Recherches et rédaction
1993-1995
Voir les biens de ce lieu repris à l'inventaire
La r. de Bériot rejoint l'av. de l'Astronomie à la r. Saxe-Cobourg.
Son 1er tronçon fit partie, jusqu'à la fin des années 1860, de la r. Saint-Alphonse. Son 2e tronçon était à l'origine une impasse dite Petit Village, tracée dans les années 1830 et devenue en 1838 r. Petit Village avec l'ouverture de la r. Saxe-Cobourg où elle débouche désormais.
Elle fut rebaptisée en 1877 du nom du célèbre violoniste Charles de Bériot qui habita un hôtel particulier av. de l'Astronomie, l'act. maison communale.
Son 1er tronçon est bordé côté pair par la maison communale (voir av. de l'Astronomie), côté impair par un immeuble tour (idem). Au-delà, elle est bordée de maisons d'inspiration néo-classique construites pour la plupart dans les années 1860 et 1870. Le plus souvent de trois niveaux et trois travées, elles ont été construites pour certaines sur l'emplacement d'habitations modestes construites antérieurement, dans les années 1840, mais aujourd'hui disparues. Côté pair, ont subsisté un certain nombre de maisons d'élévation simple nos 18 (1852), 20 (1850) et 40 à 56 construites pour la plupart dans les années 1850. Côté impair, nombre d'entre elles ont vu leur façade remaniée ultérieurement, e.a. par un nouvel enduit cimenté ou des briquettes. À noter au no 31, une porte vitrée en fer forgé et des grilles également en fer forgé aux fenêtres du r.d.ch.
Son 1er tronçon fit partie, jusqu'à la fin des années 1860, de la r. Saint-Alphonse. Son 2e tronçon était à l'origine une impasse dite Petit Village, tracée dans les années 1830 et devenue en 1838 r. Petit Village avec l'ouverture de la r. Saxe-Cobourg où elle débouche désormais.
Elle fut rebaptisée en 1877 du nom du célèbre violoniste Charles de Bériot qui habita un hôtel particulier av. de l'Astronomie, l'act. maison communale.
Son 1er tronçon est bordé côté pair par la maison communale (voir av. de l'Astronomie), côté impair par un immeuble tour (idem). Au-delà, elle est bordée de maisons d'inspiration néo-classique construites pour la plupart dans les années 1860 et 1870. Le plus souvent de trois niveaux et trois travées, elles ont été construites pour certaines sur l'emplacement d'habitations modestes construites antérieurement, dans les années 1840, mais aujourd'hui disparues. Côté pair, ont subsisté un certain nombre de maisons d'élévation simple nos 18 (1852), 20 (1850) et 40 à 56 construites pour la plupart dans les années 1850. Côté impair, nombre d'entre elles ont vu leur façade remaniée ultérieurement, e.a. par un nouvel enduit cimenté ou des briquettes. À noter au no 31, une porte vitrée en fer forgé et des grilles également en fer forgé aux fenêtres du r.d.ch.
Sources
Archives
AR 2.9.1852, 28.9.1859, 17.2.1869.
AGR 1363.
ACSJ/Urb./TP 140 (1850), 87 (1852).
AR 2.9.1852, 28.9.1859, 17.2.1869.
AGR 1363.
ACSJ/Urb./TP 140 (1850), 87 (1852).