Typologie(s)

maison ou immeuble de rapport

Intervenant(s)

Henri RIECKarchitecte1877

Styles

Éclectisme
Néoclassicisme

Inventaire(s)

  • Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
  • Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
  • Inventaire d'urgence du patrimoine architectural de l'agglomération bruxelloise (Sint-Lukasarchief 1979)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique
  • Urbanistique

Recherches et rédaction

2016

id

Urban : 33442
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Description

Ensemble de quatre maisons de quatre niveaux et entresol construit sur les plans de l’architecte Henri Rieck datés de 1877.

Façades enduites de respectivement trois, cinq, cinq et trois travées1. Division verticale d’une élévation, composée d’une superposition d’ouvertures, réelles ou feintes. 2. En plan, la travée est l'espace compris entre deux rangées de supports disposées perpendiculairement à la façade. de mêmes ordonnance et décor. Étages marqués par les cordonsCorps de moulure horizontal, à rôle purement décoratif, situé sur une partie quelconque d’une composition. continus formant larmier aux fenêtres ou appuiAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. aux balcons à garde-corpsOuvrage de clôture qui ferme un balcon, une terrasse, une porte-fenêtre, une gaine d'ascenseur... en ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux., ininterrompu ou individuels au deuxième étage. Corniche denticulée sur consolesPièce de pierre, de bois ou de métal partiellement engagée dans un mur et portant un élément en surplomb. La console se distingue du corbeau par ses dimensions plus grandes et par le fait qu’elle s’inscrit grosso modo dans un triangle rectangle. La console désigne également des éléments non porteurs, mais apparentés d’un point de vue formel à une console. sous attique aveugle à cache-boulins sculptés d’une tête de lion. Fenêtres rectangulaires à encadrement à filets, à entablementCouronnement horizontal qui se compose d’une architrave, d’une frise puis d’une corniche. Les façades sont d’ordinaire coiffées d’un entablement. On peut également trouver un petit entablement au-dessus d’une baie ou d’une lucarne. aux nos 12-14 et 28-30, à clé aux nos 16-22. Rez-de-chaussée rythmés à l’origine par des pilastres à refendsLe refend est un canal dans un parement, accusant ou simulant le tracé de joints d'un appareil à bossages. encadrant les vitrines et les ouvertures de l’entresol, celui du n° 22 renouvelé, celui des nos 28-30 transformé en 1902 en l’actuelle large baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. vitrée.

Sources

Archives
AVB/TP 26327 (1877), 6351 (1877) et 9961 (1902).

Sites internet
BALat KIK-IRPA