Typologie(s)
atelier (artisanat)
hôtel particulier
imprimerie
hôtel particulier
imprimerie
Intervenant(s)
J.E. & Z. COUCKE – (maître) verrier – 1909
INCONNU - ONBEKEND – 1830-1850
Statut juridique
Inscrit à l’inventaire légal le 19 août 2024
Styles
Néoclassicisme
Inventaire(s)
- Inventaire d'urgence du patrimoine architectural de l'agglomération bruxelloise (Sint-Lukasarchief 1979)
- Inventaire de l'architecture industrielle (AAM - 1980-1982)
- Actualisation de l'inventaire d'urgence (Sint-Lukasarchief - 1993-1994)
- Actualisation du projet d'inventaire régional du patrimoine architectural (DMS-DML - 1995-1998)
- Le patrimoine monumental de la Belgique. Saint-Josse-ten-Noode (DMS-DML - 1994-1997)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique La signature d’un bien immeuble (bâtiment) par un architecte de renom ne peut pas être considérée comme un critère absolu. Pour évaluer la place qu’un bien occupe dans l’œuvre d’un architecte, ce critère doit être modulé avec la qualité architecturale (composition et structure interne) du bien, sa mise en œuvre (matériaux, maîtrise technique) et la place qu’il occupe dans l’histoire de l’architecture, ces trois éléments pouvant témoigner d’une phase ou d’un aspect de l’architecture urbaine ou paysagère du passé. Les critères suivants s’appliquent alors pour évaluer l’intérêt artistique : la rareté (typologie, style, utilisation des matériaux, sources), la représentativité (idem) et l’intégrité (idem + qualité d’exécution).
- Esthétique Le bien possède un intérêt esthétique s’il stimule les sens de l’observateur de manière positive (l’expérience de la beauté). Historiquement, cette valeur était utilisée pour désigner des zones naturelles ou semi-naturelles de grande valeur, mais elle peut également s’appliquer à de grands ensembles de bâtiments dans une zone urbaine, avec ou sans éléments naturels, ou à des monuments qui marquent le paysage urbain. D’autres intérêts sont automatiquement pris en considération, l’artistique en premier lieu, mais aussi le paysager (intégration de l’œuvre dans le paysage urbain, points de repère dans la ville) et l’urbanistique (ensembles urbains spontanés ou rationnels). Les critères de sélection suivants lui sont également associés : la représentativité, la valeur d’ensemble et la valeur contextuelle. Ces critères doivent être combinés avec d’autres critères (notamment artistiques).
- Historique Le bien présente un intérêt historique s’il témoigne d’une période particulière de l’histoire de la région ou de la commune, s’il représente un témoignage d’une période particulière du passé et/ou d’une évolution rare pour une période (par exemple, une cité-jardin représentative d’un mode de construction utilisé lors des grandes campagnes d’urbanisation après la Seconde Guerre mondiale, les noyaux villageois illustrant les premiers bâtiments groupés des communes de la Seconde couronne, la Porte de Hal comme vestige de la deuxième enceinte, etc.), s’il témoigne d’un développement urbain (et/ou paysager) particulier de la ville (par exemple, les immeubles des boulevards centraux ou du quartier Léopold), s’il présente un lien avec un personnage historique important, y compris les maisons personnelles d’architectes et les ateliers d’artistes (par exemple, la maison natale de Constantin Meunier, la maison de Magritte), s’il peut être associé à un événement historique important (par exemple, les maisons datant de la reconstruction de Bruxelles suite au bombardement de 1695, la colonne du Congrès), ou s’il possède une représentativité typologique caractéristique d’une activité commerciale ou culturelle (par exemple, les églises, les cinémas, l’architecture industrielle, les pharmacies).
- Scientifique Cette valeur est généralement utilisée pour évaluer les zones naturelles ou semi-naturelles et selon leurs qualités botaniques. Dans le cadre d’un bien, il peut s’agir de la présence d’un élément (de construction) (matériau particulier, matériau expérimental, procédé ou élément constructif) ou du témoignage d’un espace spatiostructurel (urbanistique) dont la préservation doit être envisagée à des fins de recherche scientifique.
- Technique Un bien possède un intérêt technique en cas d’utilisation précoce d’un matériau ou d’une technique particulière (ingénierie), ou s’il présente un intérêt constructif ou technologique particulier, une prouesse technique ou une innovation technologique. Il peut également être considéré comme ayant une valeur archéologique industrielle s’il témoigne de méthodes de construction anciennes. Bien entendu, l’intérêt technique est à mettre en relation avec l’intérêt scientifique.
- Urbanistique Certains biens architecturaux ont joué un rôle prépondérant dans la planification urbaine par le passé. Ils suivent généralement d’autres formes (plans) urbanistiques, entraînant une interaction entre les espaces bâtis et non bâtis (ou ouverts). Cet aménagement comprend également la cohérence entre les différents niveaux d’échelle. Un bien immobilier possède un intérêt urbanistique lorsqu’il joue un rôle dans ce domaine. En voici quelques exemples : les bâtiments d’angle, les places ou les enfilades d’immeubles présentant une certaine cohérence, les tours (immeubles de grande hauteur) habilement implantées et leur relation avec leur environnement qualitatif immédiat, qui peut être cohérent mais aussi contrasté, ainsi que les vestiges de concepts urbanistiques et la manière dont ils sont ou ont été remplis architecturalement (et typologiquement), comme les palais urbains et/ou les maisons de maître éclectiques encore préservés dans le quartier Léopold.
Recherches et rédaction
1993-1995
id
Urban : 10834
Description
Hôtel de maître d'inspiration néoclassique, construit dans les années 1840 et abritant dès 1850 la maison Goemaere, «Éditeur Imprimeur du Roi».
Trois niveaux et cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous corniche à denticules et modillonsÉléments décoratifs de forme quelconque, répétés sous une corniche. cannelés, regroupés par deux ou par trois. Façade enduite et peinte sur socleMassif surélevant un support ou une statue. en pierre bleue percé de jours1. Ouverture vitrée dans une menuiserie ou baie de petite dimension; 2. Vide autour duquel se développent certains escaliers tournants. de cave. R.d.ch. à bossages séparé des étages par un bandeauÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. en pierre bleue. La travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. centrale marquée au r.d.ch. par une fenêtre plus large et au 1e étage par un balcon sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. avec balustradeGarde-corps composé de balustres, c’est-à-dire de petits supports en répétition, généralement profilés et de section circulaire. en pierre. La porte-fenêtre ouvrant sur ce balcon est surmontée d'une corniche en pierre bleue à mutulesModillons de l’ordre dorique. Éléments décoratifs en forme de dé assez plat, répétés sous une corniche. se distinguant de celles des autres travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. par deux modillonsÉléments décoratifs de forme quelconque, répétés sous une corniche. cannelés dans le même matériau. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rect. à encadrement mouluré aux étages, harpé au r.d.ch. AllègesPartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. décorées de tablesPetite surface plane décorative, carrée ou rectangulaire. En menuiserie, on utilisera plus volontiers le terme panneau. rentrantes au 1er, de glyphes au 2e. Entrée cochère en anse de panierUn élément est dit en anse de panier lorsqu’il est cintré en demi-ovale. avec chambranle à clefClaveau central d’un arc ou d’une plate-bande. Il s’agit d’un élément architectonique. Le terme s'utilise également pour des éléments purement décoratifs qui évoquent une clef à rôle structurel. et chasse-roues en pierre bleue. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. et porte à deux vantauxLe mot vantail désigne le battant d’une porte ou d’une fenêtre. en bois d'origine. Chaque vantailLe mot vantail désigne le battant d’une porte ou d’une fenêtre. comprend un panneau vitré garni d'une grille en fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage. et surmonté d'une corniche sur modillonsÉléments décoratifs de forme quelconque, répétés sous une corniche.. Poignées en laiton à gueule de dragon. BaieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. d'imposteUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie. vitrée.
Un passage couvert voûté en berceau donne accès aux ateliers par une 2e porte cochère vitrée. L'entrée des bureaux se fait par une porte latérale, également vitrée - verres gravés - à deux vantauxLe mot vantail désigne le battant d’une porte ou d’une fenêtre.. MenuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC. et chambranle en bois vernis, poignées en laiton. Deux appliques en laiton à corps de griffon supportant des globes de verre sont disposées de part et d'autre de cette porte. Au-dessus de la plintheAssise inférieure d’un soubassement ou soubassement de hauteur particulièrement réduite., les murs du passage sont marqués de panneaux et de pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. portant des arcsStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. doubleaux. Par une autre porte vitrée à deux vantauxLe mot vantail désigne le battant d’une porte ou d’une fenêtre. dont l'imposteUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie. porte gravées dans le verre les initiales du fondateur de l'imprimerie «J G», l'on accède à un hall d'où part l'escalier menant aux étages. La ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux. à volutesOrnement enroulé en spirale que l’on trouve notamment sur les chapiteaux ioniques, les consoles, les ailerons, etc. et motifs végétaux de la rampe d'appuiAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas., ainsi que la lanterne qui en constitue le départ sont d'inspiration Art nouveauStyle Art nouveau (de 1893 à 1914 environ). Mouvement international, avec de fortes variantes locales, né en réaction aux styles « néo ». En Belgique, ce courant connaît deux tendances : d’un côté, sous l’égide de Victor Horta, l'Art nouveau « floral », aux lignes organiques ; de l’autre, l'Art nouveau géométrique, influencé par l'art de Paul Hankar ou la Sécession viennoise.. Elles contrastent avec deux colonnes ioniques et les moulures classiques du plafond. Un vitrail signé et daté «J.E. & Z. COUCKE/ Peintres Verriers/1909 BRUGES» orne la cage d'escalierEspace à l'intérieur duquel se développe un escalier. au niveau du 1er repos. Il représente l'un des imprimeurs enfant, habillé en page. Au ler étage, cheminées en marbre et boiseries d'origine. L'atelier présente encore sa charpente d'origine, ainsi que certains éléments de l'outillage ancien.
Trois niveaux et cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sous corniche à denticules et modillonsÉléments décoratifs de forme quelconque, répétés sous une corniche. cannelés, regroupés par deux ou par trois. Façade enduite et peinte sur socleMassif surélevant un support ou une statue. en pierre bleue percé de jours1. Ouverture vitrée dans une menuiserie ou baie de petite dimension; 2. Vide autour duquel se développent certains escaliers tournants. de cave. R.d.ch. à bossages séparé des étages par un bandeauÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. en pierre bleue. La travée1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. centrale marquée au r.d.ch. par une fenêtre plus large et au 1e étage par un balcon sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. avec balustradeGarde-corps composé de balustres, c’est-à-dire de petits supports en répétition, généralement profilés et de section circulaire. en pierre. La porte-fenêtre ouvrant sur ce balcon est surmontée d'une corniche en pierre bleue à mutulesModillons de l’ordre dorique. Éléments décoratifs en forme de dé assez plat, répétés sous une corniche. se distinguant de celles des autres travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. par deux modillonsÉléments décoratifs de forme quelconque, répétés sous une corniche. cannelés dans le même matériau. BaiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rect. à encadrement mouluré aux étages, harpé au r.d.ch. AllègesPartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. décorées de tablesPetite surface plane décorative, carrée ou rectangulaire. En menuiserie, on utilisera plus volontiers le terme panneau. rentrantes au 1er, de glyphes au 2e. Entrée cochère en anse de panierUn élément est dit en anse de panier lorsqu’il est cintré en demi-ovale. avec chambranle à clefClaveau central d’un arc ou d’une plate-bande. Il s’agit d’un élément architectonique. Le terme s'utilise également pour des éléments purement décoratifs qui évoquent une clef à rôle structurel. et chasse-roues en pierre bleue. ChâssisPartie en menuiserie d'une fenêtre. et porte à deux vantauxLe mot vantail désigne le battant d’une porte ou d’une fenêtre. en bois d'origine. Chaque vantailLe mot vantail désigne le battant d’une porte ou d’une fenêtre. comprend un panneau vitré garni d'une grille en fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage. et surmonté d'une corniche sur modillonsÉléments décoratifs de forme quelconque, répétés sous une corniche.. Poignées en laiton à gueule de dragon. BaieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. d'imposteUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie. vitrée.
Un passage couvert voûté en berceau donne accès aux ateliers par une 2e porte cochère vitrée. L'entrée des bureaux se fait par une porte latérale, également vitrée - verres gravés - à deux vantauxLe mot vantail désigne le battant d’une porte ou d’une fenêtre.. MenuiserieÉléments de bois relevant de l’art du menuisier. Pour une façade, le mot peut désigner les portes, les châssis, les éventuelles logettes et la corniche. Par extension, le terme désigne également l'huisserie métallique et en PVC. et chambranle en bois vernis, poignées en laiton. Deux appliques en laiton à corps de griffon supportant des globes de verre sont disposées de part et d'autre de cette porte. Au-dessus de la plintheAssise inférieure d’un soubassement ou soubassement de hauteur particulièrement réduite., les murs du passage sont marqués de panneaux et de pilastresÉlément vertical plat en ressaut qui évoque un support (un pilier engagé). Il peut être muni d’une base et d’un chapiteau. portant des arcsStructure appareillée de couvrement, cintrée selon un profil donné. doubleaux. Par une autre porte vitrée à deux vantauxLe mot vantail désigne le battant d’une porte ou d’une fenêtre. dont l'imposteUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie. porte gravées dans le verre les initiales du fondateur de l'imprimerie «J G», l'on accède à un hall d'où part l'escalier menant aux étages. La ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux. à volutesOrnement enroulé en spirale que l’on trouve notamment sur les chapiteaux ioniques, les consoles, les ailerons, etc. et motifs végétaux de la rampe d'appuiAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas., ainsi que la lanterne qui en constitue le départ sont d'inspiration Art nouveauStyle Art nouveau (de 1893 à 1914 environ). Mouvement international, avec de fortes variantes locales, né en réaction aux styles « néo ». En Belgique, ce courant connaît deux tendances : d’un côté, sous l’égide de Victor Horta, l'Art nouveau « floral », aux lignes organiques ; de l’autre, l'Art nouveau géométrique, influencé par l'art de Paul Hankar ou la Sécession viennoise.. Elles contrastent avec deux colonnes ioniques et les moulures classiques du plafond. Un vitrail signé et daté «J.E. & Z. COUCKE/ Peintres Verriers/1909 BRUGES» orne la cage d'escalierEspace à l'intérieur duquel se développe un escalier. au niveau du 1er repos. Il représente l'un des imprimeurs enfant, habillé en page. Au ler étage, cheminées en marbre et boiseries d'origine. L'atelier présente encore sa charpente d'origine, ainsi que certains éléments de l'outillage ancien.
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