Typologie(s)

maison ou immeuble de rapport
rez-de-chaussée commercial

Intervenant(s)

Styles

Éclectisme

Recherches et rédaction

1997-2004

id

Urban : 2086
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Description

Ensemble de trois immeubles de rapport de style éclectique à façade polychrome, 1909 (selon De Keyser, G., 1996).

Schéma symétrique de deux immeubles identiques de part et d'autre du n28-30, tous de cinq niveaux. Vers le carrefour, rythme induit par des balcons devançant une travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sur deux, à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... pansuUn garde-corps est dit pansu lorsqu'il se cintre en doucine en élévation. en fonteFer riche en carbone, moulé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des colonnettes, des cache-boulins. Contrairement au fer forgé, la fonte est cassante et résiste mal à la flexion., la plupart conservés. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. d'origine au no 24-26.

Aux nos 24-26 r. Crickx et r. Gustave Defnet 42, élévationsDessin à l'échelle d'une des faces verticales d’un édifice. Par extension, façade d'un bâtiment ou ensemble de ses façades. comptant chacune une travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sur le carrefour et deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. inégales vers les rues latérales. Élévations en briques grises, rehaussées de pierre blanche et de briques émaillées vertes. R.d.ch. en pierre bleue sous entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées. en bois ; devanture à petit-bois conservée au no 24-26. Côté carrefour, balcons de taille dégressive. Latéralement, deux logettes en bois égaient la travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. d'accès. Angle harpé de pierre bleue. No 42 ponctué en toiture d'une lucarneOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. sous pignon à gradinsPignon dont les rampants sont étagés en escalier, à la manière de gradins..

Au no 28-30 r. Crickx, élévation de composition symétriqueDans l'inventaire, une façade est dite de composition symétrique lorsqu’elle compte trois travées égales. À Bruxelles, ce type de façade s’élève souvent sur trois niveaux de hauteur dégressive. La travée axiale est d’ordinaire mise en évidence par un ressaut, par un ou plusieurs balcons et par un décor plus élaboré., ponctuée dans l'axe d'une lucarne passanteUne lucarne est dite passante lorsqu'elle est située dans le plan de la façade et interrompt la corniche ou l’entablement terminal du bâtiment. sous pignon à gradinsPignon dont les rampants sont étagés en escalier, à la manière de gradins.. ÉlévationDessin à l'échelle d'une des faces verticales d’un édifice. Par extension, façade d'un bâtiment ou ensemble de ses façades. en briques jaunes, rehaussée de pierre bleue. Devanture modifiée en 1928, arch. Robert Lemaire. Balcon continuUn élément est dit continu s’il règne sur toute la largeur de l’élévation ou sur plusieurs travées. au 1er étage, balcons axiaux de taille dégressive aux étages supérieurs.

Sources

Archives
ACSG/Urb. 476 (1928).