Inventaire(s)
- Inventaire des traces coloniales (DPC-DCE 2024-2025)
Recherches et rédaction
1993-1995
Reliant aujourd'hui la pl. Aimé Dandoy au bd Louis Schmidt.
L'av. Le Marinel est ouverte au début des années 1930 pour mettre en communication le quartier de l'église Sainte-Gertrude (voir pl. Van Meyel) et du Cinquantenaire avec le bd Louis Schmidt.
Une 1e section, partant du boulevard, est prolongée jusqu'à la r. Général Fivé en 1938. Le tronçon jusqu'à la pl. A. Dandoy est établi sur l'anc. « r. du Rinsdelle » désaffectée (ouverte en 1898 pour relier la pl. du Rinsdelle à la r. des Champs) et n'est livré à la circulation qu'en 1951. Un terre-plein est aménagé au centre de l'artère en 1952.
Elle porte le nom de deux pionniers du Congo, Paul et Georges Le Marinel, fils d'un officier français venu, à la tête d'un bataillon de volontaires, soutenir l'indépendance belge en 1830.
Des deux côtés de l'avenue, ensemble homogène de maisons et de petits immeubles à appartements généralement de trois ou quatre niveaux sous toit en terrasse, construits pour la plupart dans les années 1950. Quelques habitations, bâties dans les années 1930, occupent le dern. tronçon comme les nos 150 (1937, arch. Paul DEVOS), 152 (1936, arch. C.-P. MESKENS), 154 (1936, arch. Louis CAELS), 156 (1936, arch. Maurice D'HOND), 158 (1936, arch. Marc SPINNAEL), 160 (1936, arch. VEREYCKEN) ou 164 (1936, arch. L. SPÉDER). L'avenue s'achève par d'importants immeubles à appartements numérotés bd Louis Schmidt. Le tronçon compris entre la r. Général Fivé et la r. de Pervyse, est occupé par des bâtiments de l'athénée royal Jean Absil.
L'av. Le Marinel est ouverte au début des années 1930 pour mettre en communication le quartier de l'église Sainte-Gertrude (voir pl. Van Meyel) et du Cinquantenaire avec le bd Louis Schmidt.
Une 1e section, partant du boulevard, est prolongée jusqu'à la r. Général Fivé en 1938. Le tronçon jusqu'à la pl. A. Dandoy est établi sur l'anc. « r. du Rinsdelle » désaffectée (ouverte en 1898 pour relier la pl. du Rinsdelle à la r. des Champs) et n'est livré à la circulation qu'en 1951. Un terre-plein est aménagé au centre de l'artère en 1952.
Elle porte le nom de deux pionniers du Congo, Paul et Georges Le Marinel, fils d'un officier français venu, à la tête d'un bataillon de volontaires, soutenir l'indépendance belge en 1830.
Des deux côtés de l'avenue, ensemble homogène de maisons et de petits immeubles à appartements généralement de trois ou quatre niveaux sous toit en terrasse, construits pour la plupart dans les années 1950. Quelques habitations, bâties dans les années 1930, occupent le dern. tronçon comme les nos 150 (1937, arch. Paul DEVOS), 152 (1936, arch. C.-P. MESKENS), 154 (1936, arch. Louis CAELS), 156 (1936, arch. Maurice D'HOND), 158 (1936, arch. Marc SPINNAEL), 160 (1936, arch. VEREYCKEN) ou 164 (1936, arch. L. SPÉDER). L'avenue s'achève par d'importants immeubles à appartements numérotés bd Louis Schmidt. Le tronçon compris entre la r. Général Fivé et la r. de Pervyse, est occupé par des bâtiments de l'athénée royal Jean Absil.
Sources
Archives
AR 23.02.1923.
Arrêté du Régent 26.10.1949.
ACEtt./TP 2378, 2540, 3640, 3994, 4150, 4247, 5206 (1936), 37555 (1937).
CC 10.03.1921.
RC 1937, p. 60, 1938, p. 63, 1939, p. 72, 1951, p. 131, 1952, p. 145.
Ouvrages
MEIRE, R. J., Histoire d'Etterbeek, Musin, Bruxelles, 1981, p. 110.
Arrêté du Régent 26.10.1949.
ACEtt./TP 2378, 2540, 3640, 3994, 4150, 4247, 5206 (1936), 37555 (1937).
CC 10.03.1921.
RC 1937, p. 60, 1938, p. 63, 1939, p. 72, 1951, p. 131, 1952, p. 145.
Ouvrages
MEIRE, R. J., Histoire d'Etterbeek, Musin, Bruxelles, 1981, p. 110.