Typologie(s)

maison unifamiliale ou de rapport (indéterminé)

Intervenant(s)

INCONNU - ONBEKEND1600-1699

INCONNU - ONBEKEND1825

D. THIÉBAUTarchitecte1966

Statut juridique

Inscrit à l’inventaire légal le 19 août 2024

Styles

Architecture traditionnelle

Inventaire(s)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

Recherches et rédaction

id

Urban : 37348
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Description

Ancien «de drij Fonteynen». Maison perpendiculaire, aujourd’hui de trois niveaux plus un entresol et trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous bâtièreToit à deux versants.. Noyau traditionnel du XVIIe siècle, probablement adapté dans le deuxième quart du XIXe siècle avec une façade néoclassique enduite de trois niveaux. Décapée et profondément restaurée sur les plans de l’architecte D. Thiébaut de 1966 : adjonction d’un pignon à gradins, rénovation du rez-de-chaussée avec ajout d’un entresol. Façade en briques avec éléments de pierre blanche; montants chaînés en grèsTerre cuite de texture serrée, légèrement vitrifiée, glaçurée ou non. Le grès désigne également une famille de pierres composées de silice. d’origine, ainsi que les plates-bandesCouvrement clavé rectiligne d’une baie. La plate-bande se distingue du linteau par le fait qu’elle est appareillée, tandis que le linteau est d’un seul tenant. Elle peut être feinte et masquer un linteau. et les larmiersMouluration horizontale qui présente un canal creusé dans sa partie inférieure, servant à décrocher les gouttes d’eau afin d’éviter leur ruissellement sur la façade. Le larmier isolé possède un chanfrein comme moulure supérieure. Le larmier constitue l'un des éléments de la corniche. et bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. de décharge clavés des deux étages supérieurs. AncresPièce métallique apparente ou noyée dans l’enduit de façade, fixée à l’extrémité d’un tirant en fer pour solidariser les murs et les planchers. Il existe des ancres purement décoratives, non reliées à des tirants. en I ou en fleur de lys.

Sources

Archives
AVB/TP 81699 (1967). 

Sites internet
BALat KIK-IRPA