Typologie(s)
maison bourgeoise
Styles
Néoclassicisme
Inventaire(s)
- Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
2016
id
Urban : 30613
Description
Maison néoclassique en double corpsUn bâtiment est dit en double corps lorsqu'il présente, au rez-de-chaussée, deux rangées de pièces séparées par un couloir axial. de la fin du
XVIIIe siècle.
Quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous bâtièreToit à deux versants. et initialement trois niveaux. Façade enduite et peinte sur rez-de-chaussée de pierre blanche actuellement décapé ; ordonnance typique. Rez-de-chaussée sur soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. percé d’une porte et de fenêtres rectangulaires inscrites et souligné par un cordonCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. profilé. Étages rythmés par des trumeauxPan de mur compris entre deux travées ou entre deux baies d'un même niveau. colossaux et des niches plates abritant des fenêtres rectangulaires de hauteur dégressive; baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. du deuxième étage, initialement presque carrées, décorées en allègePartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. de panneaux en relief découpés aux coins inférieurs. Diverses transformations : surélévation des fenêtres du deuxième étage et ajout d’un entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. «classique» au milieu du XIXe siècle ; aménagement d’une porte de garage et ajout d’un niveau sur les plans de 1936 de l’architecte Marcel Leloup. Démoli en 1991.
Quatre travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous bâtièreToit à deux versants. et initialement trois niveaux. Façade enduite et peinte sur rez-de-chaussée de pierre blanche actuellement décapé ; ordonnance typique. Rez-de-chaussée sur soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. percé d’une porte et de fenêtres rectangulaires inscrites et souligné par un cordonCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. profilé. Étages rythmés par des trumeauxPan de mur compris entre deux travées ou entre deux baies d'un même niveau. colossaux et des niches plates abritant des fenêtres rectangulaires de hauteur dégressive; baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. du deuxième étage, initialement presque carrées, décorées en allègePartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. de panneaux en relief découpés aux coins inférieurs. Diverses transformations : surélévation des fenêtres du deuxième étage et ajout d’un entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. «classique» au milieu du XIXe siècle ; aménagement d’une porte de garage et ajout d’un niveau sur les plans de 1936 de l’architecte Marcel Leloup. Démoli en 1991.
Sources
Archives
AVB/TP 46707 (1936), 22967.