Rue Gérard 41

Maison à trois façades de style néoclassique construite dans la 2^e moitié du XIX^e s. et adossée aux dépendances du n^o 39.

Perpendiculaire à la rue et précédée d'une cour, façade principale enduite de deux niveaux et cinq travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. sur une plintheAssise inférieure d’un soubassement ou soubassement de hauteur particulièrement réduite. en pierre bleue percée d'ouvertures de cave rect. (profil utilisé pour toutes les ouvertures). Importante porte axiale à deux battants de bois encadrés de larges dormants, le tout sous une même baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. d'imposteUn élément dit en imposte se situe à hauteur du sommet des piédroits. Imposte de menuiserie ou jour d’imposte. Ouverture dans la partie supérieure du dormant d’une menuiserie.. De chaque côté, deux fenêtres identiques reprises cinq fois à l'étage. Deux travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. donnant sur la rue.
Deux ouvertures au r.d.ch. dont celle de dr. un peu plus large et au dern. niveau, deux fenêtres aux encadrements plats sur panneaux d'allègePartie de mur située sous l’appui de fenêtre. La table d’allège est une table située sous l’appui de fenêtre. à besantsOrnement sculpté sphéroïde ou en forme de disque.. La façade arrière s'ouvre sur le jardin par deux portes-fenêtres au r.d.ch. et par deux baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. aux encadrements plats à l'étage. Dix-sept cache-boulins à tête de lion sous la corniche de bois sur modillonsÉléments décoratifs de forme quelconque, répétés sous une corniche. et denticules. Brisis de la toiture mansardée éclairé par sept lucarnesOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. surbaissées dont les trois de la façade principale sont inscrites entre deux cheminées. Une fermeture en métal ainsi qu'une porte d'accès percée dans le mur de clôture sont remplacées par les entrées act., à front de rue, en 1967.

De 1935 à 1948, cette demeure est la propriété de la famille d'Eppinghoven dont les membres descendent du roi Léopold 1^er et de sa maîtresse Arcadie Meyer-Claret. La dern. baronne d'Eppinghoven y est décédée en 1966.