Recherches et rédaction
1993-1995
Voir les biens de ce lieu repris à l'inventaire
Ouverte en 1924, le long de la propriété Anspach, l'av. Edmond Mesens (du nom d'un bourgmestre d'Etterbeek de 1884 à 1896) relie l'av. Boileau (au croisement avec l'av. Nestor Plissart) à l'av. des Volontaires. Elle est croisée par la r. Joseph Vandersmissen.
Face au Koninklijk Atheneum (l'athénée royal flamand d'Etterbeek), le côté impair du 1er tronçon présente un ensemble de constructions homogènes pour la plupart bâties sur un schéma semblable entre 1924 et 1936 : garage semi-enterré, escalier menant à l'entrée inscrite dans un porche dans-œuvre, façade en briques et simili-pierre blanche généralement de deux niveaux et deux travées, munie d'un bow-window de plan trapézoïdal surmonté d'un balcon, sous toiture mansardée.
Les influences sont partagées entre l'Art Déco tels les nos 3 (1928, arch. J.-J. VAN DEN ENG), 23 (1927, arch. René SERRURE, façade en pierre blanche d'Euville), 27 et 29 (1924, arch. Fernand DE ROY), 31 (1928, arch. Léon MERCENIER), 37 (1926, arch. F. DE ROY), 43 (1927, arch. Alfred ITTNER) et le style Beaux-Arts comme les nos 9 (1929, arch. René THÉRY), 13 (1927), 17, 19 (1929, arch. André MINEUR), 45 (1931, arch. Joseph DE VILLERS, sculpteur Geo FIERS).
Une inspiration néo-baroque est visible dans le pignon à volutes du no 35 (1927, arch. Georges DOYEN).
Seul le no 7A est contemporain (1974, arch. D. LIMBOSCH). À côté de plusieurs maisons construites après la Deuxième Guerre mondiale, le 2e tronçon présente, des deux côtés, le même type de bâtiments tels les nos 49 (1926, arch. Maurice ROBERT), 53 (1931, arch. Fernand LIPPENS) ou 63 (1928, arch. Jean THEUGELS).
Influence nettement moderniste dans la réalisation du no 59 (1938, arch. Paul ROME).Toutes les constructions sont précédées d'une zone de recul de 6 m parfois clôturée par de belles grilles en ferronnerie et aménagée en jardinet.
Face au Koninklijk Atheneum (l'athénée royal flamand d'Etterbeek), le côté impair du 1er tronçon présente un ensemble de constructions homogènes pour la plupart bâties sur un schéma semblable entre 1924 et 1936 : garage semi-enterré, escalier menant à l'entrée inscrite dans un porche dans-œuvre, façade en briques et simili-pierre blanche généralement de deux niveaux et deux travées, munie d'un bow-window de plan trapézoïdal surmonté d'un balcon, sous toiture mansardée.
Les influences sont partagées entre l'Art Déco tels les nos 3 (1928, arch. J.-J. VAN DEN ENG), 23 (1927, arch. René SERRURE, façade en pierre blanche d'Euville), 27 et 29 (1924, arch. Fernand DE ROY), 31 (1928, arch. Léon MERCENIER), 37 (1926, arch. F. DE ROY), 43 (1927, arch. Alfred ITTNER) et le style Beaux-Arts comme les nos 9 (1929, arch. René THÉRY), 13 (1927), 17, 19 (1929, arch. André MINEUR), 45 (1931, arch. Joseph DE VILLERS, sculpteur Geo FIERS).
Une inspiration néo-baroque est visible dans le pignon à volutes du no 35 (1927, arch. Georges DOYEN).
Seul le no 7A est contemporain (1974, arch. D. LIMBOSCH). À côté de plusieurs maisons construites après la Deuxième Guerre mondiale, le 2e tronçon présente, des deux côtés, le même type de bâtiments tels les nos 49 (1926, arch. Maurice ROBERT), 53 (1931, arch. Fernand LIPPENS) ou 63 (1928, arch. Jean THEUGELS).
Influence nettement moderniste dans la réalisation du no 59 (1938, arch. Paul ROME).Toutes les constructions sont précédées d'une zone de recul de 6 m parfois clôturée par de belles grilles en ferronnerie et aménagée en jardinet.
Sources
Archives
Arrêté du Régent 20.06.1949.
ACEtt./TP 4590, 5128 (1924), 8327, 8726 (1926), 852, 864, 1527, 1594 (1927), 1638, 2110, 2393 (1928), 3504, 4408, 4409 (1929), 7658, 8092 (1931), 516 (1938), Reg. d'entrée 2740 (1974).
ACEtt./TP 4590, 5128 (1924), 8327, 8726 (1926), 852, 864, 1527, 1594 (1927), 1638, 2110, 2393 (1928), 3504, 4408, 4409 (1929), 7658, 8092 (1931), 516 (1938), Reg. d'entrée 2740 (1974).