Boulevard Maurice Lemonnier 137-139, 141-143-145
Rue des Foulons 1, 1a, 3, 5
Rue de la Caserne 50
Typologie(s)
maison ou immeuble de rapport
rez-de-chaussée commercial
rez-de-chaussée commercial
Intervenant(s)
INCONNU - ONBEKEND – 1875
Styles
Néoclassicisme
Inventaire(s)
- Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
2016
id
Urban : 32778
Description
À l’angle de la rue des Foulons et
de la rue de la Caserne, ensemble constitué de cinq maisons de commerce,
groupées, d’inspiration néoclassique, de 1875.
Cinq niveaux et respectivement six, dix et quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous bâtièreToit à deux versants. de tuiles. Façades enduites et peintes à l’origine, actuellement partiellement cimentées et reparementées de briques. RegistresAlignement horizontal de baies sur un pignon. réguliers de fenêtres échancrées, sur appuisAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. saillants formant cordonCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées.. Balcons continus en fonte aux quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. centrales des trois étages inférieurs vers le boulevard Lemonnier, aux deux étages inférieurs vers la rue des Foulons. Entablement classique. Rez-de-chaussée commerciaux originellement pourvus de devantures entre montants à bossages et sous entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne., encore conservées à l’angle des rues des Foulons et de la Caserne, remaniées ailleurs.
Cinq niveaux et respectivement six, dix et quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous bâtièreToit à deux versants. de tuiles. Façades enduites et peintes à l’origine, actuellement partiellement cimentées et reparementées de briques. RegistresAlignement horizontal de baies sur un pignon. réguliers de fenêtres échancrées, sur appuisAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. saillants formant cordonCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées.. Balcons continus en fonte aux quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. centrales des trois étages inférieurs vers le boulevard Lemonnier, aux deux étages inférieurs vers la rue des Foulons. Entablement classique. Rez-de-chaussée commerciaux originellement pourvus de devantures entre montants à bossages et sous entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne., encore conservées à l’angle des rues des Foulons et de la Caserne, remaniées ailleurs.
Sources
Archives
AVB/TP 25217 (1875).