Typologie(s)
maison d’habitation
Intervenant(s)
INCONNU - ONBEKEND – 1876-1877
Styles
Néoclassicisme
Inventaire(s)
- Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
- Le patrimoine monumental de la Belgique. Anderlecht-Cureghem (Archistory - 2017-2019)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
2016, 2019
id
Urban : 36393
Description
Deux ensembles de trois maisons de style néoclassique, conçus en 1876
pour celui d’angle, 1877 pour l’autre, pour un même propriétaire.
Bâtiments de trois niveaux, à façades enduites, aujourd’hui à faux-jointsEnduit dans lequel sont tracés des sillons pour suggérer un appareil de pierre.. Façades principales de deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. égales aux étages. Elles sont liées au premier étage par des balcons continus sans consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console., à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion.. Corniche du no 35 boulevard Poincaré – 1 rue Moretus conservée. Huisseries remplacées.
Aux nos 1a à 7 de la rue, élévationsDessin à l'échelle d'une des faces verticales d’un édifice. Par extension, façade d'un bâtiment ou ensemble de ses façades. identiques, traitées en miroir.
Au no 34 du boulevard, à l’origine, rez-de-chaussée à vitrine centrale flanquée de portes.
Au no 35 du boulevard, deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. côté boulevard et quatre côté rue. À l’origine, rez-de-chaussée rythmé d’arcades en plein cintreUn élément est dit en plein cintre lorsqu’il est cintré en demi-cercle., vraisemblablement des portes de café; les deux premières sont aujourd’hui converties en fenêtres, les deux suivantes rendues aveuglesUn élément est dit aveugle lorsqu’il est dénué d’ouverture. Une baie aveugle est un élément construit sans ouverture, imitant une porte ou une fenêtre.; celles côté boulevard ont cédé la place à une vitrine avec porte latérale. À l’extrémité gauche, étroite porte piétonne, menant aux étages.
Bâtiments de trois niveaux, à façades enduites, aujourd’hui à faux-jointsEnduit dans lequel sont tracés des sillons pour suggérer un appareil de pierre.. Façades principales de deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. égales aux étages. Elles sont liées au premier étage par des balcons continus sans consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console., à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion.. Corniche du no 35 boulevard Poincaré – 1 rue Moretus conservée. Huisseries remplacées.
Aux nos 1a à 7 de la rue, élévationsDessin à l'échelle d'une des faces verticales d’un édifice. Par extension, façade d'un bâtiment ou ensemble de ses façades. identiques, traitées en miroir.
Au no 34 du boulevard, à l’origine, rez-de-chaussée à vitrine centrale flanquée de portes.
Au no 35 du boulevard, deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. côté boulevard et quatre côté rue. À l’origine, rez-de-chaussée rythmé d’arcades en plein cintreUn élément est dit en plein cintre lorsqu’il est cintré en demi-cercle., vraisemblablement des portes de café; les deux premières sont aujourd’hui converties en fenêtres, les deux suivantes rendues aveuglesUn élément est dit aveugle lorsqu’il est dénué d’ouverture. Une baie aveugle est un élément construit sans ouverture, imitant une porte ou une fenêtre.; celles côté boulevard ont cédé la place à une vitrine avec porte latérale. À l’extrémité gauche, étroite porte piétonne, menant aux étages.
Sources
Archives
ACA/Urb.
boulevard Poincaré 34, 35 et rue Moretus
1, 1a: 1272 (07.08.1876); rue
Moretus 3 à 7: 1484 (18.08.1877).