Typologie(s)
maison bourgeoise
rez-de-chaussée commercial
rez-de-chaussée commercial
Intervenant(s)
Paul HAMESSE – architecte – 1906-1912
Styles
Art nouveau
Inventaire(s)
- Inventaire d'urgence du patrimoine architectural de l'agglomération bruxelloise (Sint-Lukasarchief 1979)
- Actualisation de l'inventaire d'urgence (Sint-Lukasarchief - 1993-1994)
- Inventaire légal du quartier Léopold (DMS-DML - 1995)
- Le patrimoine monumental de la Belgique. Ixelles (DMS-DML - 2005-2015)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique La signature d’un bien immeuble (bâtiment) par un architecte de renom ne peut pas être considérée comme un critère absolu. Pour évaluer la place qu’un bien occupe dans l’œuvre d’un architecte, ce critère doit être modulé avec la qualité architecturale (composition et structure interne) du bien, sa mise en œuvre (matériaux, maîtrise technique) et la place qu’il occupe dans l’histoire de l’architecture, ces trois éléments pouvant témoigner d’une phase ou d’un aspect de l’architecture urbaine ou paysagère du passé. Les critères suivants s’appliquent alors pour évaluer l’intérêt artistique : la rareté (typologie, style, utilisation des matériaux, sources), la représentativité (idem) et l’intégrité (idem + qualité d’exécution).
- Esthétique Le bien possède un intérêt esthétique s’il stimule les sens de l’observateur de manière positive (l’expérience de la beauté). Historiquement, cette valeur était utilisée pour désigner des zones naturelles ou semi-naturelles de grande valeur, mais elle peut également s’appliquer à de grands ensembles de bâtiments dans une zone urbaine, avec ou sans éléments naturels, ou à des monuments qui marquent le paysage urbain. D’autres intérêts sont automatiquement pris en considération, l’artistique en premier lieu, mais aussi le paysager (intégration de l’œuvre dans le paysage urbain, points de repère dans la ville) et l’urbanistique (ensembles urbains spontanés ou rationnels). Les critères de sélection suivants lui sont également associés : la représentativité, la valeur d’ensemble et la valeur contextuelle. Ces critères doivent être combinés avec d’autres critères (notamment artistiques).
- Historique Le bien présente un intérêt historique s’il témoigne d’une période particulière de l’histoire de la région ou de la commune, s’il représente un témoignage d’une période particulière du passé et/ou d’une évolution rare pour une période (par exemple, une cité-jardin représentative d’un mode de construction utilisé lors des grandes campagnes d’urbanisation après la Seconde Guerre mondiale, les noyaux villageois illustrant les premiers bâtiments groupés des communes de la Seconde couronne, la Porte de Hal comme vestige de la deuxième enceinte, etc.), s’il témoigne d’un développement urbain (et/ou paysager) particulier de la ville (par exemple, les immeubles des boulevards centraux ou du quartier Léopold), s’il présente un lien avec un personnage historique important, y compris les maisons personnelles d’architectes et les ateliers d’artistes (par exemple, la maison natale de Constantin Meunier, la maison de Magritte), s’il peut être associé à un événement historique important (par exemple, les maisons datant de la reconstruction de Bruxelles suite au bombardement de 1695, la colonne du Congrès), ou s’il possède une représentativité typologique caractéristique d’une activité commerciale ou culturelle (par exemple, les églises, les cinémas, l’architecture industrielle, les pharmacies).
- Urbanistique Certains biens architecturaux ont joué un rôle prépondérant dans la planification urbaine par le passé. Ils suivent généralement d’autres formes (plans) urbanistiques, entraînant une interaction entre les espaces bâtis et non bâtis (ou ouverts). Cet aménagement comprend également la cohérence entre les différents niveaux d’échelle. Un bien immobilier possède un intérêt urbanistique lorsqu’il joue un rôle dans ce domaine. En voici quelques exemples : les bâtiments d’angle, les places ou les enfilades d’immeubles présentant une certaine cohérence, les tours (immeubles de grande hauteur) habilement implantées et leur relation avec leur environnement qualitatif immédiat, qui peut être cohérent mais aussi contrasté, ainsi que les vestiges de concepts urbanistiques et la manière dont ils sont ou ont été remplis architecturalement (et typologiquement), comme les palais urbains et/ou les maisons de maître éclectiques encore préservés dans le quartier Léopold.
Recherches et rédaction
2007-2009
id
Urban : 18723
Description
Complexe de style Art nouveauStyle Art nouveau (de 1893 à 1914 environ). Mouvement international, avec de fortes variantes locales, né en réaction aux styles « néo ». En Belgique, ce courant connaît deux tendances : d’un côté, sous l’égide de Victor Horta, l'Art nouveau « floral », aux lignes organiques ; de l’autre, l'Art nouveau géométrique, influencé par l'art de Paul Hankar ou la Sécession viennoise. marqué par la Sécession viennoiseEntre 1897 et 1914 environ, la Sécession viennoise est la tendance autrichienne de l’Art nouveau géométrique., composé d'une maison d'habitation, d'une galerie, d'anciens magasins et de bureaux, et résultant de la transformation d'une maison existante, en 1906 puis en 1912, par l'architecte Paul Hamesse, qui signe l'un des piliersSupport vertical de plan carré. de l'entrée.
Ces transformations ont été réalisées à la demande du charbonnier et mécène E. Taymans, charbonnier qui avait fait fortune en commercialisant un nouveau système de poêle de son invention.
Le bâtiment à front de rue constituait l'habitation du charbonnier et de sa famille. Il s'agissait, à l'origine, d'un édifice de style éclectique, daté du XIXe siècle. Taymans le fit partiellement démolir, puis reconstruire par Hamesse, dans une esthétique Art nouveauStyle Art nouveau (de 1893 à 1914 environ). Mouvement international, avec de fortes variantes locales, né en réaction aux styles « néo ». En Belgique, ce courant connaît deux tendances : d’un côté, sous l’égide de Victor Horta, l'Art nouveau « floral », aux lignes organiques ; de l’autre, l'Art nouveau géométrique, influencé par l'art de Paul Hankar ou la Sécession viennoise. géométrisante, fidèle au travail de cet élève de Paul Hankar.ÉlévationDessin à l'échelle d'une des faces verticales d’un édifice. Par extension, façade d'un bâtiment ou ensemble de ses façades. de trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. côté rue, quatre côté cour sur trois niveaux. SoubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en pierre bleue, le reste de la façade paré de plaquettes, celles du deuxième étage et de la tourellePetite tour engagée dans un bâtiment, généralement sur un de ses angles. sont multicolores (jaunes, prune et vertes), celles des deux premiers niveaux ont été remplacées ultérieurement. TourellePetite tour engagée dans un bâtiment, généralement sur un de ses angles. d'angle de plan carré abritant une loggiaPetite pièce dans-œuvre, largement ouverte sur l’extérieur par une ou plusieurs larges baies non closes par des menuiseries. à son dernier niveau. Toiture mansardée percée de cinq lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres.. Barres d'appuiPetit garde-corps de faible hauteur et non saillant, compris dans l’embrasure d’une fenêtre. en ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux. au deuxième étage. FriseBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. de céramique entre le premier et le deuxième étage alternant des motifs de couronnes végétales et des lampes de mineur (rappelant l'origine de la fortune du propriétaire). PilierSupport vertical de plan carré. d'angle de la tourellePetite tour engagée dans un bâtiment, généralement sur un de ses angles. présentant des décors Art nouveauStyle Art nouveau (de 1893 à 1914 environ). Mouvement international, avec de fortes variantes locales, né en réaction aux styles « néo ». En Belgique, ce courant connaît deux tendances : d’un côté, sous l’égide de Victor Horta, l'Art nouveau « floral », aux lignes organiques ; de l’autre, l'Art nouveau géométrique, influencé par l'art de Paul Hankar ou la Sécession viennoise. géométriques. Le parementRevêtement de la face extérieure d’un mur. des deux premiers niveaux remplaça vers 1940 l'enduitL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc. peint d'origine. MenuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC. et ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux. d'origine. On relève de beaux détails décoratifs, comme la poignée de porte-boîte aux lettres.
Le bâtiment arrière, au fond de la cour, abritait les magasins et les bureaux du charbonnier.
Élévation de trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sur deux niveaux revêtue d'un parementRevêtement de la face extérieure d’un mur. analogue à celui de la maison d'habitation. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. sous linteau métalliquePoutrelle métallique de profil en I, utilisée comme linteau, souvent agrémentée de rosettes en tôle découpée.. Travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. cantonnées par des pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. interrompant la corniche saillante et sculptés de motifs géométriques.
Ces deux bâtiments relèvent d'une première phase de transformations réalisée en 1906.
L'accès du bâtiment arrière se fait par une grande galerie vitrée, perpendiculaire à la rue, bâtie en 1912 par Paul Hamesse. C'est là que le charbonnier exposait les appareilsOuvrage constitué de pierres plus ou moins taillées ou de briques. de chauffage de son invention.
Elle se caractérise par une structure de verre et de fer, venant s'agrafer dans un soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en pierre bleue taillée. Au-dessus des fines poutrelles métalliques intérieures, la toiture de la galerie, aujourd'hui en matériau dur, était à l'origine entièrement vitrée et transparente, à la manière d'une serreBâtiment indépendant, à parois translucides, où l’on abrite les plantes l’hiver et cultive des végétaux sensibles au froid. Contrairement au jardin d’hiver, la serre ne constitue pas une pièce de vie..
La porte d'entrée vitrée de la galerie –un ajout non daté– est encadrée par deux massifs piliersSupport vertical de plan carré. de pierre bleue à bossages rustiques, avec socleMassif surélevant un support ou une statue. et terminaisons sculptés de motifs géométrisants. Elle est protégée par une grille de fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage. et surmontée d'un tympanEspace, décoré ou non, circonscrit par un fronton ou un arc de décharge., orné d'un bas-relief en pierre bleue, dû au sculpteur Victor Rousseau et représentant «le Feu».
La cour est clôturée par un bel ensemble, formé par une grille de fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage. à motifs géométrisants, agrafée aux piliersSupport vertical de plan carré. latéraux, qui, en partie inférieure, s'évasent en arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. de cercle pour former des murets.
Classement 14.03.1996
Ces transformations ont été réalisées à la demande du charbonnier et mécène E. Taymans, charbonnier qui avait fait fortune en commercialisant un nouveau système de poêle de son invention.
Le bâtiment à front de rue constituait l'habitation du charbonnier et de sa famille. Il s'agissait, à l'origine, d'un édifice de style éclectique, daté du XIXe siècle. Taymans le fit partiellement démolir, puis reconstruire par Hamesse, dans une esthétique Art nouveauStyle Art nouveau (de 1893 à 1914 environ). Mouvement international, avec de fortes variantes locales, né en réaction aux styles « néo ». En Belgique, ce courant connaît deux tendances : d’un côté, sous l’égide de Victor Horta, l'Art nouveau « floral », aux lignes organiques ; de l’autre, l'Art nouveau géométrique, influencé par l'art de Paul Hankar ou la Sécession viennoise. géométrisante, fidèle au travail de cet élève de Paul Hankar.ÉlévationDessin à l'échelle d'une des faces verticales d’un édifice. Par extension, façade d'un bâtiment ou ensemble de ses façades. de trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. côté rue, quatre côté cour sur trois niveaux. SoubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en pierre bleue, le reste de la façade paré de plaquettes, celles du deuxième étage et de la tourellePetite tour engagée dans un bâtiment, généralement sur un de ses angles. sont multicolores (jaunes, prune et vertes), celles des deux premiers niveaux ont été remplacées ultérieurement. TourellePetite tour engagée dans un bâtiment, généralement sur un de ses angles. d'angle de plan carré abritant une loggiaPetite pièce dans-œuvre, largement ouverte sur l’extérieur par une ou plusieurs larges baies non closes par des menuiseries. à son dernier niveau. Toiture mansardée percée de cinq lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres.. Barres d'appuiPetit garde-corps de faible hauteur et non saillant, compris dans l’embrasure d’une fenêtre. en ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux. au deuxième étage. FriseBande horizontale, décorée ou non, située au milieu de l’entablement. Par extension, suite d’ornements en bande horizontale. de céramique entre le premier et le deuxième étage alternant des motifs de couronnes végétales et des lampes de mineur (rappelant l'origine de la fortune du propriétaire). PilierSupport vertical de plan carré. d'angle de la tourellePetite tour engagée dans un bâtiment, généralement sur un de ses angles. présentant des décors Art nouveauStyle Art nouveau (de 1893 à 1914 environ). Mouvement international, avec de fortes variantes locales, né en réaction aux styles « néo ». En Belgique, ce courant connaît deux tendances : d’un côté, sous l’égide de Victor Horta, l'Art nouveau « floral », aux lignes organiques ; de l’autre, l'Art nouveau géométrique, influencé par l'art de Paul Hankar ou la Sécession viennoise. géométriques. Le parementRevêtement de la face extérieure d’un mur. des deux premiers niveaux remplaça vers 1940 l'enduitL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc. peint d'origine. MenuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC. et ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux. d'origine. On relève de beaux détails décoratifs, comme la poignée de porte-boîte aux lettres.
Le bâtiment arrière, au fond de la cour, abritait les magasins et les bureaux du charbonnier.
Élévation de trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sur deux niveaux revêtue d'un parementRevêtement de la face extérieure d’un mur. analogue à celui de la maison d'habitation. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. sous linteau métalliquePoutrelle métallique de profil en I, utilisée comme linteau, souvent agrémentée de rosettes en tôle découpée.. Travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. cantonnées par des pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. interrompant la corniche saillante et sculptés de motifs géométriques.
Ces deux bâtiments relèvent d'une première phase de transformations réalisée en 1906.
L'accès du bâtiment arrière se fait par une grande galerie vitrée, perpendiculaire à la rue, bâtie en 1912 par Paul Hamesse. C'est là que le charbonnier exposait les appareilsOuvrage constitué de pierres plus ou moins taillées ou de briques. de chauffage de son invention.
Elle se caractérise par une structure de verre et de fer, venant s'agrafer dans un soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. en pierre bleue taillée. Au-dessus des fines poutrelles métalliques intérieures, la toiture de la galerie, aujourd'hui en matériau dur, était à l'origine entièrement vitrée et transparente, à la manière d'une serreBâtiment indépendant, à parois translucides, où l’on abrite les plantes l’hiver et cultive des végétaux sensibles au froid. Contrairement au jardin d’hiver, la serre ne constitue pas une pièce de vie..
La porte d'entrée vitrée de la galerie –un ajout non daté– est encadrée par deux massifs piliersSupport vertical de plan carré. de pierre bleue à bossages rustiques, avec socleMassif surélevant un support ou une statue. et terminaisons sculptés de motifs géométrisants. Elle est protégée par une grille de fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage. et surmontée d'un tympanEspace, décoré ou non, circonscrit par un fronton ou un arc de décharge., orné d'un bas-relief en pierre bleue, dû au sculpteur Victor Rousseau et représentant «le Feu».
La cour est clôturée par un bel ensemble, formé par une grille de fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage. à motifs géométrisants, agrafée aux piliersSupport vertical de plan carré. latéraux, qui, en partie inférieure, s'évasent en arcStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. de cercle pour former des murets.
Classement 14.03.1996
Sources
Archives
ACI/Urb. 64-6-6a.
Ouvrages
BOVY, Ph., Vers l'Ermitage, Commune d'Ixelles, Bruxelles, 2002 (À la découverte de l'histoire d'Ixelles, 9), pp.18-20.
Monument et sites protégés, éd. Mardaga, Région de Bruxelles-Capitale, 1999, p.110.
Périodiques
«Maison située rue des Champs-Elysées, Entrée des bureaux, Architecte MM. Hamesse», Vers l'Art, 10, 1908, pl.58.
Sites internet
Bruxelles, ville d'architectes - Paul Hamesse