Instituut van de Ursulinen et Institut des Ursulines
Rue Herkoliers 65, 67-69, 71
Boulevard Léopold II 266-268-270
Typologie(s)
établissement scolaire
Intervenant(s)
INCONNU - ONBEKEND – 1904
Statut juridique
Inscrit à l’inventaire légal le 19 août 2024
Styles
Éclectisme
Néogothique
Inventaire(s)
- Actualisation de l'inventaire d'urgence (Sint-Lukasarchief - 1993-1994)
- Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
- Le patrimoine monumental de la Belgique. Koekelberg (DPC-DCE - 2020-2023)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique La signature d’un bien immeuble (bâtiment) par un architecte de renom ne peut pas être considérée comme un critère absolu. Pour évaluer la place qu’un bien occupe dans l’œuvre d’un architecte, ce critère doit être modulé avec la qualité architecturale (composition et structure interne) du bien, sa mise en œuvre (matériaux, maîtrise technique) et la place qu’il occupe dans l’histoire de l’architecture, ces trois éléments pouvant témoigner d’une phase ou d’un aspect de l’architecture urbaine ou paysagère du passé. Les critères suivants s’appliquent alors pour évaluer l’intérêt artistique : la rareté (typologie, style, utilisation des matériaux, sources), la représentativité (idem) et l’intégrité (idem + qualité d’exécution).
- Esthétique Le bien possède un intérêt esthétique s’il stimule les sens de l’observateur de manière positive (l’expérience de la beauté). Historiquement, cette valeur était utilisée pour désigner des zones naturelles ou semi-naturelles de grande valeur, mais elle peut également s’appliquer à de grands ensembles de bâtiments dans une zone urbaine, avec ou sans éléments naturels, ou à des monuments qui marquent le paysage urbain. D’autres intérêts sont automatiquement pris en considération, l’artistique en premier lieu, mais aussi le paysager (intégration de l’œuvre dans le paysage urbain, points de repère dans la ville) et l’urbanistique (ensembles urbains spontanés ou rationnels). Les critères de sélection suivants lui sont également associés : la représentativité, la valeur d’ensemble et la valeur contextuelle. Ces critères doivent être combinés avec d’autres critères (notamment artistiques).
- Historique Le bien présente un intérêt historique s’il témoigne d’une période particulière de l’histoire de la région ou de la commune, s’il représente un témoignage d’une période particulière du passé et/ou d’une évolution rare pour une période (par exemple, une cité-jardin représentative d’un mode de construction utilisé lors des grandes campagnes d’urbanisation après la Seconde Guerre mondiale, les noyaux villageois illustrant les premiers bâtiments groupés des communes de la Seconde couronne, la Porte de Hal comme vestige de la deuxième enceinte, etc.), s’il témoigne d’un développement urbain (et/ou paysager) particulier de la ville (par exemple, les immeubles des boulevards centraux ou du quartier Léopold), s’il présente un lien avec un personnage historique important, y compris les maisons personnelles d’architectes et les ateliers d’artistes (par exemple, la maison natale de Constantin Meunier, la maison de Magritte), s’il peut être associé à un événement historique important (par exemple, les maisons datant de la reconstruction de Bruxelles suite au bombardement de 1695, la colonne du Congrès), ou s’il possède une représentativité typologique caractéristique d’une activité commerciale ou culturelle (par exemple, les églises, les cinémas, l’architecture industrielle, les pharmacies).
- Social Cette valeur est difficile à distinguer de la valeur folklorique et généralement insuffisante pour justifier une sélection à elle seule. Il peut s’agir d’un : – lieu de mémoire d’une communauté ou d’un groupe social (par exemple, la potale à Berchem-Sainte-Agathe située place de l’église à Berchem-Sainte-Agathe, le Vieux Tilleul de Boondael à Ixelles)?; – lieu relevant d’une symbolique populaire (par exemple, le café «?La Fleur en Papier Doré?» situé rue des Alexiens)?; – lieu de regroupement ou de structuration d’un quartier (par exemple, les immeubles du Fer à Cheval dans la cité du Floréal).
- Urbanistique Certains biens architecturaux ont joué un rôle prépondérant dans la planification urbaine par le passé. Ils suivent généralement d’autres formes (plans) urbanistiques, entraînant une interaction entre les espaces bâtis et non bâtis (ou ouverts). Cet aménagement comprend également la cohérence entre les différents niveaux d’échelle. Un bien immobilier possède un intérêt urbanistique lorsqu’il joue un rôle dans ce domaine. En voici quelques exemples : les bâtiments d’angle, les places ou les enfilades d’immeubles présentant une certaine cohérence, les tours (immeubles de grande hauteur) habilement implantées et leur relation avec leur environnement qualitatif immédiat, qui peut être cohérent mais aussi contrasté, ainsi que les vestiges de concepts urbanistiques et la manière dont ils sont ou ont été remplis architecturalement (et typologiquement), comme les palais urbains et/ou les maisons de maître éclectiques encore préservés dans le quartier Léopold.
Recherches et rédaction
2020-2022
id
Urban : 35512
Description
Établissements scolaires de style éclectique, d’inspiration néogothiqueLe style néogothique (à partir de 1860 environ) est une tendance architecturale mettant à l’honneur les formes ogivales et verticales issues du moyen-âge gothique. Le style néo-Tudor s’inspire plus particulièrement du style gothique teinté de Renaissance qui fleurit en Angleterre sous le règne des Tudors.,
construits en deux phases en 1904 et 1908.
En 1888, le bâtiment principal de l’ancien pensionnat Goussaert a été vendu et remplacé par les maisons situées aux nos278 à 280 du boulevard Léopold II (voir ces numéros), mais le terrain qui en constituait les jardins reste vacant. En 1899, il est acquis par un curé, M. Van Dyck. En 1901 il fait bâtir sa cure au n°63 rue Herkoliers (voir ce numéro). En 1904, M. Van Dyck introduit une demande pour faire bâtir divers bâtiments à côté de sa propriété. Il s’agit d’une «maison particulière» et d’une «salle des fêtes» (n°69-71 rue Herkoliers). Quelques mois plus tard, il introduit la demande de bâtir pour l’école située à front du boulevard Léopold II (n°266-268-270). En 1908, une nouvelle demande est introduite pour la construction d’un autre bâtiment (n°65 rue Herkoliers). Tous ces bâtiments abritaient à l’origine une école, une salle des fêtes, un pensionnat et un couvent. C’est la congrégation des Sœurs de Notre-Dame qui assure l’enseignement des jeunes filles de milieux populaires. Aujourd’hui les bâtiments à front du boulevard abritent l’Institut des Ursulines francophone et, à front de la rue Herkoliers, l’Instituut van de Ursulinen néerlandophone.
Rue Herkoliers nos65, 67, 69-71
Élévation en briques rouges rehaussée d’éléments en pierre bleue. La plupart des baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires à croiséeBaie à croisée. Baie divisée par des meneau(x) et traverse(s) se croisant à angle droit. ou traverseÉlément horizontal divisant une baie ou pièce horizontale d'une menuiserie., sous arc de déchargeArc noyé dans un mur plein, qui surmonte généralement un linteau ou un autre couvrement et sert à le soulager. en ogive. Châssis remplacés.
La «maison particulière» haute de trois niveaux occupe les trois premières travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. La première est surmontée d’un pignon à gradinsPignon dont les rampants sont étagés en escalier, à la manière de gradins. et percée de fenêtres à meneauÉlément vertical de pierre ou de métal divisant une baie. de maçonnerie. Porte d’origine.
Les cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. suivantes abritent «la salle des fêtes» et divers grands locaux probablement destinés à être des classes dès l’origine. Trois travées de deux niveaux, deux de trois niveaux. Travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d’entrée en ressaut percée d’une large porte ogivale surmontée de gradins; amortissementAmortissement. Élément décoratif placé au sommet d’une élévation.Amorti. Sommé d'un amortissement. en gradins également. Les deux dernières travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. (aveugles aux étages) sous pignon à rampants droits. Façade latérale longue de six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. dont quatre percées de baies jumelées par trois.
Les deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de droite accueillent le bâtiment de 1908, haut de deux niveaux sous toit plat. FriseBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. d’arcatures séparant les niveaux. Amortissement en gradins.
Le mur de clôture reliant les deux ailes a été remplacé.
Boulevard Léopold II n°266-268-270
Corps de bâtiment central flanqué de deux ailes latérales à soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en moellons et fenêtres à traverseÉlément horizontal divisant une baie ou pièce horizontale d'une menuiserie.. AncresPièce métallique apparente ou noyée dans l’enduit de façade, fixée à l’extrémité d’un tirant en fer pour solidariser les murs et les planchers. Il existe des ancres purement décoratives, non reliées à des tirants. à motif de croix dans un cercle.
Bâtiment central haut de trois niveaux parés de briques jaunes, rehaussés d’éléments en pierre bleue et de décors en briques rouges. Une travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous pignon en gradin, trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. centrales toutes inscrites dans un arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. en ogive, une large travée brugeoiseDans l'architecture d'inspiration Renaissance flamande, la travée brugeoise est une travée inscrite sur toute sa hauteur dans un pan de mur en retrait et généralement sommée par un arc aveugle, souvent brisé. aux baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. jumelées par deux, sous pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc..
Ailes latérales hautes de deux niveaux (et rehaussées en 1959). ParementRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briques rouges rehaussé d’éléments en pierre bleue et de décors en briques jaunes. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. jumelées par trois. Aile de gauche de trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., aile de droite de deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. MenuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC. remplacée.
En 1888, le bâtiment principal de l’ancien pensionnat Goussaert a été vendu et remplacé par les maisons situées aux nos278 à 280 du boulevard Léopold II (voir ces numéros), mais le terrain qui en constituait les jardins reste vacant. En 1899, il est acquis par un curé, M. Van Dyck. En 1901 il fait bâtir sa cure au n°63 rue Herkoliers (voir ce numéro). En 1904, M. Van Dyck introduit une demande pour faire bâtir divers bâtiments à côté de sa propriété. Il s’agit d’une «maison particulière» et d’une «salle des fêtes» (n°69-71 rue Herkoliers). Quelques mois plus tard, il introduit la demande de bâtir pour l’école située à front du boulevard Léopold II (n°266-268-270). En 1908, une nouvelle demande est introduite pour la construction d’un autre bâtiment (n°65 rue Herkoliers). Tous ces bâtiments abritaient à l’origine une école, une salle des fêtes, un pensionnat et un couvent. C’est la congrégation des Sœurs de Notre-Dame qui assure l’enseignement des jeunes filles de milieux populaires. Aujourd’hui les bâtiments à front du boulevard abritent l’Institut des Ursulines francophone et, à front de la rue Herkoliers, l’Instituut van de Ursulinen néerlandophone.
Rue Herkoliers nos65, 67, 69-71
Élévation en briques rouges rehaussée d’éléments en pierre bleue. La plupart des baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires à croiséeBaie à croisée. Baie divisée par des meneau(x) et traverse(s) se croisant à angle droit. ou traverseÉlément horizontal divisant une baie ou pièce horizontale d'une menuiserie., sous arc de déchargeArc noyé dans un mur plein, qui surmonte généralement un linteau ou un autre couvrement et sert à le soulager. en ogive. Châssis remplacés.
La «maison particulière» haute de trois niveaux occupe les trois premières travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. La première est surmontée d’un pignon à gradinsPignon dont les rampants sont étagés en escalier, à la manière de gradins. et percée de fenêtres à meneauÉlément vertical de pierre ou de métal divisant une baie. de maçonnerie. Porte d’origine.
Les cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. suivantes abritent «la salle des fêtes» et divers grands locaux probablement destinés à être des classes dès l’origine. Trois travées de deux niveaux, deux de trois niveaux. Travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d’entrée en ressaut percée d’une large porte ogivale surmontée de gradins; amortissementAmortissement. Élément décoratif placé au sommet d’une élévation.Amorti. Sommé d'un amortissement. en gradins également. Les deux dernières travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. (aveugles aux étages) sous pignon à rampants droits. Façade latérale longue de six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. dont quatre percées de baies jumelées par trois.
Les deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de droite accueillent le bâtiment de 1908, haut de deux niveaux sous toit plat. FriseBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. d’arcatures séparant les niveaux. Amortissement en gradins.
Le mur de clôture reliant les deux ailes a été remplacé.
Boulevard Léopold II n°266-268-270
Corps de bâtiment central flanqué de deux ailes latérales à soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en moellons et fenêtres à traverseÉlément horizontal divisant une baie ou pièce horizontale d'une menuiserie.. AncresPièce métallique apparente ou noyée dans l’enduit de façade, fixée à l’extrémité d’un tirant en fer pour solidariser les murs et les planchers. Il existe des ancres purement décoratives, non reliées à des tirants. à motif de croix dans un cercle.
Bâtiment central haut de trois niveaux parés de briques jaunes, rehaussés d’éléments en pierre bleue et de décors en briques rouges. Une travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous pignon en gradin, trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. centrales toutes inscrites dans un arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. en ogive, une large travée brugeoiseDans l'architecture d'inspiration Renaissance flamande, la travée brugeoise est une travée inscrite sur toute sa hauteur dans un pan de mur en retrait et généralement sommée par un arc aveugle, souvent brisé. aux baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. jumelées par deux, sous pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc..
Ailes latérales hautes de deux niveaux (et rehaussées en 1959). ParementRevêtement de la face extérieure d’un mur. de briques rouges rehaussé d’éléments en pierre bleue et de décors en briques jaunes. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. jumelées par trois. Aile de gauche de trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., aile de droite de deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. MenuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC. remplacée.
Sources
Archives
ACK/Urb. Rue Herkoliers 65, 67, 69-71: 274-19 (1904), 618-51 (1908), 1862-58 (1927), 4849-16A (1970); boulevard Léopold II 266-268-270: 282-27 (1904), 2180-21 (1930), 4363-63 (1959), 4520-18 (1962), 6262-7 (1983).