Typologie(s)

villa isolée

Intervenant(s)

Alexis VAN VAERENBERGHarchitecte1932

Léon GOVAERTSarchitecte1932

INCONNU - ONBEKEND1901

Ch. MARQUENIEarchitecte1931

Styles

Modernisme

Inventaire(s)

  • Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
  • Le patrimoine monumental de la Belgique. Etterbeek (DMS-DML - 1994-1997)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique
  • Urbanistique

Recherches et rédaction

1993-1995

id

Urban : 14818
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Description

Villa, à l'origine de style néo-Renaissance flamandeLe style Renaissance flamande (XVIe s.) mêle des éléments inspirés de la Renaissance italienne à l’héritage architectural médiéval local. Le style néo-Renaissance flamande (de 1860 à 1914 environ) cherche à ressusciter cette architecture, à la faveur de l’émergence du nationalisme belge. Il se caractérise par des élévations en briques et pierres et des formes caractéristiques (pignons, tourelles, logettes)., construite d'après une demande de permis de bâtir de 1901, transformée une lre fois, en 1931, par l'arch. Ch. MARQUENIE (partie g.), une 2e fois par les arch. GOVAERTS et VAN VAERENBERGH, en 1932, pour lui donner sa forme act., de style moderniste (signature sur le mur de clôture).

Façade principale, aux angles arrondis, en moellonsPierres grossièrement équarries mises en œuvre dans une maçonnerie. de grèsTerre cuite de texture serrée, légèrement vitrifiée, glaçurée ou non. Le grès désigne également une famille de pierres composées de silice. roux et enduitL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc. blanc de trois niveaux sous toiture en terrasse. R.d.ch. ajouré de fenêtres rect. basses et grillées et d'une porte partiellement vitrée inscrite dans un large encadrement en granitoMatériau composé de mortier et de pierres colorées concassées présentant, après polissage, l’aspect d’un granit. sous un auventPetit toit couvrant un espace devant une porte ou une vitrine. prolongé, à sa g., au-dessus de trois petites baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. percées dans la façade enduite. Au ler étage, cinq ouvertures rect. de différentes dimensions dont la dern., en bandeauÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade., occupe tout l'angle arrondi sous un auventPetit toit couvrant un espace devant une porte ou une vitrine.. Au dern. niveau, jeu de trois volumes ajourés de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rect. et disposés en retraits successifs pour laisser la place à une importante terrasse, partiellement recouverte d'une pergola. Garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... tubulaire. Deux garages disposés aux extrémités de la propriété donnaient accès, à l'origine, l'un au logement du concierge, l'autre à un pavillonLe toit en pavillon est un toit à quatre versants droits couvrant un corps de bâtiment de plan sensiblement carré. La lucarne en pavillon est une lucarne dont le toit est en pavillon. pour armes et trophéesDécor composé d’un regroupement d’objets divers, attributs d’un métier ou d’un art. Trophée de musique, de guerre, etc. de chasse.

Sources

Archives

ACEtt/TP 12978 (1902), 8447 (1931), 1116 (1932), 2734 (1957).

Périodiques
VAN EVERBROECK, L., « La maison bourgeoise moderne », in Bâtir, 23, 1934, pp. 881 à 883.