Recherches et rédaction
2005
Nouvelle rue rectiligne tracée suivant un permis délivré en 1990. Ouverte et bâtie par l'entrepreneur Jacques Delens, elle relie les rues du Collège Saint-Michel et Saint-Hubert.
Elle se compose d'immeubles à appartements et de bureaux de quatre niveaux sous toiture à bâtière. Tous les bâtiments, conçus par les architectes Claude Goehlen & Robert et Alexandre Mahieu, ont été construits entre 1990 et 2001.
Ces immeubles ont remplacé l'ancienne carrosserie « Vanden Plas ». Atelier et maison d'habitation rue du Collège Saint-Michel (précédemment no 32-34), architecte J. Caluwaers, 1904. Vaste complexe industriel, étendu à diverses reprises par l'ajout ou l'agrandissement de bâtiments industriels situés dans les rues Saint-Hubert, du Collège Saint-Michel et Maurice Liétart, entre 1906 et 1927. L'usine fut investie à partir de 1944 par la « S.A. Ateliers de Bouchaut & Thirion réunis », puis, dès 1949, par le concessionnaire automobile « ITRACO » qui loua par après les bâtiments comme entrepôt à la gendarmerie ; en 1978, ils furent rachetés par la commune. Les bâtiments situés dans la rue Maurice Liétart furent utilisés comme station d'essence, puis, dès 1960, comme bureau.
Les nos 22, 24 de la rue du Collège Saint-Michel remplacent deux maisons Art Déco, de l'architecte Jules Ghobert à savoir les no 14 (1922) et no 16 (1924), villa construite alors en recul de l'alignement.
Elle se compose d'immeubles à appartements et de bureaux de quatre niveaux sous toiture à bâtière. Tous les bâtiments, conçus par les architectes Claude Goehlen & Robert et Alexandre Mahieu, ont été construits entre 1990 et 2001.
Ces immeubles ont remplacé l'ancienne carrosserie « Vanden Plas ». Atelier et maison d'habitation rue du Collège Saint-Michel (précédemment no 32-34), architecte J. Caluwaers, 1904. Vaste complexe industriel, étendu à diverses reprises par l'ajout ou l'agrandissement de bâtiments industriels situés dans les rues Saint-Hubert, du Collège Saint-Michel et Maurice Liétart, entre 1906 et 1927. L'usine fut investie à partir de 1944 par la « S.A. Ateliers de Bouchaut & Thirion réunis », puis, dès 1949, par le concessionnaire automobile « ITRACO » qui loua par après les bâtiments comme entrepôt à la gendarmerie ; en 1978, ils furent rachetés par la commune. Les bâtiments situés dans la rue Maurice Liétart furent utilisés comme station d'essence, puis, dès 1960, comme bureau.
Les nos 22, 24 de la rue du Collège Saint-Michel remplacent deux maisons Art Déco, de l'architecte Jules Ghobert à savoir les no 14 (1922) et no 16 (1924), villa construite alors en recul de l'alignement.
Sources
Archives
ACWSP/SU 214 (1990) ; 1, 3, 5: 215 (1990) ; 2, 4, 6 : 94 (1999) ; 7, 9 : 313 (2001) ; Rue Saint-Hubert 19 : 228 (1990) ; Rue du Collège Saint-Michel 14 : 336 (1922) ; 16 : 48 (1924) ; 22, 24, 26 : 158 (1998) ; 32-34 : 184 (1904), 268 (1905), 361 (1906), 715 (1910), 39 (1913), 13 (1920), 235 (1925), 227 (1927), 74 (1949).
Ouvrages
Inventaire visuel de l'architecture industrielle à Bruxelles. Woluwe-Saint-Lambert/Woluwe-Saint-Pierre/Evere, Bruxelles, AAM, 2 vol., 1980-1982, fiches 43, 43bis.
ACWSP/SU 214 (1990) ; 1, 3, 5: 215 (1990) ; 2, 4, 6 : 94 (1999) ; 7, 9 : 313 (2001) ; Rue Saint-Hubert 19 : 228 (1990) ; Rue du Collège Saint-Michel 14 : 336 (1922) ; 16 : 48 (1924) ; 22, 24, 26 : 158 (1998) ; 32-34 : 184 (1904), 268 (1905), 361 (1906), 715 (1910), 39 (1913), 13 (1920), 235 (1925), 227 (1927), 74 (1949).
Ouvrages
Inventaire visuel de l'architecture industrielle à Bruxelles. Woluwe-Saint-Lambert/Woluwe-Saint-Pierre/Evere, Bruxelles, AAM, 2 vol., 1980-1982, fiches 43, 43bis.