Typologie(s)
établissement scolaire
Intervenant(s)
Louis COENRAETS – architecte – 1875
Alphonse BOELENS – architecte – 1901-1931
Styles
Néoclassicisme
Inventaire(s)
- Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
- Le patrimoine monumental de la Belgique. Ixelles (DMS-DML - 2005-2015)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
2007-2009
id
Urban : 19288
Description
Prenant place en intérieur d'îlot entre les rues du Président et Jean d'Ardenne, ancienne école communale n°3 de style néoclassique, architecte Louis Coenraets, 1875.
Elle fait partie d'une enfilade homogène de bâtiments néoclassiques, allant du n°36 au n°68.
Historique
Anciennement conçue comme école primaire pour 700 filles. Organisation des locaux autour d'un préau central référant à l'École Modèle située boulevard Maurice Lemonnier n°110 à Bruxelles (architecte Ernest Hendrickx, 1873). L'école fut ouverte en 1877. Façade principale surhaussée d'un niveau par l'architecte Alphonse Boelens, 1901. Le conseil communal du 26.12.1915 la rebaptisa École professionnelle Fernand Cocq. Du côté de la rue Jean d'Ardenne, l'école fut agrandie d'une aile en 1931, toujours en style néoclassique, par l'architecte communal Alphonse Boelens.
Description
Les façades avant et arrière sont toutes deux devancées d'une cour ceinte d'un mur. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. largement conservés.
Façade avant symétrique, de trois niveaux et de cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., celles dans l'axe et des extrémités en ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général.. Larges fenêtres cintrées, prises au rez-de-chaussée entre des pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. à bossages et au premier étage entre des lésènesLes lésènes sont des jambes saillantes en répétition sur un mur, réunies par un arc ou par une frise d’arceaux. Ce couronnement d’arc ou d’arceaux distingue la lésène du pilastre.. L'entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. fut surhaussé dans la seconde moitié du XXe siècle, faisant ainsi disparaître le frontonCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches. au-dessus de la travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d'entrée.
Elle fait partie d'une enfilade homogène de bâtiments néoclassiques, allant du n°36 au n°68.
Historique
Anciennement conçue comme école primaire pour 700 filles. Organisation des locaux autour d'un préau central référant à l'École Modèle située boulevard Maurice Lemonnier n°110 à Bruxelles (architecte Ernest Hendrickx, 1873). L'école fut ouverte en 1877. Façade principale surhaussée d'un niveau par l'architecte Alphonse Boelens, 1901. Le conseil communal du 26.12.1915 la rebaptisa École professionnelle Fernand Cocq. Du côté de la rue Jean d'Ardenne, l'école fut agrandie d'une aile en 1931, toujours en style néoclassique, par l'architecte communal Alphonse Boelens.
Description
Les façades avant et arrière sont toutes deux devancées d'une cour ceinte d'un mur. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. largement conservés.
Façade avant symétrique, de trois niveaux et de cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., celles dans l'axe et des extrémités en ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général.. Larges fenêtres cintrées, prises au rez-de-chaussée entre des pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. à bossages et au premier étage entre des lésènesLes lésènes sont des jambes saillantes en répétition sur un mur, réunies par un arc ou par une frise d’arceaux. Ce couronnement d’arc ou d’arceaux distingue la lésène du pilastre.. L'entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. fut surhaussé dans la seconde moitié du XXe siècle, faisant ainsi disparaître le frontonCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches. au-dessus de la travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d'entrée.
Façade arrière presque identique à la façade avant, avec maintien de la corniche originelle et du frontonCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches. au-dessus de la travée principaleTravée la plus large de l’élévation, marquée par un ressaut et une décoration plus abondante. Les façades de composition asymétrique comportent d'ordinaire une travée principale.. Mur de clôture conservé, avec entrée vers la travée principaleTravée la plus large de l’élévation, marquée par un ressaut et une décoration plus abondante. Les façades de composition asymétrique comportent d'ordinaire une travée principale.. Volume de quatre larges travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. plus trois ajoutées en 1931.
Sources
Archives
ACI/Urb. 254-54.
ACI/Urb. farde n°176.
Ouvrages
LR ROY, P., Monographie de la commune d'Ixelles, Imprimerie Générale, Bruxelles, 1885, p. 379.
ACI/Urb. 254-54.
ACI/Urb. farde n°176.
Ouvrages
LR ROY, P., Monographie de la commune d'Ixelles, Imprimerie Générale, Bruxelles, 1885, p. 379.