Rue du Marché au Charbon 65, 67

Maison perpendiculaire, de quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., comportant probablement un noyau plus ancien jadis avec façade-pignon, transformée à la fin du XVIII^e ou au premier quart du XIX^e siècle en une façade néo-classique sous frontonCouronnement de forme triangulaire ou courbe, à tympan et cadre mouluré formé de corniches., de trois niveaux et demi sous bâtièreToit à deux versants.. Actuellement scindée en deux habitations, avec façade cimentéeEnduit de mortier de ciment type Portland, un matériau gris et très dur qui entre dans la composition du béton et du mortier moderne. à imitation de joints depuis 1926, et stuquéeLe stuc est un enduit à base de chaux ou de plâtre et de colle, soit poli et imitant le marbre, soit mat, sculpté et mouluré. par la suite, au n° 65; simplement enduiteL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc. au n° 67. Fenêtres rectangulaires, aveuglesUn élément est dit aveugle lorsqu’il est dénué d’ouverture. Une baie aveugle est un élément construit sans ouverture, imitant une porte ou une fenêtre. aux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. latérales du demi-niveauÉtage dont la hauteur est nettement inférieure à celle de l’étage qui se trouve en dessous de lui.. Rez-de-chaussée commercial transformé : devanture du n° 65 de 1926 (architecte E. Douay), et du n° 67 de 1941 (architecte G. France).