Typologie(s)
hôtel particulier
portique/porte
rez-de-chaussée commercial
portique/porte
rez-de-chaussée commercial
Intervenant(s)
Styles
Néoclassicisme
Rococo
Inventaire(s)
- Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
- Inventaire d'urgence du patrimoine architectural de l'agglomération bruxelloise (Sint-Lukasarchief 1979)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
2016
id
Urban : 33472
Description
Imposant immeuble à
façade enduite, d’esprit néoclassique, de quatre niveaux et cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade..
D’après les archives, sans doute prévu au XVIIIe siècle avec trois niveaux et trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiales en ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. couronnées par un fronton triangulaire, dont les fenêtres carrées supérieures furent exhaussées en 1836. Façade reconstruite en 1892 sur les plans de l’architecte Alb. Dumont avec un quatrième niveau et un léger ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. de la travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d’angle gauche. Au premier étage, fenêtres bombées (remployées) à encadrement mouluré de pierre bleue, timbré d’une clé en rocailleRocaille. Ornement asymétrique en forme de coquillage déchiqueté, propre à l’architecture des styles rocaille et rococo ainsi qu’aux styles qui s’y réfèrent. La rocaille désigne également des constructions de jardin imitant des rochers ou des assemblages de rondins. Le style rocaille ou style Louis XV désigne l’interprétation française du style rococo.; aux étages supérieurs, fenêtres rectangulaires à encadrement du même type mais peint et appuiAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. saillant.
Au rez-de-chaussée, flanqués chacun d’une vitrine à droite, deux beaux portails Louis XV, de la deuxième moitié du XVIIIe siècle : encadrement chantournéUn élément est dit chantourné lorsque sa forme alterne courbe et contre-courbe. de pierre bleue, montants profilés sur socleMassif surélevant un support ou une statue., clé cannelée en voluteOrnement enroulé en spirale que l’on trouve notamment sur les chapiteaux ioniques, les consoles, les ailerons, etc., rocailleRocaille. Ornement asymétrique en forme de coquillage déchiqueté, propre à l’architecture des styles rocaille et rococo ainsi qu’aux styles qui s’y réfèrent. La rocaille désigne également des constructions de jardin imitant des rochers ou des assemblages de rondins. Le style rocaille ou style Louis XV désigne l’interprétation française du style rococo. dans les écoinçonsEspace de mur ménagé de part et d’autre d’un arc., sous le larmierMouluration horizontale qui présente un canal creusé dans sa partie inférieure, servant à décrocher les gouttes d’eau afin d’éviter leur ruissellement sur la façade. Le larmier isolé possède un chanfrein comme moulure supérieure. Le larmier constitue l'un des éléments de la corniche. bombé à extrémités droites.
D’après les archives, sans doute prévu au XVIIIe siècle avec trois niveaux et trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. axiales en ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. couronnées par un fronton triangulaire, dont les fenêtres carrées supérieures furent exhaussées en 1836. Façade reconstruite en 1892 sur les plans de l’architecte Alb. Dumont avec un quatrième niveau et un léger ressautSaillie d'une partie de mur par rapport à l’alignement général. de la travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d’angle gauche. Au premier étage, fenêtres bombées (remployées) à encadrement mouluré de pierre bleue, timbré d’une clé en rocailleRocaille. Ornement asymétrique en forme de coquillage déchiqueté, propre à l’architecture des styles rocaille et rococo ainsi qu’aux styles qui s’y réfèrent. La rocaille désigne également des constructions de jardin imitant des rochers ou des assemblages de rondins. Le style rocaille ou style Louis XV désigne l’interprétation française du style rococo.; aux étages supérieurs, fenêtres rectangulaires à encadrement du même type mais peint et appuiAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. saillant.
Au rez-de-chaussée, flanqués chacun d’une vitrine à droite, deux beaux portails Louis XV, de la deuxième moitié du XVIIIe siècle : encadrement chantournéUn élément est dit chantourné lorsque sa forme alterne courbe et contre-courbe. de pierre bleue, montants profilés sur socleMassif surélevant un support ou une statue., clé cannelée en voluteOrnement enroulé en spirale que l’on trouve notamment sur les chapiteaux ioniques, les consoles, les ailerons, etc., rocailleRocaille. Ornement asymétrique en forme de coquillage déchiqueté, propre à l’architecture des styles rocaille et rococo ainsi qu’aux styles qui s’y réfèrent. La rocaille désigne également des constructions de jardin imitant des rochers ou des assemblages de rondins. Le style rocaille ou style Louis XV désigne l’interprétation française du style rococo. dans les écoinçonsEspace de mur ménagé de part et d’autre d’un arc., sous le larmierMouluration horizontale qui présente un canal creusé dans sa partie inférieure, servant à décrocher les gouttes d’eau afin d’éviter leur ruissellement sur la façade. Le larmier isolé possède un chanfrein comme moulure supérieure. Le larmier constitue l'un des éléments de la corniche. bombé à extrémités droites.
Sources
Archives
AVB/TP 10264 (1836), 10521 (1892).
Sites internet
BALat KIK-IRPA