lieu de naissance des romanciers J.-H. Rosny frères

À l’angle de la rue de Bon Secours, maison de deux niveaux et deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous bâtièreToit à deux versants. perpendiculaire couverte d’éternit, remontant probablement à la fin du XVII^e siècle. Façade principale enduite sous pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc. chantournéUn élément est dit chantourné lorsque sa forme alterne courbe et contre-courbe. à frontonCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches. triangulaire, ajourée de fenêtres rectangulaires à appuiAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. saillant (XIX^e siècle). AncresPièce métallique apparente ou noyée dans l’enduit de façade, fixée à l’extrémité d’un tirant en fer pour solidariser les murs et les planchers. Il existe des ancres purement décoratives, non reliées à des tirants. en I. Au rez-de-chaussée, à droite, porte chantournée en pierre bleue de style Régence, du milieu du XVIII^e siècle : large encadrement mouluré en gorge, montants sur déÉléments de pierre de section sensiblement carrée ou rectangulaire, disposés généralement aux angles d’un balcon., motif en coquilleOrnement symétrique figurant une coquille Saint-Jacques ou un coquillage s’en rapprochant. à la clé et aux écoinçonsEspace de mur ménagé de part et d’autre d’un arc., larmierMouluration horizontale qui présente un canal creusé dans sa partie inférieure, servant à décrocher les gouttes d’eau afin d’éviter leur ruissellement sur la façade. Le larmier isolé possède un chanfrein comme moulure supérieure. Le larmier constitue l'un des éléments de la corniche. courbe aux extrémités droites, marques de tailleurs de pierre (1746-1748) de Guillaume Paternotte, Pierre Corneille Trigalet et Joseph Demoulin ; à gauche, devanture classique transformée.