Typologie(s)

rez-de-chaussée commercial
maison ou immeuble de rapport

Intervenant(s)

Hubert DE KOCKarchitecte1904

Statut juridique

Classé depuis le 08 décembre 2005

Styles

Éclectisme
Art nouveau

Inventaire(s)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

Recherches et rédaction

1997-2004

id

Urban : 7520
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Description

Vaste immeuble de rapport de style éclectique à façade polychrome, de trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. inégales sur six niveaux, le dern. établi en 1936, arch. Hubert De Kock, 1904.

Façade en briques vernissées blanches, rehaussée de briques de ton bordeaux et de pierre. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. sous linteau métalliquePoutrelle métallique de profil en I, utilisée comme linteau, souvent agrémentée de rosettes en tôle découpée. et arc de déchargeArc noyé dans un mur plein, qui surmonte généralement un linteau ou un autre couvrement et sert à le soulager.. Travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de g., d'accès, à baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. décalées. Travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. médiane en retrait. Travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de dr., plus large, percée de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. jumelées ou en tripletGroupement de trois baies. Les deux latérales, identiques, sont différentes de la baie centrale, d’ordinaire plus vaste. ; meneauxÉlément vertical de pierre ou de métal divisant une baie. en gaineEspace dans lequel se déplacent la cabine et/ou le contrepoids, délimité par les parois, le plafond et le fond de la cuvette. La gaine peut être fermée ou partiellement ouverte. . En travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. médiane et de dr., balcon continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées. au 2e niveau, balcons simples aux niveaux supérieurs, à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion. galbé ou droit.

R.d.ch. commercial où s'établit, en 1936, la Grande Triperie saint-gilloise. Devanture parée de marbre noir, arborant l'enseigne « Grande Triperie St Gilloise ». HuisserieMenuiseries qui s’ouvrent et se ferment, c’est-à-dire les portes et les fenêtres. Par extension, le terme désigne également les fenêtres à châssis dormants. modifiée en 1973. L'intérieur conserve des panneaux en carreaux de céramique à thèmes champêtres, dessinés par Jaques Madiol (1871-1950) et réalisés par la firme Helman. Les panneaux, de même que les portes, sont encadrés d'une belle friseBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. de fleurs stylisées. Une grande part de ce décor est malheureusement act. masquée.

Ouverture de la procédure de classement 11.09.2003.

Sources

Archives
ACSG/Urb. 57 (1904), 278 (1936), 33 (1973).

Ouvrages
SCHOONBROODT, B., L'Art Nouveau et les maîtres céramistes bruxellois, Hommage aux fabriques d'art Helman, Janssens et Vermeren-Coché, Escale du Nord, Anderlecht, 2002, pp. 41-50.