Typologie(s)

maison unifamiliale ou de rapport (indéterminé)
musée

Intervenant(s)

INCONNU - ONBEKEND1600-1699

Pierre WINCQZTailleur de pierre1675

Richard VANDENDAELEarchitecte1973-1974

Jacques MOESCHALsculpteur1973-1974

Statut juridique

Inscrit à l’inventaire légal le 19 août 2024

Styles

Architecture traditionnelle

Inventaire(s)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

Recherches et rédaction

2016

id

Urban : 31857
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Description

Actuellement, ensemble de deux maisons perpendiculaire sous bâtièresToit à deux versants. d’ardoises.

À
gauche, façade sous pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc. inégal à gradins; à droite, façade sous pignon à quatre gradins et consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. renversées. Restauration en style traditionnel, sur base de traces de l’ordonnance initiale, réalisée sur les plans de 1973-1974 des architectes R. Vandendaele et J. Moeschal. Emploi de grèsTerre cuite de texture serrée, légèrement vitrifiée, glaçurée ou non. Le grès désigne également une famille de pierres composées de silice. pour le soubassement, les fragments des montants creusés en cavet, les bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. de décharge clavés et les bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. décoratifs; nouveaux éléments en pierre blanche.
Jadis, au n°4, d’après d’anciennes vues et l’élévation, maison en large à façade sous corniche enduite : trois niveaux et trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.; fenêtres rectangulaires, presque carrées au dernier étage, plus bas; petite porte baroque dans la troisième travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. (actuellement aux nos 6-8.).

Aux nos 6-8, façade — jadis enduite — remontant au XVIIe siècle, juxtaposant une façade sous corniche d’une travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. et une façade-pignon de quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. Ordonnance d’origine aux étages. Dans la première travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., petite porte baroque de la deuxième moitié du XVIIe siècle (provenant du n°4), avec marque du tailleur de pierre P. Wincqz (1635-1728, Feluy): encadrement en pierre bleue à bossages, avec soclesMassif surélevant un support ou une statue., impostesUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie. et clé en volute, sous larmierMouluration horizontale qui présente un canal creusé dans sa partie inférieure, servant à décrocher les gouttes d’eau afin d’éviter leur ruissellement sur la façade. Le larmier isolé possède un chanfrein comme moulure supérieure. Le larmier constitue l'un des éléments de la corniche. courbe aux extrémités étirées et piquées d’une sphère.

Sources

Archives
AVB/TP 82002 et 84857 (1973-1974).

Sites internet
BALat KIK-IRPA
4: BALat KIK-IRPA (porte d'entrée)
Collections.heritage.brussels (Musée Mode & Dentelle)