeléesDes éléments sont dits jumeaux, jumelés ou géminés lorsqu’ils sont répétés de manière identique. Ces éléments peuvent être plus nombreux que deux. par trois dans des encadrements monumentaux; châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. remplacés. Façade du volume vers la rue en briques rehaussées de pierre bleue et devancée au rez-de-chaussée d'une marquiseAuvent métallique vitré. festonnée; châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. conservés au rez-de-chaussée.

Grande rue au Bois 57-59, école maternelle, façade vers la rue François Bossaerts (photo 2012).

L'étage du volume vers la rue Bossaerts a été transformé en classes en 2010.

Sources

Archives
ACS/TP École no10.
ACS/Bulletin communal de Schaerbeek, 1876, pp. 70-75; 1881, pp. 231-234, 278-279, 346-349; 1898, pp. 1340-1342.