Avenue Houba de Strooper 212

Immeuble à appartements d’inspirations moderniste et Beaux-ArtsStyle Beaux-Arts (de 1905 à 1930 environ). Courant architectural puisant son inspiration dans les grands styles français du XVIIIe siècle. Riche et ornementé, il se caractérise souvent par des élévations en (simili-)pierre blanche et/ou brique orangée ainsi que par l’usage du fer forgé pour les garde-corps et la porte., architecte Marcel Lahousse et ingénieur Jacques Toint, 1949. Signature et millésime au rez-de-chaussée «M. LAHOUSSE / ARCH. BR. 2054», 1949.

Élévation symétrique de quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. aux étages et quatre niveaux sous toiture en bâtièreToit à deux versants.. Rehaussée de simili-pierreEnduit dont la couleur et la texture imitent la pierre de manière très convaincante, avec généralement des joints factices remplis de mortier gris. blanche, façade à rez-de-chaussée en pierre blanche reconstituée et étages en briques rouges, rehaussés de pierre blanche reconstituée. AppuisAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. talutés, ceux des étages continus. Porche d’entrée axial dans-œuvre, à ébrasement biais, flanqué de deux lanternes. Aux étages, travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. centrales plus larges. Fenêtres à linteauÉlément rectiligne d’un seul tenant, en pierre, bois, béton ou métal, couvrant une baie. saillant continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées.. Entre les étages, quatre têtes de pierre reconstituée en haut-relief, aux expressions variées, signées par le sculpteur Rik Poot. Corniche (remplacée) sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. de pierre et deux consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. latérales de briques.