Typologie(s)
maison d’habitation
Intervenant(s)
J. VANDENBOSSCHE – (maître-)maçon, entrepreneur – 1891
Styles
Néoclassicisme
Inventaire(s)
- Actualisation de l'inventaire d'urgence (Sint-Lukasarchief - 1993-1994)
- Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
- Le patrimoine monumental de la Belgique. Anderlecht-Cureghem (Archistory - 2017-2019)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
2016, 2019
id
Urban : 34950
Description
Ensemble de trois maisons de style néoclassique, conçues en 1891 pour et
peut-être par l’entrepreneur-maçon J. Vandenbossche, domicilié au no 17.
Façades de trois niveaux et deux ou trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. Balcons à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en fonte.
Aux nos 13 et 15, corniches conservées. HuisserieMenuiseries qui s’ouvrent et se ferment, c’est-à-dire les portes et les fenêtres. Par extension, le terme désigne également les fenêtres à châssis dormants. remplacée.
Au no 17, rez-de-chaussée à quadrillage de bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade., percé d’une porte cochère et d’une autre piétonne, la première menant à un atelier conçu en 1903 à l’arrière des nos 13 et 15. Travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. centrale en ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. et à refends aux étages. MenuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC. remplacée, excepté la porte piétonne.
Façades de trois niveaux et deux ou trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. Balcons à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en fonte.
Aux nos 13 et 15, corniches conservées. HuisserieMenuiseries qui s’ouvrent et se ferment, c’est-à-dire les portes et les fenêtres. Par extension, le terme désigne également les fenêtres à châssis dormants. remplacée.
Au no 17, rez-de-chaussée à quadrillage de bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade., percé d’une porte cochère et d’une autre piétonne, la première menant à un atelier conçu en 1903 à l’arrière des nos 13 et 15. Travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. centrale en ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. et à refends aux étages. MenuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC. remplacée, excepté la porte piétonne.
Sources
Archives
ACA/Urb. 4749 (27.05.1891); 17: 9449 (05.06.1903).
Périodiques
Almanach du Commerce et de l’Industrie, «Chimiste (rue du)», 1897.