Typologie(s)

immeuble à appartements

Intervenant(s)

J. CUVELIERingénieur-architecte1930

Styles

Modernisme

Inventaire(s)

  • Le patrimoine monumental de la Belgique. Ixelles (DMS-DML - 2005-2015)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique
  • Urbanistique

Recherches et rédaction

2005-2007

id

Urban : 16723
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Description

Situé à l'angle formé par les rues Jules Lejeune, Jean-Baptiste Colyns et la place Charles Graux, immeuble à appartements de style moderniste, conçu par et pour l'ingénieur J. Cuvelier, millésimé « Anno 1930 » sur un cartoucheDécor composé d’une table plane ou bombée, aux contours généralement sinueux, bordée d’un décor sculpté et/ou d’une mouluration, et sur laquelle prend parfois place un blason ou une inscription. Le médaillon est un cartouche rond ou ovale. orné d'un visage féminin au-dessus de l'entrée vers la rue J. Lejeune.

Rue Jules Lejeune 1, élévation vers cette rue, ACI/Urb. 183-1 (1930).

L'immeuble de sept niveaux compte six travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. rue J. Lejeune, et cinq rue J.-B. Colyns. Vers la place Ch. Graux, deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. occupent chacune un angle du bâtiment. Étages couverts d'un crépiLe crépi est un enduit non lissé de plâtre ou de mortier. Il est rugueux, ce qui le distingue des autres enduits. de couleur claire, sauf le dernier, en briques grises et fausses ardoises. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires. MenuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC. en partie conservée.
Vers la rue J. Lejeune, travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d'entrée rehaussée d'un d'oriel de plan courbe percé à chaque étage de quatre fenêtres géminées ; l'assiseRang d’éléments de même hauteur posés de niveau dans une maçonnerie. L’assise désigne également la plate-forme d’un balcon ou d'une logette, portée d’ordinaire par des consoles et sur laquelle repose le garde-corps. de cet oriel sert d'auventPetit toit couvrant un espace devant une porte ou une vitrine. au porche d'entrée. De part et d'autre de cette travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., oriel rectangulaire montant de fond, prolongé symétriquement par des balcons à parapetUn parapet en maçonnerie est un muret servant de garde-corps..
Vers la rue J.-B. Colyns, deux oriels, l'un d'une, l'autre de deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. Portes de garage.

Sources

Archives
ACI/Urb. 183-1.