Typologie(s)
maison bourgeoise
Intervenant(s)
D. PEETERS – architecte – 1862
Styles
Éclectisme
Néoclassicisme
Inventaire(s)
- Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
2016
id
Urban : 33823
Description
De tradition néoclassique, deux paires de
maisons jumelées symétriquement construites selon un permis de bâtir de 1862 et
des plans de l’architecte D. Peeters, toutes deux en remplacement d’un bâtiment
d’un niveau : aux nos 32, 34, ancienne écurie avec mur de clôture
attenant; nos 33 et 35 conçus en même temps que le monumental
immeuble à l’angle des rues Neuve, n° 45 et Saint-Michel, n° 29-31.
Façades enduites de trois niveaux de hauteur dégressive et chacune trois travées; rez-de-chaussée d’origine à refendsLe refend est un canal dans un parement, accusant ou simulant le tracé de joints d'un appareil à bossages. transformé aux nos 33, 35. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires ou surbaissées à encadrement mouluré, appuis saillants, balcons axiaux à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion. au bel étage, entablements «classiques» continus. Aux nos 33, 35, balconnets axiaux au dernier étage, cordonsCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. d’appui et six lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. rectangulaires ; aux nos32 et 34, allègesPartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. panneautées.
Façades enduites de trois niveaux de hauteur dégressive et chacune trois travées; rez-de-chaussée d’origine à refendsLe refend est un canal dans un parement, accusant ou simulant le tracé de joints d'un appareil à bossages. transformé aux nos 33, 35. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires ou surbaissées à encadrement mouluré, appuis saillants, balcons axiaux à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion. au bel étage, entablements «classiques» continus. Aux nos 33, 35, balconnets axiaux au dernier étage, cordonsCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. d’appui et six lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. rectangulaires ; aux nos32 et 34, allègesPartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. panneautées.
Sources
Archives
AVB/TP 21750 et 17600 (1862).