Typologie(s)

maison bourgeoise

Intervenant(s)

INCONNU - ONBEKEND1713

R. LEMAIRE1972-1973

R. DEVROYEarchitecte1972-1973

Statut juridique

Inscrit à l’inventaire légal le 19 août 2024

Styles

Architecture traditionnelle

Inventaire(s)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

Recherches et rédaction

2016

id

Urban : 30174
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Description

Maison traditionnelle perpendiculaire, de trois niveaux et deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous bâtièreToit à deux versants. de tuiles.

Façade-pignon à gradins et volutesOrnement enroulé en spirale que l’on trouve notamment sur les chapiteaux ioniques, les consoles, les ailerons, etc., en briques, en partie renouvelée, datée 1713 sur une pierre à l’allège du deuxième étage. Importante rénovation en 1972- 1973 d’après les plans des architectes R. Devroye et R. Lemaire.

Découpage en registresAlignement horizontal de baies sur un pignon. grâce aux bandeaux-larmiers des appuisAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. et linteauxÉlément rectiligne d’un seul tenant, en pierre, bois, béton ou métal, couvrant une baie.; ancres droites. Fenêtres à croiséeBaie à croisée. Baie divisée par des meneau(x) et traverse(s) se croisant à angle droit. reconstituée au Premier étage, à meneau restitué au deuxième, à montants chaînés creusés en cavet; bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. prolongeant traverses, appuisAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. et linteauxÉlément rectiligne d’un seul tenant, en pierre, bois, béton ou métal, couvrant une baie.. PignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc. en deux registresAlignement horizontal de baies sur un pignon. couronnés par un fronton triangulaire : l’inférieur à gradins ajouré d’une haute baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. cintrée à clé sur impostesUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie. flanquée de deux oculiJour de forme circulaire, ovale ou polygonale.; au-dessus du larmierMouluration horizontale qui présente un canal creusé dans sa partie inférieure, servant à décrocher les gouttes d’eau afin d’éviter leur ruissellement sur la façade. Le larmier isolé possède un chanfrein comme moulure supérieure. Le larmier constitue l'un des éléments de la corniche. suivant le profil cintré de la baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement., deuxième registreAlignement horizontal de baies sur un pignon. à voluteOrnement enroulé en spirale que l’on trouve notamment sur les chapiteaux ioniques, les consoles, les ailerons, etc. de part et d’autre, à trou de boulin axial, sous le frontonCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches. à rampants profilés. Rez-de-chaussée reconstruit à plusieurs reprises, jusqu’en 1852 pourvu d’une porte à encadrement Louis XV à droite.

Sources

Archives
AVB/TP 11890 (1852), 86055 (1972-1973).
IRPA, cliché A.C.L. 179/45.

Périodiques
A Plus, 1979, 56, pp. 10-11.