Typologie(s)
cinéma
galerie commerçante
galerie commerçante
Intervenant(s)
René AJOUX – architecte – 1938
Styles
Modernisme
Inventaire(s)
- Inventaire des salles de cinéma (1993)
- Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
- Le patrimoine monumental de la Belgique. Saint-Josse-ten-Noode (DMS-DML - 1994-1997)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Social
- Technique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
1993-1995
id
Urban : 10326
Description
Cinéma construit en 1938 en style moderniste sur des plans de l'arch. R. Ajoux, qui dessina également les plans de l'anc. cinéma Mirano en 1942 et 1951.
À l'origine, salle de cinéma rect. avec encore une capacité de 1.200 spectateurs en 1955, réduite à 1.030 en 1967. Fermé après un incendie en 1976, seule la façade originale fut conservée. Transformé en galerie commerçante en 1978. R.d.ch. act. utilisé comme papeterie, les autres étages inoccupés.
Façade monumentale de cinq niveaux de hauteur inégale, sous toiture plate. Structure de béton armé. Jeu plastique entre la façade courbe en retrait des trois 1er niveaux et de larges bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. en éperon soulignant les étages supérieurs. Ceux-ci sont divisés en deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. symétriques par un pilastreÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. constituant un accent vertical. A l'origine, parementRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briques jaunes émaillées, caractéristique ; act. seulement visible aux deux niveaux supérieurs, les trois autres étant cachés par une enseigne lumineuse. Vitrage à châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. métallique formant un accent horizontal contrastant avec la structure verticalisante.
À l'origine, salle de cinéma rect. avec encore une capacité de 1.200 spectateurs en 1955, réduite à 1.030 en 1967. Fermé après un incendie en 1976, seule la façade originale fut conservée. Transformé en galerie commerçante en 1978. R.d.ch. act. utilisé comme papeterie, les autres étages inoccupés.
Façade monumentale de cinq niveaux de hauteur inégale, sous toiture plate. Structure de béton armé. Jeu plastique entre la façade courbe en retrait des trois 1er niveaux et de larges bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. en éperon soulignant les étages supérieurs. Ceux-ci sont divisés en deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. symétriques par un pilastreÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. constituant un accent vertical. A l'origine, parementRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briques jaunes émaillées, caractéristique ; act. seulement visible aux deux niveaux supérieurs, les trois autres étant cachés par une enseigne lumineuse. Vitrage à châssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. métallique formant un accent horizontal contrastant avec la structure verticalisante.
Sources
Archives
ACSJ/Urb./TP 13187 (1938), 13266 (1938), 13302 (1938), 13325 (1938), 16641 (1978).
Ouvrages
CRUNELLE, M., DEBLIECK, D., VAUTHIER, E., et al., Inventaire des salles de cinéma de la Région de Bruxelles, Service de Monuments et Sites, Bruxelles, 1994, fiche 155bis.
Ouvrages
CRUNELLE, M., DEBLIECK, D., VAUTHIER, E., et al., Inventaire des salles de cinéma de la Région de Bruxelles, Service de Monuments et Sites, Bruxelles, 1994, fiche 155bis.
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