Ecole Communale N°3 / Institut De Mot-Couvreur
Place du Nouveau Marché aux Grains 24-25
Typologie(s)
hôtel particulier
établissement scolaire
établissement scolaire
Intervenant(s)
INCONNU - ONBEKEND – 1787-1788
Pierre Victor JAMAER – architecte – 1881
Styles
Néoclassicisme
Inventaire(s)
- Inventaire d'urgence du patrimoine architectural de l'agglomération bruxelloise (Sint-Lukasarchief 1979)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
- Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique La signature d’un bien immeuble (bâtiment) par un architecte de renom ne peut pas être considérée comme un critère absolu. Pour évaluer la place qu’un bien occupe dans l’œuvre d’un architecte, ce critère doit être modulé avec la qualité architecturale (composition et structure interne) du bien, sa mise en œuvre (matériaux, maîtrise technique) et la place qu’il occupe dans l’histoire de l’architecture, ces trois éléments pouvant témoigner d’une phase ou d’un aspect de l’architecture urbaine ou paysagère du passé. Les critères suivants s’appliquent alors pour évaluer l’intérêt artistique : la rareté (typologie, style, utilisation des matériaux, sources), la représentativité (idem) et l’intégrité (idem + qualité d’exécution).
- Esthétique Le bien possède un intérêt esthétique s’il stimule les sens de l’observateur de manière positive (l’expérience de la beauté). Historiquement, cette valeur était utilisée pour désigner des zones naturelles ou semi-naturelles de grande valeur, mais elle peut également s’appliquer à de grands ensembles de bâtiments dans une zone urbaine, avec ou sans éléments naturels, ou à des monuments qui marquent le paysage urbain. D’autres intérêts sont automatiquement pris en considération, l’artistique en premier lieu, mais aussi le paysager (intégration de l’œuvre dans le paysage urbain, points de repère dans la ville) et l’urbanistique (ensembles urbains spontanés ou rationnels). Les critères de sélection suivants lui sont également associés : la représentativité, la valeur d’ensemble et la valeur contextuelle. Ces critères doivent être combinés avec d’autres critères (notamment artistiques).
- Historique Le bien présente un intérêt historique s’il témoigne d’une période particulière de l’histoire de la région ou de la commune, s’il représente un témoignage d’une période particulière du passé et/ou d’une évolution rare pour une période (par exemple, une cité-jardin représentative d’un mode de construction utilisé lors des grandes campagnes d’urbanisation après la Seconde Guerre mondiale, les noyaux villageois illustrant les premiers bâtiments groupés des communes de la Seconde couronne, la Porte de Hal comme vestige de la deuxième enceinte, etc.), s’il témoigne d’un développement urbain (et/ou paysager) particulier de la ville (par exemple, les immeubles des boulevards centraux ou du quartier Léopold), s’il présente un lien avec un personnage historique important, y compris les maisons personnelles d’architectes et les ateliers d’artistes (par exemple, la maison natale de Constantin Meunier, la maison de Magritte), s’il peut être associé à un événement historique important (par exemple, les maisons datant de la reconstruction de Bruxelles suite au bombardement de 1695, la colonne du Congrès), ou s’il possède une représentativité typologique caractéristique d’une activité commerciale ou culturelle (par exemple, les églises, les cinémas, l’architecture industrielle, les pharmacies).
- Paysager Un paysage est une zone, telle que perçue par l’homme, dont le caractère est le résultat de l’action et de l’interaction de facteurs naturels et/ou humains. Il s’agit d’une notion d’échelle qui est composée de divers éléments (patrimoniaux), pouvant avoir ou non une valeur intrinsèque propre, mais formant un ensemble plus vaste de valeur ajoutée, et qui est également perçue comme telle à une certaine distance. Les vastes panoramas urbains constituent le paysage par excellence, comme la vue sur la ville basse de Bruxelles depuis la place Royale, mais de tels paysages composés de différents éléments peuvent également se former à plus petite échelle.
- Urbanistique Certains biens architecturaux ont joué un rôle prépondérant dans la planification urbaine par le passé. Ils suivent généralement d’autres formes (plans) urbanistiques, entraînant une interaction entre les espaces bâtis et non bâtis (ou ouverts). Cet aménagement comprend également la cohérence entre les différents niveaux d’échelle. Un bien immobilier possède un intérêt urbanistique lorsqu’il joue un rôle dans ce domaine. En voici quelques exemples : les bâtiments d’angle, les places ou les enfilades d’immeubles présentant une certaine cohérence, les tours (immeubles de grande hauteur) habilement implantées et leur relation avec leur environnement qualitatif immédiat, qui peut être cohérent mais aussi contrasté, ainsi que les vestiges de concepts urbanistiques et la manière dont ils sont ou ont été remplis architecturalement (et typologiquement), comme les palais urbains et/ou les maisons de maître éclectiques encore préservés dans le quartier Léopold.
Recherches et rédaction
2016
id
Urban : 32832
Description
Remarquable hôtel de maître néo-classique
construit pour C.F. Mosselman vers 1787-1788.
Acheté par la Ville en 1879, devient
l’École Communale N° 3 puis act. Institut De Mot-Couvreur.
Ancien hôtel particulier de trois niveaux sur caves hautesSous-sol à demi enterré, surélevant le rez-de-chaussée. et six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. dont une en retour; bâtièreToit à deux versants. d’ardoises. Plan original en L, dont l’aile Ouest formait probablement une partie indépendante. Façade monumentale enduite et peinte, au-dessus d’un rez-de-chaussée en grèsTerre cuite de texture serrée, légèrement vitrifiée, glaçurée ou non. Le grès désigne également une famille de pierres composées de silice.. RessautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. central de trois travées couronné par un attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement. nu sur lequel se détache un fronton triangulaire profilé, percé d’un oculusJour de forme circulaire, ovale ou polygonale. entre des panneaux en creux. Au bel étage, balcon continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées. sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. doubles à feuilles d’acanthe, rosette et guirlande pendante, dont l’austère garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... est en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion.; au dernier étage, panneaux d’allège à guirlandeLa guirlande est un décor figurant un cordon de fleurs, feuilles ou fruits.. Dans les travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. latérales et en retour, rez-de-chaussée souligné par un larmierMouluration horizontale qui présente un canal creusé dans sa partie inférieure, servant à décrocher les gouttes d’eau afin d’éviter leur ruissellement sur la façade. Le larmier isolé possède un chanfrein comme moulure supérieure. Le larmier constitue l'un des éléments de la corniche. et des refendsLe refend est un canal dans un parement, accusant ou simulant le tracé de joints d'un appareil à bossages., rayonnant autour des larges arcadesBaie aveugle ou non, coiffée d'un arc, souvent en répétition et allant jusqu’au sol. cintrées, à impostesUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie. et clé en pointe de diamantBossage comptant plusieurs facettes, comme la pointe d’un diamant.; portes cochères dans le retour et à droite, fenêtre cintrée dans la deuxième travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. Étages creusés de niches plates rectangulaires et couronnées d’œils-de-bœuf, avec rosettes et larmierMouluration horizontale qui présente un canal creusé dans sa partie inférieure, servant à décrocher les gouttes d’eau afin d’éviter leur ruissellement sur la façade. Le larmier isolé possède un chanfrein comme moulure supérieure. Le larmier constitue l'un des éléments de la corniche. à extrémités droites. Fenêtres rectangulaires inscrites, celles du rez-de-chaussée légèrement profilées et surmontées d’un panneau; au dernier étage, plus bas, fenêtres presque carrées, sur appuiAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. saillant et allège panneautée. ArchitraveMoulure inférieure de l’entablement, située sous la frise. à fasces, friseBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. de cache-boulins et corniche. Au centre de la toiture Sud, lourde tour-lanterne de plan carré, à pans coupésPan de mur situé de biais sur l’angle d’un bâtiment.. Tambour pourvu, du côté de la place, de trois fenêtres inscrites et de panneaux en creux aux angles; entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. «classique». Dans le toit mansardé, couvert d’ardoises : lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. centrales cintrées, lanternonPetite construction de plan centré, située au faîte du toit. octogonal sommé d’une girouette en forme de trois-mâts, qui porte les initiales «C.F.M.» du maître d’œuvre. MenuiseriesÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC. des fenêtres d’origine, comme celles des portes à cartouche feuillagé, dont la baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. d’imposte s’orne d’un éventail en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion., à palmettes et méandres. Intérieur en grande partie modifié.
Occupant les trois côtés d’une cour de récréation arborée, bâtiments scolaires annexes construits en 1884-1888 à la place d’anciennes dépendances, d’après les plans dessinés en 1881-1884 par l’architecte de la Ville P.V. Jamaer (voir rue du Rempart des Moines, n° 86). Attenant à l’hôtel de maître, vaste préau couvert et vitré à ferme et escalier métallique. Abritant les classes, aile de trois niveaux, coudée et allongée. Sobre construction en briques, pierre blanche et pierre bleue divisée en travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. groupées et soulignée par des cordons. Rez-de-chaussée formant une loggiaPetite pièce dans-œuvre, largement ouverte sur l’extérieur par une ou plusieurs larges baies non closes par des menuiseries. ouverte à linteau métalliquePoutrelle métallique de profil en I, utilisée comme linteau, souvent agrémentée de rosettes en tôle découpée. en i sur colonnes engagées. Étages à grandes fenêtres surbaissées. Corniche sur modillons.
Ancien hôtel particulier de trois niveaux sur caves hautesSous-sol à demi enterré, surélevant le rez-de-chaussée. et six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. dont une en retour; bâtièreToit à deux versants. d’ardoises. Plan original en L, dont l’aile Ouest formait probablement une partie indépendante. Façade monumentale enduite et peinte, au-dessus d’un rez-de-chaussée en grèsTerre cuite de texture serrée, légèrement vitrifiée, glaçurée ou non. Le grès désigne également une famille de pierres composées de silice.. RessautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. central de trois travées couronné par un attiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement. nu sur lequel se détache un fronton triangulaire profilé, percé d’un oculusJour de forme circulaire, ovale ou polygonale. entre des panneaux en creux. Au bel étage, balcon continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées. sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. doubles à feuilles d’acanthe, rosette et guirlande pendante, dont l’austère garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... est en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion.; au dernier étage, panneaux d’allège à guirlandeLa guirlande est un décor figurant un cordon de fleurs, feuilles ou fruits.. Dans les travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. latérales et en retour, rez-de-chaussée souligné par un larmierMouluration horizontale qui présente un canal creusé dans sa partie inférieure, servant à décrocher les gouttes d’eau afin d’éviter leur ruissellement sur la façade. Le larmier isolé possède un chanfrein comme moulure supérieure. Le larmier constitue l'un des éléments de la corniche. et des refendsLe refend est un canal dans un parement, accusant ou simulant le tracé de joints d'un appareil à bossages., rayonnant autour des larges arcadesBaie aveugle ou non, coiffée d'un arc, souvent en répétition et allant jusqu’au sol. cintrées, à impostesUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie. et clé en pointe de diamantBossage comptant plusieurs facettes, comme la pointe d’un diamant.; portes cochères dans le retour et à droite, fenêtre cintrée dans la deuxième travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. Étages creusés de niches plates rectangulaires et couronnées d’œils-de-bœuf, avec rosettes et larmierMouluration horizontale qui présente un canal creusé dans sa partie inférieure, servant à décrocher les gouttes d’eau afin d’éviter leur ruissellement sur la façade. Le larmier isolé possède un chanfrein comme moulure supérieure. Le larmier constitue l'un des éléments de la corniche. à extrémités droites. Fenêtres rectangulaires inscrites, celles du rez-de-chaussée légèrement profilées et surmontées d’un panneau; au dernier étage, plus bas, fenêtres presque carrées, sur appuiAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. saillant et allège panneautée. ArchitraveMoulure inférieure de l’entablement, située sous la frise. à fasces, friseBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. de cache-boulins et corniche. Au centre de la toiture Sud, lourde tour-lanterne de plan carré, à pans coupésPan de mur situé de biais sur l’angle d’un bâtiment.. Tambour pourvu, du côté de la place, de trois fenêtres inscrites et de panneaux en creux aux angles; entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. «classique». Dans le toit mansardé, couvert d’ardoises : lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. centrales cintrées, lanternonPetite construction de plan centré, située au faîte du toit. octogonal sommé d’une girouette en forme de trois-mâts, qui porte les initiales «C.F.M.» du maître d’œuvre. MenuiseriesÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC. des fenêtres d’origine, comme celles des portes à cartouche feuillagé, dont la baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. d’imposte s’orne d’un éventail en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion., à palmettes et méandres. Intérieur en grande partie modifié.
Occupant les trois côtés d’une cour de récréation arborée, bâtiments scolaires annexes construits en 1884-1888 à la place d’anciennes dépendances, d’après les plans dessinés en 1881-1884 par l’architecte de la Ville P.V. Jamaer (voir rue du Rempart des Moines, n° 86). Attenant à l’hôtel de maître, vaste préau couvert et vitré à ferme et escalier métallique. Abritant les classes, aile de trois niveaux, coudée et allongée. Sobre construction en briques, pierre blanche et pierre bleue divisée en travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. groupées et soulignée par des cordons. Rez-de-chaussée formant une loggiaPetite pièce dans-œuvre, largement ouverte sur l’extérieur par une ou plusieurs larges baies non closes par des menuiseries. ouverte à linteau métalliquePoutrelle métallique de profil en I, utilisée comme linteau, souvent agrémentée de rosettes en tôle découpée. en i sur colonnes engagées. Étages à grandes fenêtres surbaissées. Corniche sur modillons.
Sources
Archives
AVB/AA rep. 1480 (1884) ; rep. 1617, 1639 et 1709 (1885); rep. 1758, 1770 et 1863 (1886); rep. 1987-1988 et 2054-2056 (1887); N.P.P., R 4.