Typologie(s)
maison unifamiliale ou de rapport (indéterminé)
Intervenant(s)
INCONNU - ONBEKEND – 1832
INCONNU - ONBEKEND – 1841
INCONNU - ONBEKEND – 1874
INCONNU - ONBEKEND – 1850
Styles
Néoclassicisme
Inventaire(s)
- Inventaire du patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles Pentagone (1989-1993)
- Actualisation permanente de l'inventaire régional du patrimoine architectural (DPC-DCE)
- Inventaire d'urgence du patrimoine architectural de l'agglomération bruxelloise (Sint-Lukasarchief 1979)
Ce bien présente l’(es) intérêt(s) suivant(s)
- Artistique
- Esthétique
- Historique
- Urbanistique
Recherches et rédaction
2016
id
Urban : 33458
Description
Trois maisons de deux
travées pourvues, au XIXe siècle, de façades néoclassiques enduites.
Au n° 16, selon demande de permis en 1832 et résultant de la transformation d’une façade de deux niveaux sous pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc., façade ajourée de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires sur appuiAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. saillant, avec barres d’appui en spirales, conservant des ancresPièce métallique apparente ou noyée dans l’enduit de façade, fixée à l’extrémité d’un tirant en fer pour solidariser les murs et les planchers. Il existe des ancres purement décoratives, non reliées à des tirants. en I entre les étages; fenêtres basses du deuxième étage remplaçant la baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. axiale cintrée et les deux oculiJour de forme circulaire, ovale ou polygonale. du pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc. visibles sur le relevé accompagnant le projet.
Au n° 18, ancienne façade-pignon à rampants droits, transformée en 1841 en façade de deux niveaux et demi et portée en 1874 à sa hauteur actuelle, trois niveaux et demi.
Actuellement façade en briques, décapée, révélant son noyau ancien par des fragments de bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. de pierre blanche et de montants chaînés creusés en cavet au premier étage.
Au n° 22, du milieu du XIXe siècle, trois niveaux, baies rectangulaires encadrées d’une mouluration à clé à voluteOrnement enroulé en spirale que l’on trouve notamment sur les chapiteaux ioniques, les consoles, les ailerons, etc. et guirlandes, à barres d’appui à ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux.. AttiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement. simple, lucarneOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. à croupeUne croupe est un versant de toit qui réunit les deux pans principaux d’un toit à leur extrémité. Contrairement à la croupette, la croupe descend aussi bas que les pans principaux..
Au n° 16, selon demande de permis en 1832 et résultant de la transformation d’une façade de deux niveaux sous pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc., façade ajourée de baiesOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. rectangulaires sur appuiAppui de fenêtre. Élément d’ordinaire en pierre, limitant une baie vers le bas. saillant, avec barres d’appui en spirales, conservant des ancresPièce métallique apparente ou noyée dans l’enduit de façade, fixée à l’extrémité d’un tirant en fer pour solidariser les murs et les planchers. Il existe des ancres purement décoratives, non reliées à des tirants. en I entre les étages; fenêtres basses du deuxième étage remplaçant la baieOuverture, d'ordinaire une porte ou une fenêtre, ménagée dans un pan de mur, ainsi que son encadrement. axiale cintrée et les deux oculiJour de forme circulaire, ovale ou polygonale. du pignonPartie supérieure d’un mur-pignon, parallèle aux fermes de charpenterie, correspondant à la hauteur du comble. Il possède des rampants de formes variées : droits, chantournés, etc. visibles sur le relevé accompagnant le projet.
Au n° 18, ancienne façade-pignon à rampants droits, transformée en 1841 en façade de deux niveaux et demi et portée en 1874 à sa hauteur actuelle, trois niveaux et demi.
Actuellement façade en briques, décapée, révélant son noyau ancien par des fragments de bandeauxÉlément horizontal, soit en saillie et de section rectangulaire, soit dans le plan de la façade. de pierre blanche et de montants chaînés creusés en cavet au premier étage.
Au n° 22, du milieu du XIXe siècle, trois niveaux, baies rectangulaires encadrées d’une mouluration à clé à voluteOrnement enroulé en spirale que l’on trouve notamment sur les chapiteaux ioniques, les consoles, les ailerons, etc. et guirlandes, à barres d’appui à ferronnerieÉléments en fer d’une construction, qu’ils soient en fer forgé, en fonte ou dans un autre matériau ferreux.. AttiqueUn élément est dit en attique lorsqu’il est situé au-dessus de l’entablement. simple, lucarneOuvrage construit sur un toit et permettant d’éclairer le comble par une ou plusieurs fenêtres. à croupeUne croupe est un versant de toit qui réunit les deux pans principaux d’un toit à leur extrémité. Contrairement à la croupette, la croupe descend aussi bas que les pans principaux..
Sources
Archives
AVB/TP 10265 (1832), 10268 (1841, 1874).