Typologie(s)
rez-de-chaussée commercial
Intervenant(s)
INCONNU - ONBEKEND – 1890
Styles
Recherches et rédaction
id
Description
Vaste bâtiment d'angle d'esprit néoclassique, composé à l'origine de deux habitations, 1890.
Il présente trois façades de trois niveaux. La façade principale, vers la place, compte quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. ; les façades latérales, donnant resp. sur les r. Jourdan et de l'Hôtel des Monnaies, en comptent deux. R.d.ch. abritant deux commerces à l'origine, celui du no 11 transformé par la firme Delhaize Le Lion en 1936, puis réaménagé en taverne en 1972. Portes privées anc. en travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiales pl. Julien Dillens, seule celle de dr. donne encore act. accès aux étages. Aux étages, les travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. jouxtant les angles sont à refendsLe refend est un canal dans un parement, accusant ou simulant le tracé de joints d'un appareil à bossages. et en ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général., celles en façade principale étaient anc. précédées de balcons de saillie dégressive ; seuls ceux du 2e étage, à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion., subsistent. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. du 2e niveau sous entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne..
Sources
Archives
ACSG/Urb. 2479 (1890), 116 (1936), 1972-43 (1972).