Typologie(s)

maison d’habitation

Intervenant(s)

INCONNU - ONBEKEND1600-1700

Styles

Architecture traditionnelle

Inventaire(s)

  • Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
  • Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique
  • Urbanistique

Recherches et rédaction

2016

id

Urban : 30572
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Description

Ensemble combinant une maison en large et trois maisons perpendiculaires de type traditionnel en briques et grèsTerre cuite de texture serrée, légèrement vitrifiée, glaçurée ou non. Le grès désigne également une famille de pierres composées de silice., remontant au moins au XVIIe siècle et aménagées aux XVIIIe et XIXe siècles.

Bâtières combinées et toit plat. Façade à rue coudée de deux ou trois niveaux et au total neuf travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., avec ancresPièce métallique apparente ou noyée dans l’enduit de façade, fixée à l’extrémité d’un tirant en fer pour solidariser les murs et les planchers. Il existe des ancres purement décoratives, non reliées à des tirants. en I, cimentée en 1954; soubassementPartie massive d’un bâtiment construite au sol et constituant l’assise du bâtiment. À Bruxelles, le soubassement est d’ordinaire en pierre bleue. biseauté en grèsTerre cuite de texture serrée, légèrement vitrifiée, glaçurée ou non. Le grès désigne également une famille de pierres composées de silice. avec jours1. Ouverture vitrée dans une menuiserie ou baie de petite dimension; 2. Vide autour duquel se développent certains escaliers tournants. de cave à barreaux. Fenêtres rectangulaires aménagées; dans la dernière travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade., porte rectangulaire du XIXe siècle avec encadrement en pierre bleue sous larmierMouluration horizontale qui présente un canal creusé dans sa partie inférieure, servant à décrocher les gouttes d’eau afin d’éviter leur ruissellement sur la façade. Le larmier isolé possède un chanfrein comme moulure supérieure. Le larmier constitue l'un des éléments de la corniche.. Traces de bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. et de harpesLes harpes sont une superposition d’éléments dont la tête est alternativement courte et longue. en grèsTerre cuite de texture serrée, légèrement vitrifiée, glaçurée ou non. Le grès désigne également une famille de pierres composées de silice. sous le cimentage. Au n° 65, troisième niveau ajouté peut-être dans la première moitié du XIXe siècle, toit plat et, jusqu’il y a peu, travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. supplémentaire à gauche avec passage cocher; façade latérale gauche avec fenêtre à traverseÉlément horizontal divisant une baie ou pièce horizontale d'une menuiserie. murée.

À l’arrière, trois façades avec ancrage, sous pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc. à huit ou six gradins et pinacleAmortissement élancé de plan carré ou polygonal., avec enduitL'enduit est un revêtement de plâtre, de mortier, de stuc, de ciment, de lait de chaux, de simili-pierre, etc. écaillé. Deux niveaux et trois, quatre ou deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade.. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires aménagées dont des anciennes croiséesBaie à croisée. Baie divisée par des meneau(x) et traverse(s) se croisant à angle droit.; bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade., harpesLes harpes sont une superposition d’éléments dont la tête est alternativement courte et longue. et linteauxÉlément rectiligne d’un seul tenant, en pierre, bois, béton ou métal, couvrant une baie. d’origine partiellement visibles; jours1. Ouverture vitrée dans une menuiserie ou baie de petite dimension; 2. Vide autour duquel se développent certains escaliers tournants. de pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc.; dans la façade latérale est, fenêtre à traverseÉlément horizontal divisant une baie ou pièce horizontale d'une menuiserie. obturée sous arc de déchargeArc noyé dans un mur plein, qui surmonte généralement un linteau ou un autre couvrement et sert à le soulager.. Dans la cour intérieure, à l’arrière, entre autres, aile qui abritait des classes de l’ancienne école primaire Institut Robert : construction en briques de deux niveaux et sept travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. à pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau., selon un permis de bâtir de 1893, exhaussée d’un niveau selon un permis de 1894.

Sources

Archives
AVB/TP 70021 (1954), 21156 (1893, 1894).