Typologie(s)

établissement scolaire

Intervenant(s)

Jean STILLEMANSingénieur-architecte1921

Statut juridique

Inscrit à l’inventaire légal le 19 août 2024

Styles

Éclectisme

Inventaire(s)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

Recherches et rédaction

1993-1995

id

Urban : 13559
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Description

Anc. école de filles construite à l'angle de l'av. Édouard de Thibault en 1921 d'après les plans de l'ingénieur-directeur des travaux communaux Jean STILLEMANS.

Façades en briques rouges et pierre, de trois niveaux sur caves hautesSous-sol à demi enterré, surélevant le rez-de-chaussée., dix-neuf travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. r. Général Tombeur, une travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. dans le pan coupéPan de mur situé de biais sur l’angle d’un bâtiment. et quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. av. Édouard de Thibault.

Soubassement en pierre bleue traité en bossages rustiques, percé de vingt-deux ouvertures de caves surbaissées protégées de grilles. Toutes les travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sont identiques et inscrites seules, par groupe de deux ou de trois, entre des pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. colossaux interrompus, entre le r.d.ch. et le 1er étage, par un cordonCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées.. Fenêtres surbaissées au 1er niveau, rect. au 2niveau et en plein cintreUn élément est dit en plein cintre lorsqu’il est cintré en demi-cercle. au 3niveau, ces deux dern. dans un même panneau en creux.

Une porte à deux battants sous un jour1. Ouverture vitrée dans une menuiserie ou baie de petite dimension; 2. Vide autour duquel se développent certains escaliers tournants. d'imposteUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie. rect. et un larmierMouluration horizontale qui présente un canal creusé dans sa partie inférieure, servant à décrocher les gouttes d’eau afin d’éviter leur ruissellement sur la façade. Le larmier isolé possède un chanfrein comme moulure supérieure. Le larmier constitue l'un des éléments de la corniche. sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. dans les travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. 4 et 16 de la r. Général Tombeur, toutes les deux en léger ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. et couronnées au-dessus de la corniche de bois par une lucarneOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. à aileronsÉlément décoratif ordinairement enroulé en S et terminé en volutes, qui s’inscrit dans un angle et forme un adoucissement. sommée d'un frontonCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches. courbe. Plusieurs lucarnes rampantesUne lucarne est dite rampante lorsqu'elle est couverte par un appentis incliné dans le même sens que le versant du toit. éclairent les comblesEspace intérieur de la toiture. aménagés dans la toiture. Le pan coupéPan de mur situé de biais sur l’angle d’un bâtiment. est surmonté d'un pseudo-pignon décoratif en pierre où un panneau est encadré par des montants cannelés sous un frontonCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches. courbe.

À l'arrière du bâtiment, après une travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. percée de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. éclairant la cage d'escalierEspace à l'intérieur duquel se développe un escalier., cinq fois trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. identiques dans un même panneau rect. en creux s'ouvrent sur la cour.

Av. Édouard de Thibault, un mur de clôture prolonge l'édifice et se poursuit r. Léon Scampart jusqu'à la salle de gymnastique, construction perpend. à cette artère et au bâtiment principal de deux niveaux sous bâtièreToit à deux versants. ; cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. vers la cour percées de larges ouvertures rect. au r.d.ch. et de fenêtres en anse de panierUn élément est dit en anse de panier lorsqu’il est cintré en demi-ovale. ou en plein cintreUn élément est dit en plein cintre lorsqu’il est cintré en demi-cercle. à l'étage, ces dern. inscrites chacune dans un encadrement rect. en creux. Façade-pignon sur la rue percée au r.d.ch. d'une baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. axiale en anse de panierUn élément est dit en anse de panier lorsqu’il est cintré en demi-ovale. doublée d'un rouleau d'archivolteMouluration disposée sur le front de l’arc. Le corps de moulures qui compose l’archivolte est de faible ampleur, moins complexe que celui de la corniche., entre deux ouvertures rect. et d'une grande fenêtre cintrée également sous rouleau d'archivolteMouluration disposée sur le front de l’arc. Le corps de moulures qui compose l’archivolte est de faible ampleur, moins complexe que celui de la corniche., encadrée par deux baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. plus basses en anse de panierUn élément est dit en anse de panier lorsqu’il est cintré en demi-ovale. au 2niveau. PignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc. à rampants droits.

Sources

Archives
ACEtt./Doss. Travaux Publics
AGR Cartes et Plans inventaire manuscrit. 4934 à 4937.

Ouvrages
MEIRE, R. J., Histoire d'Etterbeek, Musin, Bruxelles, 1981, p. 168.