Typologie(s)

sculpture et monument commémoratif

Intervenant(s)

L. ROELANDT1836

Guillaume GEEFSsculpteur1836

Statut juridique

Classé depuis le 10 juin 1963

Styles

Néoclassicisme

Inventaire(s)

  • Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
  • Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)

Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)

  • Artistique
  • Esthétique
  • Historique
  • Urbanistique

Recherches et rédaction

2016

id

Urban : 33682
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Description

Monument national. Au centre de la place, mémorial érigé suite à l’arrêté du 29 septembre 1830 à la mémoire des victimes des «Journées de Septembre», conçu en 1836 par l’architecte L. Roelandt, sculpté par G. Geefs, et inauguré en 1838; décoration sculptée achevée en 1849.

Entourée d’une plate-forme carrée, surélevée de quatre degrés en pierre bleue, crypte funéraire, délimitée à hauteur de la place par une belle grille en fer forgéFer façonné à chaud sur l’enclume, utilisé pour réaliser des éléments architecturaux comme des garde-corps, des ancres, des grilles, des épis de faîtage. cantonnée de quatre réverbères au socleMassif surélevant un support ou une statue. décoré de têtes de bélier. Au centre, monument sur soubassement carré rehaussé de bas-reliefs commémoratifs en marbre. Haut socle auquel sont adossés des anges protecteurs représentant la Prière, le Combat, la Victoire et l’Inhumation ; deux plaques de marbre portent les inscriptions «PATRIA» et «DECRETUM DIE XXV SEPT. MDCCCXXX. / ABSOLUTUM DIE XXV SEPT. MDCCCXL. / LEOPOLD I. REGNANTE.». Au sommet, sur un piédestal, statue en marbre de la Liberté inscrivant les quatre jours1. Ouverture vitrée dans une menuiserie ou baie de petite dimension; 2. Vide autour duquel se développent certains escaliers tournants. de septembre dans le livre d’or, à ses pieds le Lion Belgique. Crypte conçue comme une galerie couverte, ouverte d’arcades cintrées sur piliersSupport vertical de plan carré., sous voûtes d’arêtes renforcées d’arcs doubleaux. Accrochées aux murs, vingt-sept plaques de marbre où sont gravés les noms des héros.